Silence ! on braconne l’aigle royal en Algérie
Alors que dans des pays comme les Etats-Unis, des organisations de protection des animaux dépensent jusqu’à 15 000 dollars pour élever un aiglon jusqu’à l’âge adulte avant de le lâcher dans la nature, chez nous en Algérie, il se trouve que notre aigle royal, cette espèce censée être protégée qui vit sur les hautes cimes du Djurdjura mais qui nidifie parfois dans les plaines, est livré à lui-même.
A Bechloul, un couple de ces rapaces vient d’avoir dans une nichée, sur une falaise à M’laoua, six aiglons. Ces derniers ont été braconnés par des petits enfants qui, par inconscience, les ont arrachés à leurs parents pour les céder, sur la RN5, au prix dérisoire de 400 DA.
Des animateurs de l’association «Les Amis de la nature», de M’chedallah, qui ont pu récupérer un aiglon en le rachetant au prix de… 800 DA, tirent la sonnette d’alarme contre le braconnage de cette espèce rare, dont l’envergure des ailes, déployées, dépasse les 3 mètres.
Par le soir
Alors que dans des pays comme les Etats-Unis, des organisations de protection des animaux dépensent jusqu’à 15 000 dollars pour élever un aiglon jusqu’à l’âge adulte avant de le lâcher dans la nature, chez nous en Algérie, il se trouve que notre aigle royal, cette espèce censée être protégée qui vit sur les hautes cimes du Djurdjura mais qui nidifie parfois dans les plaines, est livré à lui-même.
A Bechloul, un couple de ces rapaces vient d’avoir dans une nichée, sur une falaise à M’laoua, six aiglons. Ces derniers ont été braconnés par des petits enfants qui, par inconscience, les ont arrachés à leurs parents pour les céder, sur la RN5, au prix dérisoire de 400 DA.
Des animateurs de l’association «Les Amis de la nature», de M’chedallah, qui ont pu récupérer un aiglon en le rachetant au prix de… 800 DA, tirent la sonnette d’alarme contre le braconnage de cette espèce rare, dont l’envergure des ailes, déployées, dépasse les 3 mètres.
Par le soir
