Une nouvelle revue met en lumière des différences fondamentales entre le cerveau des rongeurs et celui des primates, ce qui pourrait expliquer pourquoi les traitements liés au stress échouent souvent chez l'humain.
Les chercheurs ont découvert que, chez les primates, les systèmes hormonaux du stress—en particulier ceux impliquant le facteur de libération de la corticotropine (CRF) et la dopamine—sont plus complexes sur le plan anatomique et plus largement répartis.
Contrairement aux rongeurs, les neurones dopaminergiques des primates libèrent fréquemment plusieurs neurotransmetteurs, notamment le glutamate et le GABA, permettant des réponses plus nuancées au stress.
Ces différences suggèrent que les modèles rongeurs ne capturent pas entièrement les mécanismes neuronaux des troubles psychiatriques humains comme la dépression et l’anxiété.
Ces résultats soutiennent un passage vers des modèles animaux plus proches de l’humain et vers des approches plus personnalisées du traitement.
Des facteurs tels que l’âge, le sexe et le stress vécu durant la petite enfance pourraient tous influencer la vulnérabilité individuelle aux maladies mentales.
Source:Neuroscience news
Les chercheurs ont découvert que, chez les primates, les systèmes hormonaux du stress—en particulier ceux impliquant le facteur de libération de la corticotropine (CRF) et la dopamine—sont plus complexes sur le plan anatomique et plus largement répartis.
Contrairement aux rongeurs, les neurones dopaminergiques des primates libèrent fréquemment plusieurs neurotransmetteurs, notamment le glutamate et le GABA, permettant des réponses plus nuancées au stress.
Ces différences suggèrent que les modèles rongeurs ne capturent pas entièrement les mécanismes neuronaux des troubles psychiatriques humains comme la dépression et l’anxiété.
Ces résultats soutiennent un passage vers des modèles animaux plus proches de l’humain et vers des approches plus personnalisées du traitement.
Des facteurs tels que l’âge, le sexe et le stress vécu durant la petite enfance pourraient tous influencer la vulnérabilité individuelle aux maladies mentales.
Source:Neuroscience news

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