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Cas d’intoxication alimentaire durant le mois de Ramadhan

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  • Cas d’intoxication alimentaire durant le mois de Ramadhan

    Ll’origine de plus de 300 cas d’intoxication alimentaire Les pâtisseries de tous les dangers

    Sur le front des intoxications alimentaires, dans la wilaya de Constantine, le mois de Ramadhan a été marqué par de nombreuses affaires.

    C'est le cas notamment d'une pâtisserie située à St Jean dont les gâteaux ont été à l'origine de pas moins de 8 cas traités au niveau des urgences médico chirurgicales des hôpitaux de Constantine. C'est ainsi qu'actuellement le doute s'est installé dans la cité.

    Au demeurant, si l'affaire des intoxications alimentaires a éclaté au grand jour, les suites ne sont pas encore véritablement connues. En fait, la pâtisserie incriminée a fait l'objet d'une décision de fermeture pour trente jours, ce qui laisse supposer, d'après nos sources, que l'affaire des intoxications alimentaires atterrirait bientôt au parquet.

    Sur un autre volet, l'on signale qu'aucune plainte des victimes n'a été déposée auprès de qui de droit, ce qui semble rendre caduques les poursuites que seul M. le procureur de la république peut mettre en exécution relativement à "cet empoisonnement" qui a causé des souffrances aux innombrables consommateurs de pâtisserie.

    D'une manière générale, un cas aussi dangereux et particulier n'est pas à occulter tant ces relents sont l'extrême extravagance de commerçants inconscients préférant se remplir les proches au détriment de la santé de leurs clients.

    Les victimes, unanimement, désigneront le point d'achat, tout autant que les services de la médecine préventive qui, après collecte, d'échantillonnages, après analyses, révéleront la présence de microbes dont l'origine serait due aux oeufs ayant servi à la préparation de la crème pâtissière.

    Simple coïncidence au moment même où à Skikda, ville réputée pour ses pâtisseries exquises, le même cas d'espèces faisait la une des quotidiens. Plusieurs victimes étaient dénombrées, au moins 58, qui avaient consommé des pâtisseries.

    C'était aussi la crème pâtissière à l'origine de la contamination où dans un premier bilan 8 personnes étaient gardées en observation. Des oeufs pourris ont été source de contamination autant que d'autres produits gras, (beurre végétal et margarine) frappés de péremption.

    Constantine, et Skikda, deux grandes métropoles où sont ancrées des traditions depuis la nuit des temps, tombées entre les mains de commerçants incrédules, mettant en péril la vie des citoyens, sont désignées comme foyers contaminants, ce qui à l'évidence n'est pas loin de nous rappeler amèrement le cas du casher frelaté qui en 1999 à Sétif, a fait plusieurs morts.

    Des ces de botulisme avérés coûteront ensuite la condamnation à la peine de mort au commerçant indélicat qui fabriquait le casher à base de viande d'ânes- Comme quoi, la vie d'un Algérien, devant la fortune ne valait rien.

    Toujours est-il que pas plus tard qu'avant hier d'autres cas d'intoxication alimentaire ont été enregistrés à El Khroub où pas moins de 180 personnes avaient défilé aux urgences de l'hôpital Mohamed Boudiaf pour avoir consommé de la pâtisserie préparée, selon des formules spécialement conçues pour envoyer les consommateurs à l'hôpital. Mais dans tous ces tracas, les "douceurs" préparées dans les laboratoires de pâtisseries valent plus chers que celles vendues à l'entrée de Sidi Bouanaba.

    Ces derniers n'ont pas été à l'origine d'intoxications. Les petites bourses sont elles immunisées? Sur un autre volet les consommateurs ont été floués, où à Ibn Ziad, deux femmes ont suffisamment payé le lourd tribut d'être hospitalisées pendant quatre jours pour en avoir consommé.

    Ce qui est aussi réprouvant, ce sont les cas de conscience qui semblent échapper aux commerçants qui préfèrent l'argent contre la vie des autres, tous désignés pour être ces victimes expiratoires qui n'ont de protection que la volonté de Dieu.

    L'appareil judiciaire sans intransigeance, dans ces cas précis, saisi, tranchera sans aucun doute à la faveur de sentences draconiennes. window.google_render_ad(); _uacct = "UA-405841-1";urchinTracker();
    Envoi en cours, veuillez patienter.

    - Pressedz

  • #2
    Concernant les intoxications alimentaires, les algériens habitués à consommer la Zalabia en grande quantité pendant le mois sacré, devrait faire très attention à l'huile de friture brulée utilisée et réutilisée pendant tout le mois de Ramadhan. La toxicité des huiles brulées peut engendrer des effets nuisibles sur la santé.

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    • #3
      s'il n'y avait que les zlabiya... malheureusement, c'est toute l'hygiène alimentaire qui doit être réapprise! allez, tous à la méthode HACCP!
      Je suis une Légende, je suis l'Histoire: je suis BYLKUSDU94!

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