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le besoin ne se fait pas encore sentir, et je doute que ça le sera en 2020
en 2020 ou plus tard en tt cas c prometteur
L’activité de l’homme utilise et produit de l’information. Chaque minute je dirais chaque seconde des événements sont produits des informations sont récoltés soient naturels soient des out puts des travaux réalisés et l’homme est en permanence à la recherche de la réalité de la vérité et l’information est un outil essentiel pour la découverte, l’interprétation et l’anticipation. Donc la qté d’information produit par l’homme est proportionnelle à l’évolution du monde en 2020 la qté de données atteindra 5200 GO/ habitant ….et la préservation de ces données posera pb......... l’ADN est longuement explorée pour le stockage de l’information et surtt à long terme son avantage est qu’elle se conserve pendant des milliers d’années en consommant très peu d’énergie………. donc c 1 bon support d’archivage par rapports à d’autres supports qui ont une durée de vie limitée et ces centres de données immense qui consomment énormément d'énergie
Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal : c’est le courage de continuer qui compte. Winston Churchill
ces centres de données consomment de l’énergie non pas pour archiver l'information, mais pour la traiter (serveurs et autres data center)
l’ADN est longuement explorée pour le stockage de l’information et surtt à long terme son avantage est qu’elle se conserve pendant des milliers d’années en consommant très peu d’énergie
il y a une infinité de moyens d'archivage de données avec un cout insignifiant en énergie. la particularité qui distingue cette technologie ADN qu'on souligne et qui en ferait un candidat remarquable parmi les autres, n'est pas sa consommation d’énergie mais le fait que ça soit compacte, c'est à dire le cout en volume. et sur cette aspect là, il n y a pas de besoin critique, sans parler du fait que ce n'est pas assez attractif/rentable pour en profiter (cout en traitement des données et autres couts qui en découlent, énergie, complexification, logistiques).
En plus, pour la qualité illusoire concernant le temps de conservation, j'ai soulevé le point de la sensibilité de l'ADN aux irradiation. leur fiabilité ne différe donc pas des autres moyens de stockage classique puisque chacun est sensible à un spectre de facteurs qui lui ai spécifique (humidité pour les livres, électricité statique pour les supports électroniques....ect.
Cordialement.
Dernière modification par GLP, 12 février 2013, 20h24.
bsr GLP
Si g b1 compris avant de traiter les données il faut les stocker....je sais que le centre de données est un ensemble de serveur qui a pour but le traitement ......il ya b1 1 base de données qui accumule les informations liées à une application ou une activité donnée......le soucis des chercheurs est b1 le stockage des données ..ou g mal compris?? ...et s'ils ont opté pour l'ADN c ke ça promet.......... je ne suis qu'une lectrice trés impressionnée par ces chercheurs qui font avancer le shmilblik.......m'enfin je vois que t plus calé ds ce domaine si tu veux bien m' éclairer sur les autres procédés moins onéreux pour le stockage de l'information ça serait sympa
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Si g b1 compris avant de traiter les données il faut les stocker...
D'accord avec toi. j'ajouterai peut être que dans la pratique (pour l'informatique), les deux ne se dissocient pas et vont de pair. il n'y aurait pas d'avant, ensuite. (on ne peut pas stocker des donnés sans les structurer, adressage, ajouts d'informations de correction d'erreurs...ect pour pouvoir les récupérer convenablement après pour un éventuel traitement)
il ya b1 1 base de données qui accumule les informations liées à une application ou une activité donnée......
l’accumulation = traitement, calculs, opérations...ect c'est essentiellement ce qui consomme de l’énergie, occupe du volume (unités de traitement)...
le soucis des chercheurs est b1 le stockage des données ..
ça dépend, pour ces chercheurs ici oui, mais le soucis premier en général est la vitesse de traitement.
et s'ils ont opté pour l'ADN c ke ça promet..........
Personne n'a opté pour l'ADN spécialement, ce sont des voies à explorer et voir si ça peut nous être utile (solutionne un problème, optimise un procédé...).
Le problème de l'ADN est qu'on ne peut l'utiliser qu'à des fins d'archivage (on ne peut pas réécrire sur de l'adn), et sur ce plan (archivage) il n y a pas un besoin pratique pressant et cette technologie ne règle pas un problème spécifique.
Sans parler du cout de l'utilisation de l'adn (par exemple un séquenceur d'adn pour la lecture coute entre 150 mille à 1 million de $)
je ne suis qu'une lectrice trés impressionnée par ces chercheurs qui font avancer le shmilblik.......
C'est toujours impressionnant et respectable un tel résultat de l'intelligence humaine, personnellement ça me fascine.
les autres procédés moins onéreux pour le stockage de l'information ça serait sympa
Pour les donnés, l'optique à de beaux jours devant elle (DVD, Blu ray....ect) avec les mémoire flash et supports magnétiques. ils évoluent de façon acceptable par rapport à nos besoins actuels et, les nanotechnologies aidant, on peut penser qu'on est loin des limites physiques de ces technologies. Ils répondent aussi à presque tout ces besoins (rapidité des mémoires flash, capacité des magnétiques, longévité des optiques...ect)
Quand on pense au coté pratique de l'ADN, je trouve que ça ne chamboule pas trop la donne, puisqu'elle ne répond (comme pour les autres technologie) qu'à un seul des besoins à la fois: densité (capacité/volume), avec une augmentation de cout qui contrebalance relativement ce gain en capacité.
Du coté "shmilblik" , on trouve les puces moléculaires, ou on se base sur un atome de fer aimanté dans une molécule organique. là le problème est inverse: on sait écrire, mais pas lire l'information.
Dernière modification par GLP, 14 février 2013, 04h09.
GLP
merci pour ce petit tour
effectivement les nanotubes seraient b1 1 solution surtout après la découverte d'1 µorganisme capable de produire des nanotubes mais!! en arsenic c 1 belle découverte ça donne des idées sur une éventuelle modification génétique: il suffit d'integrer un gène qui code pour la production d'un semiconducteur adapté et le tour est joué... c 1 voie à explorer aussi
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