Des collègues Américains estiment qu'une spécificité génétique, qui serait présente dans 10 à 20 % des cas de cancer colorectal, augmenterait sensiblement le risque d'être affecté par ce type de cancer durant la vie.
Le docteur Boris Pasche, qui a participé à cette étude, souligne que cette découverte sans précédent pourrait s'avérer d'une aide de très grande valeur afin de réduire le taux de diagnostic et de mortalité du cancer colorectal en permettant peut-être une meilleure prévention de cette maladie face aux individus prédisposés.
C'est ainsi que les travaux de l'Université Northwestearn à Chicago semblent faire ressortir une théorie principale selon laquelle les gens héritant d'un patrimoine familiale génétique avec cette spécificité défectueuse, auraient une probabilité 50 fois plus grande de développer un cancer colorectal comparativement à 6 % pour l'autre portion de la population.
Pour l'équipe de chercheurs, ce défaut génétique serait imputable à un processus quelque peu complexe impliquant la variation d'un gène, le TGFBR1, qui abaisserait considérablement la production d'un important récepteur, ce dernier agissant normalement en tant qu'obstacle à la croissance cellulaire.
En résumé, ce serait donc la décroissance de productivité du fameux récepteur clé qui laisserait libre cours à la prolifération des cellules cancéreuses colorectales.
Les experts croient ainsi avoir mis en évidence la caractéristique héréditaire la plus fréquente reliée à ce type de tumeur affectant près d'un individu sur 15.
Par ailleurs, selon les statistiques de La Société Canadienne du cancer, on prévoit que pas moins de 21 500 nouveaux cas de cancer colorectal seront diagnostiqués au cours de l'année 2008 et qu'environ 8 900 en décéderont.
Source: Radio-Canada
Le docteur Boris Pasche, qui a participé à cette étude, souligne que cette découverte sans précédent pourrait s'avérer d'une aide de très grande valeur afin de réduire le taux de diagnostic et de mortalité du cancer colorectal en permettant peut-être une meilleure prévention de cette maladie face aux individus prédisposés.
C'est ainsi que les travaux de l'Université Northwestearn à Chicago semblent faire ressortir une théorie principale selon laquelle les gens héritant d'un patrimoine familiale génétique avec cette spécificité défectueuse, auraient une probabilité 50 fois plus grande de développer un cancer colorectal comparativement à 6 % pour l'autre portion de la population.
Pour l'équipe de chercheurs, ce défaut génétique serait imputable à un processus quelque peu complexe impliquant la variation d'un gène, le TGFBR1, qui abaisserait considérablement la production d'un important récepteur, ce dernier agissant normalement en tant qu'obstacle à la croissance cellulaire.
En résumé, ce serait donc la décroissance de productivité du fameux récepteur clé qui laisserait libre cours à la prolifération des cellules cancéreuses colorectales.
Les experts croient ainsi avoir mis en évidence la caractéristique héréditaire la plus fréquente reliée à ce type de tumeur affectant près d'un individu sur 15.
Par ailleurs, selon les statistiques de La Société Canadienne du cancer, on prévoit que pas moins de 21 500 nouveaux cas de cancer colorectal seront diagnostiqués au cours de l'année 2008 et qu'environ 8 900 en décéderont.
Source: Radio-Canada
