C'est lété, on doit consommer beaucoup plus d'eau...Mais,
Faut il préférer l'eau en bouteille à celle du robinet? La reponse, le choix est vite fait au debut, mais!!
La préférence des gens pour une eau embouteillée se base-t-elle sur des motifs écologiques?
Le goût de cette eau diffère-t-il à ce point de ce liquide coulant du robinet incitant les gens à opter pour cette alternative?
Peut-on jeter ce contenant au recyclage dans l’agglomération où habitent les utilisateurs de ce produit?
Espère-t-on se soustraire aux risques de contamination en consommant quotidiennement cette eau dévitalisée?
Consécutivement à l’ingestion de ce liquide, la réutilisation de ce contenant peut-elle entraîner la prolifération de bactéries?
Toutes ces questions fusent dans la tête de celui qui hésite encore à défrayer le coût de l’eau embouteillée alors que le robinet auquel il accède en sa demeure propulse une eau de nature semblable, répondant aux normes émises par les autorités.
Le plastique servant dans la fabrication des contenants d’eau demeurera enfouie sous terre durant un millénaire avant sa décomposition et des produits toxiques se dégageront de cet amoncellement de bouteilles vides, atteignant la nappe phréatique. Aux États-Unis, à peine 16 % des contenants de plastiques se recyclent.
La fabrication de ces bouteilles nécessite l’emploi de 17 millions de barils de pétrole. Les frais encourus pour le transport de ces produits mérite qu’on tente de se soustraire à ces dépenses considérables. Les ventes de cette boisson surpassent celle du lait et de la bière.
L’eau qui se retrouve dans ces contenants de plastique provient fréquemment de l’eau de l’aqueduc, dont la qualité équivaut à celle que déverse le robinet.
Les fabricants d’eau minérale puisent à même les réserves d’eau potable occasionnant ainsi une diminution notable du volume d’eau accessible au citoyen.
Prévenus de cet état de fait, plus d’un consommateur délaisse l’accoutumance à ce produit dont on vantait les vertus afin de mousser les ventes. L’économie réalisée leur permet d’employer à d’autres fins les sommes habituellement dévolues à l’achat de cette eau embouteillée.
De plus en plus de gens préfèrent s’approvisionner au robinet, considérant le coût du produit en vente dans les magasins et l’importance de protéger l’environnement.
Source: Eau.apinc.org
Faut il préférer l'eau en bouteille à celle du robinet? La reponse, le choix est vite fait au debut, mais!!
La préférence des gens pour une eau embouteillée se base-t-elle sur des motifs écologiques?
Le goût de cette eau diffère-t-il à ce point de ce liquide coulant du robinet incitant les gens à opter pour cette alternative?
Peut-on jeter ce contenant au recyclage dans l’agglomération où habitent les utilisateurs de ce produit?
Espère-t-on se soustraire aux risques de contamination en consommant quotidiennement cette eau dévitalisée?
Consécutivement à l’ingestion de ce liquide, la réutilisation de ce contenant peut-elle entraîner la prolifération de bactéries?
Toutes ces questions fusent dans la tête de celui qui hésite encore à défrayer le coût de l’eau embouteillée alors que le robinet auquel il accède en sa demeure propulse une eau de nature semblable, répondant aux normes émises par les autorités.
Le plastique servant dans la fabrication des contenants d’eau demeurera enfouie sous terre durant un millénaire avant sa décomposition et des produits toxiques se dégageront de cet amoncellement de bouteilles vides, atteignant la nappe phréatique. Aux États-Unis, à peine 16 % des contenants de plastiques se recyclent.
La fabrication de ces bouteilles nécessite l’emploi de 17 millions de barils de pétrole. Les frais encourus pour le transport de ces produits mérite qu’on tente de se soustraire à ces dépenses considérables. Les ventes de cette boisson surpassent celle du lait et de la bière.
L’eau qui se retrouve dans ces contenants de plastique provient fréquemment de l’eau de l’aqueduc, dont la qualité équivaut à celle que déverse le robinet.
Les fabricants d’eau minérale puisent à même les réserves d’eau potable occasionnant ainsi une diminution notable du volume d’eau accessible au citoyen.
Prévenus de cet état de fait, plus d’un consommateur délaisse l’accoutumance à ce produit dont on vantait les vertus afin de mousser les ventes. L’économie réalisée leur permet d’employer à d’autres fins les sommes habituellement dévolues à l’achat de cette eau embouteillée.
De plus en plus de gens préfèrent s’approvisionner au robinet, considérant le coût du produit en vente dans les magasins et l’importance de protéger l’environnement.
Source: Eau.apinc.org

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