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La lumière

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  • La lumière

    Mirou

    A la fois onde et particule, la lumière a fasciné les grands savants depuis l'antiquité dont le plus ébloui, c'était, sans conteste, Albert Einstien.

    On dit d'elle qu'elle est un phénomène physique, un transport d'énergie sans transport de matière. Dans son acception générale de lumière visible, elle est constituée de l'ensemble des ondes électromagnétiques dont une partie de son spectre est perçue, à l'œil nu, par les humains.

    Elle est extraordinairement rapide et se déplace à 300.000 km par seconde, c'est à dire qu'elle ferait 7 fois le tour de terre en un clin d'œil. Mais, placé dans un contexte aussi vaste que celui de l'univers, elle nous semble très lente, puisqu'il lui faudra des milliards d'années pour le traverser de part en part.


    En somme, elle est aussi l'information dans le sens le plus étendu.

  • #2
    Les précurseurs

    En 1670, Ole Christensen Rømer mesure indirectement la vitesse de la lumière en observant les décalages de l'orbite de Io par rapport aux prévisions.

    Plus tard en 1849, Hippolyte Fizeau mesure directement la vitesse de la lumière avec un faisceau réfléchi par un miroir lointain et traversant une roue dentée. La vitesse de la lumière dans le vide, notée c (comme célérité), est une constante de la physique. Cette propriété a été induite de l'expérience d'interférométrie de Michelson et Morley et a été clairement énoncée par Albert Einstein en 1905.

    C'est la vitesse maximale permise pour tout déplacement de tout ce qui transporte de l'information ou de l'énergie, conformément à la théorie de la relativité.

    D'autres unités sont définies à partir de la vitesse de la lumière. En particulier le mètre est défini de telle sorte que la vitesse de la lumière dans le vide vaille 299 792 458 m/s. De ce fait, la vitesse de la lumière est exacte, car elle ne dépend plus d'une mesure (imprécise et susceptible de changement avec des progrès de mesure).

    Wikipédia

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    • #3
      Une petite citation

      ”Plus claire la lumière, plus sombre l'obscurité... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres.”

      Sartre

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      • #4
        Et si le soleil venait à disparaitre ?

        La lumière réfléchie de la lune met 1,3 seconde pour arriver à la terre, celle du soleil, met 8 minutes. Ce qui voudrait dire que si le soleil disparait instantanément, on s'en rendrait compte que 8 minutes plus tard

        autrement dit, bien que le soleil ait disparu, nous, sur terre, on continue toujours à le voir. Ce n'est qu'au bout de 8 mns, qu'on s'en apercevrait de sa disparition.

        Ce qui voudrait dire aussi que certains étoiles que nous voyons la nuit, n'existent en réalité plus et pourraient avoir disparu depuis belle lurette déjà.

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        • #5
          La lumière est un chose et son contraire

          L’inconvénient, pensent les scientifiques, c’est qu’elle introduit une contradiction dialectique : les éléments fondamentaux sont à la fois une chose et son contraire, onde et particule.

          Cela a été prouvé dans '' Les fentes de Young "

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          • #6
            Young - Taylors, les fentes et les photons

            ONDES OU PARTICULES ?


            Dans un premier temps, Young n’a démontré qu’une chose : la lumière est une onde puisqu’en passant par deux fentes, elle se recompose en formant des interférences comme le feraient des ondes dans l’eau passant par deux fentes.

            Dans un deuxième temps, Taylor a diminué la puissance de la lumière en la descendant au minimum, en fait en descendant au niveau d’un quanta de lumière. Résultat : il ne passe qu’un seul photon qui passe dans les deux fentes et reconstitue les interférences si on continue à faire passer pendant des heures des photons un par un.

            Cela signifie que les interférences ne sont pas celles d’une même onde matérielle mais des figures constituées statistiquement et que les interférences ont lieu en même temps que les impacts individuels, discrets et donc manifestations de corpuscules.

            La réalité est donc à la fois de type corpusculaire et ondulatoire, ce qui est pourtant contradictoire car ces deux images sont contraires.

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            • #7
              A moins que....

