Bonjour à vous mes amis
je suis tombé par hazard sur cet article si on peut dire ça comme ça !!!
je l'ai trouvée interessant je voulais le partager avec vous !!!
alors bonne lecture
Généralement, chacun se range dans une des deux catégories*: les "croyants" ou les "athées". Ces derniers n’ont apparemment aucune difficulté existentielle*: pour eux, le hasard régit nos vies et toute cause engendre une conséquence. Ils s’estiment responsables de leurs succès et de leurs échecs. La loi leur offre un cadre dont ils s’efforcent de respecter les limites et ils acceptent d’être puni par leurs pairs en cas d’infraction, ce qu’ils appellent "payer sa dette à la société". Ils font confiance à la médecine pour les guérir de tous leurs maux, accordant de plus en plus de place à la psychanalyse pour résoudre leurs problèmes moraux. Les plus optimistes d’entre eux ont la certitude que dans un avenir maintenant proche l’homme trouvera une solution à toutes les interrogations métaphysiques grâce aux découvertes scientifiques puissamment aidées par les progrès technologiques. Cependant les explications fournies par la science laissent l’essentiel dans l’ombre. Par exemple, qu’existait-il avant le big-bang*? L’intelligence ordinaire peut-elle concevoir un tel événement qui se produit à un moment indéterminable puisque le temps n’existe pas, en un lieu impossible à préciser, mais qui rassemble en un point infiniment petit toute la matière qui va constituer l’ensemble de l’univers. Je ne suis pas assez savant (c’est un euphémisme pour avouer ma totale ignorance) pour réfuter ces affirmations et je les accepte comme le croyant accepte la révélation divine mais j’ai autant de difficulté à comprendre ces explications qu’à accepter les élucubrations des hommes qui ont prétendu aux cours des millénaires qu’ils avaient conversé avec Dieu et avaient été investis d’une mission d’information. Quant aux croyants, alors que, d’évidence, tout évolue dans tous les domaines, ils restent imperturbablement fidèles à des interprétations théologiques acceptables à la condition de remplacer la recherche de la vérité, même dérangeante, parfois déplaisante, par une foi, dogmatique et intransigeante, ne souffrant aucune remise en question. Si les religions refusent l’évidence scientifique et s’adressent à l’homme d’aujourd’hui dans les mêmes termes qu’elles ont employés avec nos lointains ancêtres, elles deviendront la cause principale de la négation de Dieu et c’est déjà ce qui est en train de se produire dans le monde occidental. Force est de constater que la libération de l’homme et plus encore de la femme se fait par l’affranchissement de l’emprise religieuse. Or, la science ne résoudra jamais les problèmes moraux. Elle ne permettra pas de mieux nous connaître, de soulager nos souffrances et d’apaiser nos angoisses. Il y aura toujours un moment, une circonstance dans sa vie où l’être humain cherchera Dieu tant il se sentira démuni devant le malheur ou même le simple désarroi. Quels que soient leur degré d’instruction, leur intelligence, combien se laissent endoctriner par une spiritualité de pacotilles, embrigader par des sectes dont la mission essentielle est de pomper leur fric, gruger par des gourous ou des psychanalystes autoproclamés ou essaient d’assimiler ce que leur enseignent des religions exotiques incompatibles avec leur mode de vie. Ce serait ridicule si ce n’était pas pathétique car révélateur d’une profonde détresse."""""
http://www.antidotes-web.net -- Vendredi 28 Avril 2006
je suis tombé par hazard sur cet article si on peut dire ça comme ça !!!
je l'ai trouvée interessant je voulais le partager avec vous !!!


Généralement, chacun se range dans une des deux catégories*: les "croyants" ou les "athées". Ces derniers n’ont apparemment aucune difficulté existentielle*: pour eux, le hasard régit nos vies et toute cause engendre une conséquence. Ils s’estiment responsables de leurs succès et de leurs échecs. La loi leur offre un cadre dont ils s’efforcent de respecter les limites et ils acceptent d’être puni par leurs pairs en cas d’infraction, ce qu’ils appellent "payer sa dette à la société". Ils font confiance à la médecine pour les guérir de tous leurs maux, accordant de plus en plus de place à la psychanalyse pour résoudre leurs problèmes moraux. Les plus optimistes d’entre eux ont la certitude que dans un avenir maintenant proche l’homme trouvera une solution à toutes les interrogations métaphysiques grâce aux découvertes scientifiques puissamment aidées par les progrès technologiques. Cependant les explications fournies par la science laissent l’essentiel dans l’ombre. Par exemple, qu’existait-il avant le big-bang*? L’intelligence ordinaire peut-elle concevoir un tel événement qui se produit à un moment indéterminable puisque le temps n’existe pas, en un lieu impossible à préciser, mais qui rassemble en un point infiniment petit toute la matière qui va constituer l’ensemble de l’univers. Je ne suis pas assez savant (c’est un euphémisme pour avouer ma totale ignorance) pour réfuter ces affirmations et je les accepte comme le croyant accepte la révélation divine mais j’ai autant de difficulté à comprendre ces explications qu’à accepter les élucubrations des hommes qui ont prétendu aux cours des millénaires qu’ils avaient conversé avec Dieu et avaient été investis d’une mission d’information. Quant aux croyants, alors que, d’évidence, tout évolue dans tous les domaines, ils restent imperturbablement fidèles à des interprétations théologiques acceptables à la condition de remplacer la recherche de la vérité, même dérangeante, parfois déplaisante, par une foi, dogmatique et intransigeante, ne souffrant aucune remise en question. Si les religions refusent l’évidence scientifique et s’adressent à l’homme d’aujourd’hui dans les mêmes termes qu’elles ont employés avec nos lointains ancêtres, elles deviendront la cause principale de la négation de Dieu et c’est déjà ce qui est en train de se produire dans le monde occidental. Force est de constater que la libération de l’homme et plus encore de la femme se fait par l’affranchissement de l’emprise religieuse. Or, la science ne résoudra jamais les problèmes moraux. Elle ne permettra pas de mieux nous connaître, de soulager nos souffrances et d’apaiser nos angoisses. Il y aura toujours un moment, une circonstance dans sa vie où l’être humain cherchera Dieu tant il se sentira démuni devant le malheur ou même le simple désarroi. Quels que soient leur degré d’instruction, leur intelligence, combien se laissent endoctriner par une spiritualité de pacotilles, embrigader par des sectes dont la mission essentielle est de pomper leur fric, gruger par des gourous ou des psychanalystes autoproclamés ou essaient d’assimiler ce que leur enseignent des religions exotiques incompatibles avec leur mode de vie. Ce serait ridicule si ce n’était pas pathétique car révélateur d’une profonde détresse."""""
http://www.antidotes-web.net -- Vendredi 28 Avril 2006
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