Pour comprendre les trous noirs, il est bon de connaître la succession des étapes qui mènent à leur formation. Une étoile est une énorme boule de plasma dont le cœur est en fusion nucléaire. La pression que génère l’énergie colossale des réactions nucléaires centrales l’empêche de s’effondrer sur elle-même. Par exemple, si notre étoile le Soleil perdure et fait le bonheur de nos journées, c’est parce que ses forces contraires et intérieures s’opposent et se stabilisent. Chaque seconde, il fusionne 632 millions de tonnes d’hydrogène en 628 millions de tonnes d’hélium: la différence de 4 millions de tonnes est transformée en énergie pure, en vertu de la relation masse-énergie d’Einstein, d’où sa lumière éblouissante.
Le rayonnement d’une étoile implique donc une perte de sa masse. Son destin et les circonstances de sa mort dépendent alors de cette masse. Par convention, la masse des étoiles est évaluée à l’aune de la masse du Soleil, soit 1Mo, ce qui équivaut à 1,99 × 1030 kilogrammes.
Ainsi, un jour viendra où le jour ne sera plus: dans cinq milliards d’années, le Soleil aura fusionné tout son hydrogène. Par gravité, son enveloppe de gaz commencera à s’affaisser vers le cœur palpitant. Mais cette implosion solaire n’aboutira pas, car les réactions nucléaires reprendront de plus belle par la fusion de l’hélium, cette fois-ci. Le Soleil se dilatera à nouveau et entrera dans sa phase dite de «géante rouge», la fusion de l’hélium générant plus d’énergie que la fusion de l’hydrogène. Sa taille atteindra l’orbite actuelle de Mars. Finalement, la gravitation succombera aux ondes de choc de la nucléosynthèse et les couches supérieures de l’étoile en agonie iront se dissiper dans l’infini. Le centre de la nébuleuse planétaire nouvellement formée sera habité par un caillot résiduel, une naine blanche, sorte de tison de dimension terrestre, très chaud, constitué de matière dégénérée surexcitée. Ainsi mourra le Soleil.
Ce scénario terminal de la naine blanche, bien qu’étant le plus fréquent dans l’Univers, ne fait pas la règle parmi les populations stellaires. Une minorité d’étoiles, celles qui sont les plus massives, finiront de manière plus dramatique, le trou noir en constituant l’ultime et exceptionnel trépas.
Encyclopédie de l'AGORA
ceci est pour le trou noir ce que je voudrais comprendre moi c le trou de ver
j'en ai un peu entendu parlé mais c trés théorique et Einstein n'en a pas parlé comme ,il a parlé du trou noir
Le rayonnement d’une étoile implique donc une perte de sa masse. Son destin et les circonstances de sa mort dépendent alors de cette masse. Par convention, la masse des étoiles est évaluée à l’aune de la masse du Soleil, soit 1Mo, ce qui équivaut à 1,99 × 1030 kilogrammes.
Ainsi, un jour viendra où le jour ne sera plus: dans cinq milliards d’années, le Soleil aura fusionné tout son hydrogène. Par gravité, son enveloppe de gaz commencera à s’affaisser vers le cœur palpitant. Mais cette implosion solaire n’aboutira pas, car les réactions nucléaires reprendront de plus belle par la fusion de l’hélium, cette fois-ci. Le Soleil se dilatera à nouveau et entrera dans sa phase dite de «géante rouge», la fusion de l’hélium générant plus d’énergie que la fusion de l’hydrogène. Sa taille atteindra l’orbite actuelle de Mars. Finalement, la gravitation succombera aux ondes de choc de la nucléosynthèse et les couches supérieures de l’étoile en agonie iront se dissiper dans l’infini. Le centre de la nébuleuse planétaire nouvellement formée sera habité par un caillot résiduel, une naine blanche, sorte de tison de dimension terrestre, très chaud, constitué de matière dégénérée surexcitée. Ainsi mourra le Soleil.
Ce scénario terminal de la naine blanche, bien qu’étant le plus fréquent dans l’Univers, ne fait pas la règle parmi les populations stellaires. Une minorité d’étoiles, celles qui sont les plus massives, finiront de manière plus dramatique, le trou noir en constituant l’ultime et exceptionnel trépas.
Encyclopédie de l'AGORA
ceci est pour le trou noir ce que je voudrais comprendre moi c le trou de ver
j'en ai un peu entendu parlé mais c trés théorique et Einstein n'en a pas parlé comme ,il a parlé du trou noir
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