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Comment un site archéologique brésilien perturbe les modèles en cours

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  • Comment un site archéologique brésilien perturbe les modèles en cours

    Les sites de la Serra da Capivara au Brésil font partie de ceux qui mettent en cause la théorie d'un peuplement précolombien du Nouveau-Monde par la seule culture de Clovis. Des humains pourraient avoir vécu en Amérique du Sud il y a quatre fois plus longtemps que prévu.



    Il arrive parfois que de belles découvertes archéologiques constituent rapidement de véritables casse-têtes pour les chercheurs. Que faire quand un nombre réduit d'abris sous roche chamboule complètement l’état des connaissances ? Au Brésil, dans le parc national Serra da Capivara, classé au patrimoine mondial de l’humanité, des peintures rupestres et divers autres indices indiquent une présence humaine bien plus ancienne que prévu dans le Nouveau Monde.

    Le New-York Times a récemment publié tout un article sur le sujet. Selon la théorie dominante, l’Amérique aurait d’abord été peuplée il y a 13.000 ans par la culture de Clovis, du nom d’un site archéologique du Nouveau-Mexique. Elle est arrivée depuis l’Asie par le détroit de Béring alors émergé. Or, certains outils des sites brésiliens remonteraient à 22.000 ans et un crâne vieux de 11.000 ans, étudié par Walter Neves de l’université de São Paulo, présente davantage de ressemblances avec ceux des Aborigènes australiens que des Asiatiques. Les archéologues du Nouveau-Monde se déchirent violemment sur la question, certains comme Gary Haynes de l’université du Nevada n’hésite ainsi pas à déclarer que ces outils auraient pu être façonnés par des singes. Il faut dire que des analyses d’ADN mettent bien en valeur l’existence d’un lien entre les populations indigènes d’Amérique Centrale et d’un enfant de la culture de Clovis mort il y a 12.700 ans. Une étude de 2013 montre à l’inverse des liens génétiques entre les Amérindiens Botocudo et des Polynésiens. Des éléments encore plus anciens La contestation d’un modèle unique basé sur la culture de Clovis prend donc de l’ampleur et s’étaye d’éléments concrets. En novembre, un site uruguayen aurait montré un peuplement humain vieux de 30.000 ans, tandis que des charbons tirés d’un foyer découvert à Serra da Capivara ont été datés d’il y a environ 48.000 ans. "Si ces théories sont vérifiées, ceux qui ont vécu à Serra da Capivara n’ont pas transmis leur patrimoine génétique aux populations d’aujourd’hui, explique au New-York Times Michael Waters de l’université A&M du Texas. Nous devons réfléchir longuement et profondément sur ces sites anciens et à comment ils s’insèrent dans l’histoire du peuplement des Amériques.

    " Publié par Martin Koppe, le 06 avril 2014
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    n’hésite ainsi pas à déclarer que ces outils auraient pu être façonnés par des singes
    ma3za wa law tarrete !!

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    • #3
      Bijour Discus

      ma3za wa law tarrete !!
      LOL ..
      Ce chercheur est fan de la planète des singes
      Les singes ta3 bekri kanou harbine ..
      PEACE

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      • #4
        wa 3lik el bonjour mallow

        Oui mais sa planete a lui t'avancé l'arriere machi l'avant

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        • #5
          LOL Discus
          T'as raison .. comme les receveurs
          PEACE

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          • #6
            Voilaaa .. d'ailleurs souvent ils on des traits de ressemblance vu leur attitudes et comportements :22:

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            • #7
              .. t'as raison !.
              Les deux captent d'autres planètes LOL ..
              PEACE

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              • #8
                Et veulent nous y envoyer bessif ! :22:

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                • #9
                  LOL .. non ! Nous on garde les pieds sur terre احسن ..
                  PEACE

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