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Après le tabac, l'alcool et le soleil, réflexions sur les facteurs alimentaires et l'apparition du cancer.
Ce qu'on mange est-il cancérigène ? Difficile de trancher, mais pourquoi ne pas en parler ?
C'est sur ce thème qui nous concerne tous que vont être organisés des débats-tables rondes à Toulouse en septembre. Car le cancer n'est malheureusement pas une maladie anodine. Une personne en est victime toutes les deux minutes en France. Et aucun moyen de prévenir à l'avance. Même si des liens ont été établis pour déterminer le «cause-effet» qui pourrait permettre de guérir cette maladie, le cancer reste une maladie bien mystérieuse. On connaît déjà la relation mortelle du tabac et de l'alcool avec nos cellules, mais nos aliments pourraient bien être responsables, eux aussi, de certains cancers.
S'il faut traiter de ce sujet avec une grande précaution, l'opinion mondiale et surtout l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont déjà reconnu que l'alimentation était déterminante dans l'apparition de cancers. Existe-t-il une assiette idéale anti-cancer ? Manger bio réduit-il le risque de contracter la maladie ? Les pesticides sont-ils vraiment dangereux ? Tant de questions que tout le monde devrait se poser. Or, seuls 64% des Français pensent que l'alimentation joue un rôle important en ce qui concerne les cancers selon l'étude de l'Institut National de Prévention et d'Education pour la Santé. Les informations et données scientifiques ne manquent pas sur ce sujet, mais si elles ne sont pas toujours en harmonie, le citoyen Français n'a pas non plus les moyens de s'informer de ces études.
Même si aucune donnée scientifique n'a été approuvée à 100% par l'ensemble de la communauté internationiale, le Fonds mondial de recherche contre le cancer (FMRC) a déjà établi ses dix recommandations pour se préserver du cancer : pas de viande rouge, pas de sel, pas de pesticides, et surtout, pas de surpoids ! A se demander si on a encore le droit de manger...
L'assiette 100% anti-cancer n'a pas encore été trouvée, mais des alternatives existent : le «bio» et les alicaments (enrichissement des aliments avec des composés chimiques luttant contre des maladies). Les deux procédés ont chacun trouvé un marché.
Sans tirer la sonnette d'alarme, il semble important toutefois d'informer la population pour que chacun puisse se faire son avis et décider, oui ou non, de modifier son alimentation.
Selon l'OMS, un tiers des cancers serait attribué à une alimentation non équilibrée. De quoi réfléchir devant son caddie et les rayons des supermarchés.
- La depeche Fr
Ce qu'on mange est-il cancérigène ? Difficile de trancher, mais pourquoi ne pas en parler ?
C'est sur ce thème qui nous concerne tous que vont être organisés des débats-tables rondes à Toulouse en septembre. Car le cancer n'est malheureusement pas une maladie anodine. Une personne en est victime toutes les deux minutes en France. Et aucun moyen de prévenir à l'avance. Même si des liens ont été établis pour déterminer le «cause-effet» qui pourrait permettre de guérir cette maladie, le cancer reste une maladie bien mystérieuse. On connaît déjà la relation mortelle du tabac et de l'alcool avec nos cellules, mais nos aliments pourraient bien être responsables, eux aussi, de certains cancers.
S'il faut traiter de ce sujet avec une grande précaution, l'opinion mondiale et surtout l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont déjà reconnu que l'alimentation était déterminante dans l'apparition de cancers. Existe-t-il une assiette idéale anti-cancer ? Manger bio réduit-il le risque de contracter la maladie ? Les pesticides sont-ils vraiment dangereux ? Tant de questions que tout le monde devrait se poser. Or, seuls 64% des Français pensent que l'alimentation joue un rôle important en ce qui concerne les cancers selon l'étude de l'Institut National de Prévention et d'Education pour la Santé. Les informations et données scientifiques ne manquent pas sur ce sujet, mais si elles ne sont pas toujours en harmonie, le citoyen Français n'a pas non plus les moyens de s'informer de ces études.
Même si aucune donnée scientifique n'a été approuvée à 100% par l'ensemble de la communauté internationiale, le Fonds mondial de recherche contre le cancer (FMRC) a déjà établi ses dix recommandations pour se préserver du cancer : pas de viande rouge, pas de sel, pas de pesticides, et surtout, pas de surpoids ! A se demander si on a encore le droit de manger...
L'assiette 100% anti-cancer n'a pas encore été trouvée, mais des alternatives existent : le «bio» et les alicaments (enrichissement des aliments avec des composés chimiques luttant contre des maladies). Les deux procédés ont chacun trouvé un marché.
Sans tirer la sonnette d'alarme, il semble important toutefois d'informer la population pour que chacun puisse se faire son avis et décider, oui ou non, de modifier son alimentation.
Selon l'OMS, un tiers des cancers serait attribué à une alimentation non équilibrée. De quoi réfléchir devant son caddie et les rayons des supermarchés.
- La depeche Fr
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