              A moins de construire une image à un niveau hiérarchique inférieur de la réalité : celle du vide, de décrire la manifestation corpusculaire et la manifestation ondulatoire, tous les deux à partir des réalités du vide...

              A ce moment-là, on va remarquer que la particule habituelle est formée d’un nuage de particules inhabituelles (celles du vide, éphémères, et dites pour cela virtuelles car leur temps de vie est trop court pour être capté par des expériences à notre échelle) et que l’onde est formée également par ce nuage de particules et antiparticules virtuelles.

              Et on va pouvoir expliquer ce qui se passe : le corpuscule ne passe que par une fente mais le nuage virtuel passe par les deux et il guide le corpuscule à la sortie des fentes.

              J’essaie de décrire brièvement malgré la complexité.

              Comment le corpuscule et l’onde peuvent tous deux être des produits du nuage virtuel ?

              Le corpuscule parce que celui-ci n’est pas un objet fixe mais une propriété de masse qui passe d’une particule virtuelle à une autre via le boson de Higgs.

              L’onde parce qu’elle est issue des mouvements des particules virtuelles autour du corpuscule.


              C'est un peu difficile à assimiler

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              • #8
                L'Intrication, une vie après la mort

                L'intrication quantique est un phénomène fondamental de la mécanique quantique mis en évidence par Einstein et Schrödinger dans les années 30. Deux systèmes physiques, comme deux particules, se retrouvent alors dans un état quantique dans lequel ils ne forment plus qu'un seul système dans un certain sens subtil.

                Toute mesure sur l'un des systèmes affecte l'autre, et ce, quelle que soit la distance les séparant. Avant l'intrication, deux systèmes physiques sans interactions sont dans des états quantiques indépendants mais après l'intrication ces deux états sont en quelque sorte « emmêlés » et il n'est plus possible de décrire ces deux systèmes de façon indépendante.


                L'expérience du chat de Schrödinger est un exemple de système intriqué. Le chat est dans une boite et dans cette boite se trouve un gaz mortel enfermé dans une fiole qui ne se brisera que dans certaines conditions. Ces conditions sont déterminées par un petit échantillon radioactif. Si les atomes se désintègrent, alors la fiole se brise et le chat meurt. N'ayant pas ouvert la boite, le chat est à la fois mort et vivant, et nous pouvons savoir s'il est mort ou vivant sans ouvrir la boite simplement en observant l'état de l'échantillon radioactif

                Les particules sont caractérisées par ce que l'on appelle des "nombres quantiques". Ceux ci peuvent être : la charge électrique, l'énergie de la particule, le spin - moment cinétique quantique - et bien d'autres ... . Lorsque deux particules sont dites intriquées, l'état de la première particule est déterminé avec certitude par l'état de la seconde particule. Par état j'entend les nombres quantiques de ces particules ou encore leurs caractéristiques. Cela signifie que si nous avons un système de deux particules intriquées et que nous mesurons les caractéristiques de la première particule, nous connaîtrons celle de la seconde particule avec certitude. Or vous savez qu'un principe de base de la mécanique quantique est de ne jamais connaitre avec certitude l'état quantique d'une particule et que celui-ci est seulement déterminé par la mesure expérimentale du système. Ce principe est violé lorsque le système est intriqué.

                Prenons une analogie de l'intrication quantique dans la vie de tous les jours avec deux boules de billard. Toutes deux sont caractérisées par leur position et leur vitesse. Au départ les boules forment deux systèmes distincts et non intriqués. Si une boule venait à frapper la seconde - sous un angle connu - alors le système devient intriqué car si l'on étudie la position et la vitesse d'une boule, nous connaissons immédiatement la position et la vitesse de la seconde boule. Le système est alors dit intriqué et nous pouvons considérer les deux boules comme une particule unique.



                En mécanique quantique c'est à peu près la même chose. Supposons que nous avons deux particules en contact à un instant t. On peut les caractériser par ce que l'on appelle en mécanique quantique une fonction d'onde qui prend en compte les deux particules. Lorsque ces particules se séparent, on peut les caractériser indépendamment l'une de l'autre par deux fonctions d'ondes respectives. Cela signifie qu'il existe trois fonctions d'ondes pour caractériser le système dont une qui lie la première particule à la seconde. C'est pour cela que si l'on connait la fonction d'onde de la première particule, on connait instantanément la fonction d'onde de la seconde particule.

