
Le mois de janvier est le théâtre d’un spectacle céleste qui ne se reproduira pas avant les 8000 prochaines années alors que la comète Lovejoy traverse actuellement notre ciel.
«À Québec, c’est quasi impossible de la voir à l’œil nu avec la pollution lumineuse. Si l’on sait où regarder avec les cartes et qu’on est chanceux, peut-être, mais c’est plus probable en dehors de la Ville. C’est une tache blanche comme une boule de ouate», a fait savoir le professeur au département de physique de l’Université Laval, Laurent Drissen.
Toutefois, les gens qui possèdent des jumelles, un télescope ou encore un appareil photo peuvent admirer le phénomène dans toute sa splendeur.
«On peut voir la queue. Ce n’est pas parmi les phénomènes les plus spectaculaires, mais on peut voir la boule et la traînée verdâtres.»
Découverte en août 2014, la comète Lovejoy se situe actuellement à plus de 75 millions de kilomètres de la Terre et quittera progressivement notre champ de vision à compter du 31 janvier.
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