L’ulcère du pied diabétique mutile, dépersonnalise et… tue l’être humain ! Cette pathologie ronge et annihile à petit feu le corps de tout malade dont l’hyperglycémie se complique et s’aggrave.
Cette complication invalidante du diabète provoque une gangrène qui, sans une prise en charge médicale idoine, entraîne fatalement une amputation du membre nécrosé.
De par le monde, cette maladie cause un véritable problème de santé publique. Cette faucheuse cible chaque année plus de 4 millions de patients sur la planète et en emporte avec elle des centaines de milliers. L’Algérie n’échappe pas à ce verdict macabre. Plus de 6 000 amputations sont, selon des études réalisées par des experts, pratiquées tous les ans dans les hôpitaux algériens.
Les travaux de recherche effectués par d’autres spécialistes portent ce chiffre à 8 000 mutilations/an. Pis, sur les 10% des diabétiques qui souffrent de lésions du pied nécessitant une amputation, la moitié d’entre eux verront leur deuxième jambe coupée dans les cinq années suivantes avec un taux de mortalité de 50 à 60%. Cet ulcère est dû à une mauvaise vascularisation du pied, provoquée par une calcification et un rétrécissement des artères et à une neuropathie. C'est-à-dire, des troubles de sensibilité des nerfs, associés à une infection suite à un traumatisme mineur.
Le fait que la lésion, chez les diabétiques, se cicatrise en retard ou jamais, engendre une évolution rapide de l’ulcère du pied vers un stade sévère et critique qui impose indubitablement une amputation comme l’ultime recours afin de sauver la vie des malades. Ainsi, toutes les 30 secondes, un diabétique perd sa jambe quelque part dans le monde ! Le constat est amer : cinq amputations sur six sont attribuables au diabète avec une réduction de l’espérance de vie… Outre son pénible impact sur le plan psychologique, les changements du mode de vie et l’inconfort… autant de désagréments qui “meublent” le quotidien du patient, ce geste chirurgical majeur qu’est l’amputation a un coût. Le traitement d’une lésion du pied diabétique coûterait environ 2 000 euros tandis qu’une amputation s’élèverait à 30 000 euros, soit trois à quatre millions de dinars. Un montant qui couvre les frais des médicaments et des soins. Ce qui représente une partie considérable du budget de la santé publique. C’est dire l’enveloppe financière conséquente débloquée annuellement pour soigner cette pathologie. Ce sont toutes ces conséquences à la fois psychologiques et socio-économiques qui ont incité les chercheurs et les spécialistes à trouver des solutions à cette problématique. Soucieux des souffrances du malade et de ses difficultés à pouvoir éviter une mutilation de l’un ou de ses deux membres inférieurs et conscient des contraintes multiples auxquelles font face les structures hospitalières à en assurer une parfaite prise en charge, le laboratoire Lad Pharma propose depuis plus de 5 ans un traitement efficace. Il s’agit du facteur de croissance épidermique humain recombinant FCE lyophilisé, injectable, au nom commercial Heberprot-P.
Ce médicament se présente désormais comme une véritable alternative à l’amputation du pied, considérée jusque-là comme une fatalité.
Heberprot-P stimule la granulation et la réépithélisation des ulcères diabétiques, réduit le nombre de débridements chirurgicaux, des interventions et les récidives. C’est une injection intra et péri-lésionnelle à raison de 3 fois par semaine pour une durée de 5 à 8 semaines de traitement maximum. Son efficacité a été vérifiée dans les hôpitaux où des professeurs et médecins confirment les résultats plus que satisfaisants remarqués sur les malades atteints de l’ulcère du pied diabétique.
Badreddine KHRIS- Liberté
Cette complication invalidante du diabète provoque une gangrène qui, sans une prise en charge médicale idoine, entraîne fatalement une amputation du membre nécrosé.
De par le monde, cette maladie cause un véritable problème de santé publique. Cette faucheuse cible chaque année plus de 4 millions de patients sur la planète et en emporte avec elle des centaines de milliers. L’Algérie n’échappe pas à ce verdict macabre. Plus de 6 000 amputations sont, selon des études réalisées par des experts, pratiquées tous les ans dans les hôpitaux algériens.
Les travaux de recherche effectués par d’autres spécialistes portent ce chiffre à 8 000 mutilations/an. Pis, sur les 10% des diabétiques qui souffrent de lésions du pied nécessitant une amputation, la moitié d’entre eux verront leur deuxième jambe coupée dans les cinq années suivantes avec un taux de mortalité de 50 à 60%. Cet ulcère est dû à une mauvaise vascularisation du pied, provoquée par une calcification et un rétrécissement des artères et à une neuropathie. C'est-à-dire, des troubles de sensibilité des nerfs, associés à une infection suite à un traumatisme mineur.
Le fait que la lésion, chez les diabétiques, se cicatrise en retard ou jamais, engendre une évolution rapide de l’ulcère du pied vers un stade sévère et critique qui impose indubitablement une amputation comme l’ultime recours afin de sauver la vie des malades. Ainsi, toutes les 30 secondes, un diabétique perd sa jambe quelque part dans le monde ! Le constat est amer : cinq amputations sur six sont attribuables au diabète avec une réduction de l’espérance de vie… Outre son pénible impact sur le plan psychologique, les changements du mode de vie et l’inconfort… autant de désagréments qui “meublent” le quotidien du patient, ce geste chirurgical majeur qu’est l’amputation a un coût. Le traitement d’une lésion du pied diabétique coûterait environ 2 000 euros tandis qu’une amputation s’élèverait à 30 000 euros, soit trois à quatre millions de dinars. Un montant qui couvre les frais des médicaments et des soins. Ce qui représente une partie considérable du budget de la santé publique. C’est dire l’enveloppe financière conséquente débloquée annuellement pour soigner cette pathologie. Ce sont toutes ces conséquences à la fois psychologiques et socio-économiques qui ont incité les chercheurs et les spécialistes à trouver des solutions à cette problématique. Soucieux des souffrances du malade et de ses difficultés à pouvoir éviter une mutilation de l’un ou de ses deux membres inférieurs et conscient des contraintes multiples auxquelles font face les structures hospitalières à en assurer une parfaite prise en charge, le laboratoire Lad Pharma propose depuis plus de 5 ans un traitement efficace. Il s’agit du facteur de croissance épidermique humain recombinant FCE lyophilisé, injectable, au nom commercial Heberprot-P.
Ce médicament se présente désormais comme une véritable alternative à l’amputation du pied, considérée jusque-là comme une fatalité.
Heberprot-P stimule la granulation et la réépithélisation des ulcères diabétiques, réduit le nombre de débridements chirurgicaux, des interventions et les récidives. C’est une injection intra et péri-lésionnelle à raison de 3 fois par semaine pour une durée de 5 à 8 semaines de traitement maximum. Son efficacité a été vérifiée dans les hôpitaux où des professeurs et médecins confirment les résultats plus que satisfaisants remarqués sur les malades atteints de l’ulcère du pied diabétique.
Badreddine KHRIS- Liberté