IRIB- L’étude est étonnante. Des neurologues canadiens ont fait passer des tests à des croyants et des athées. Les volontaires étaient placés, dans un scanner, afin d’observer l’activité de leurs cerveaux, lorsqu’ils répondaient à une série de questions. Les conclusions sont formelles : les athées réagissent plus vivement à l’imprévu que les croyants et stimulent plus leurs cortex cingulaire, une zone de cerveau utilisée, pour anticiper l’avenir ou encore prendre des décisions. La raison est simple : les croyants ont tendance à justifier l’imprévu et l’échec de leurs actions, par la décision de Dieu. La réponse à la plupart de leurs questions est dictée par leurs croyances, ils activent, donc, moins cette zone de leur cerveau
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