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La fusion nucléaire est une chose à laquelle les scientifiques rêvent depuis le milieu des années 40, après que la réaction de fission ait été obtenue et que la première bombe atomique fut créée.
Depuis ce temps-là, l'énergie nucléaire est devenue une partie de notre vie quotidienne, avec des centrales en cours de construction à travers le monde, de la Corée à l'Inde, mais aussi, bien sûr, aux USA, en Chine, en Russie et en France, comme vous le savez.
De plus petits pays, comme la Roumanie et la Bulgarie, possèdent aussi l'énergie nucléaire, fournissant de l'électricité à un grand pourcentage de leurs réseaux électriques nationaux. Les centrales nucléaires exigent toutefois d'énormes quantités d'eau pour fonctionner, ainsi que de l'uranium, ressource assez rare.
Les centrales posent également le risque de fuite de matières radioactives.
Cela peut facilement contaminer par radioactivité l'environnement pendant des décennies et sur plusieurs centaines de kilomètres de l'usine. Tout le monde se souvient des cas des réacteurs nucléaires de Three Mile Island, aux États-Unis (1979), et de Tchernobyl, dans le nord de l'Ukraine (1986) avec son fameux nuage radioactif.
En attendant, la fusion nucléaire offre la promesse de l'énergie propre. La Californie, le Lawrence Livermore Laboratory (LLNL) et le Royaume-Uni Atomic Energy Authority (UKAEA), par l'intermédiaire de son Mega Amp Spherical Tokamak (MAST), basé à Oxford, sont les fers de lance du développement actuel dans cette voie.
Bientôt, le LLNL aura à sa disposition un laser capable de chauffer du plasma à des températures nécessaires pour réaliser la fusion nucléaire. La mise au point du dispositif est prévue pour 2009 et le premier essai débutera en 2010. Les chercheurs au laboratoire sont ainsi convaincus que, d'ici à 2011 seulement, ils pourront obtenir de manière à la fois durable et entièrement contrôlable la fusion nucléaire.
L'année 2020 a été du coup définie comme un jalon pour la construction de la première centrale nucléaire commerciale opérant sur le principe de la fusion nucléaire.
Source: Softpedia
Depuis ce temps-là, l'énergie nucléaire est devenue une partie de notre vie quotidienne, avec des centrales en cours de construction à travers le monde, de la Corée à l'Inde, mais aussi, bien sûr, aux USA, en Chine, en Russie et en France, comme vous le savez.
De plus petits pays, comme la Roumanie et la Bulgarie, possèdent aussi l'énergie nucléaire, fournissant de l'électricité à un grand pourcentage de leurs réseaux électriques nationaux. Les centrales nucléaires exigent toutefois d'énormes quantités d'eau pour fonctionner, ainsi que de l'uranium, ressource assez rare.
Les centrales posent également le risque de fuite de matières radioactives.
Cela peut facilement contaminer par radioactivité l'environnement pendant des décennies et sur plusieurs centaines de kilomètres de l'usine. Tout le monde se souvient des cas des réacteurs nucléaires de Three Mile Island, aux États-Unis (1979), et de Tchernobyl, dans le nord de l'Ukraine (1986) avec son fameux nuage radioactif.
En attendant, la fusion nucléaire offre la promesse de l'énergie propre. La Californie, le Lawrence Livermore Laboratory (LLNL) et le Royaume-Uni Atomic Energy Authority (UKAEA), par l'intermédiaire de son Mega Amp Spherical Tokamak (MAST), basé à Oxford, sont les fers de lance du développement actuel dans cette voie.
Bientôt, le LLNL aura à sa disposition un laser capable de chauffer du plasma à des températures nécessaires pour réaliser la fusion nucléaire. La mise au point du dispositif est prévue pour 2009 et le premier essai débutera en 2010. Les chercheurs au laboratoire sont ainsi convaincus que, d'ici à 2011 seulement, ils pourront obtenir de manière à la fois durable et entièrement contrôlable la fusion nucléaire.
L'année 2020 a été du coup définie comme un jalon pour la construction de la première centrale nucléaire commerciale opérant sur le principe de la fusion nucléaire.
Source: Softpedia