                Il se pose alors le problème suivant : cela signifie t-il que l'information peut voyager à une vitesse supérieure à celle de la lumière ?

                Et bien pas du tout. L'observation d'une des deux particules a pour conséquences la disparition de l'état intriqué du système. Pourquoi ? Simplement parce qu'il est impossible d'observer une particule sans l'influencer, afin d'observer ces particules, les physiciens sont obligés de les faire interagir avec d'autres particules de façon à rendre le phénomène macroscopique et donc analysable. Ce qui signifie que dans la réalité, il est impossible de connaitre instantanément l'état de la seconde particule donc que l'information ne peut pas voyager à une vitesse supérieure à celle de la lumière.

                Il existe de nombreuses conséquences à ce phénomène. De nombreux concepts découlent de cette science et semblent avoir une réalité physique mais ne sont en aucun cas démontrés. Ce sont des hypothèses que je souhaite vous présenter et vous pouvez choisir d'y croire ou non, le but est simplement de créer le débat.

                L'intrication quantique permettrait de téléporter des objets. C'est un phénomène que je développerai un peu plus dans un prochain article.

                Une autre implication de l'intrication quantique est de nature plus spirituelle et consiste à dire que l'univers forme une entité unique et que nous sommes une partie de cette entité et que n'importe quel événement qui se déroule dans l'univers influe sur nous et vice versa. Nous pouvons alors remettre en cause notre libre arbitre cependant je ne vais pas développer le sujet ici, il sera sujet à un nouvel article. Vous pouvez retrouver mes autres articles sur le site

                www.physiquereussite.fr

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                • #9
                  Bonjour Mi_rou,
                  s'il te plait qui a produit ce résumé ? je ne trouve pas de référence ni de lien directe à l'article et tu as mis "Mirou" au debut.

                  Je veux m'assurer que ce n'est pas un scientifique qui aura "glissé" ce titre: "L'Intrication, une vie après la mort" , malgré que j'ai déjà des soupçons (vu certains "à peu près" pénibles et flagrants qui se sont glissé aussi dans le contenu).
                  ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

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                  • #10
                    Salut, l'ami

                    Wellah, ce n'est pas facile de t'expliquer cela en quelques mots, j'ai moi-même parfois du mal à bien assimiler cet aspect extraordinaire de la nature cachée et ce n'est qu'une fois passés en revue des articles plusieurs fois de suite que j'arrive à me faire une modeste idée et d'assouvir un tant soit peu ma curiosité.

                    J'ai choisi pour toi quelques articles fort intéressants expliquant le phénomène d'intrication en relation avec la Conscience. Avec un peu de persévérance, j'ose espérer qu'à la fin d'une lecture concentrée, tu arriveras à en faire une idée.




                    Il en va tout autrement dans la physique des quanta puisque « c’est la mesure qui constitue le phénomène ». Or, un changement d’intention au cours de l’une des mesures répercute ce changement dans l’autre système isolé. Comment l’un des atomes s’y prend-il pour « télégraphier » à l’autre qu’il doit changer de spin selon X, Y ou Z ? Et la distance n’intervient pas, ce phénomène transcende donc l’espace-temps. « C’est de la magie », dit un physicien, « de la télépathie » avance un autre ; ou bien la théorie quantique est fausse et cette éventualité n’est pas possible. Depuis lors, une autre explication bien simple se fait jour qui annule tout simplement le paradoxe : c’est l’unité de la Conscience et de la matière ainsi que le rappelle David Bohm dans les conclusions finales du colloque, et d’autre part, l’interaction universelle de tous les éléments subatomiques, telle que la moindre modification en un point quelconque est instantanément ressentie jusqu’aux confins des galaxies les plus lointaines. Jean Charon, dans ses deux derniers ouvrages, nous informe de la Conscience des électrons qui, réalisant une véritable « Société d’esprits », entraînent la possibilité de dialogue entre tous les sociétaires. Enfin, l’Univers et la Conscience holographiques que nous avons décrits ne laissent aucun doute sur la possibilité d’une connaissance universelle en raison de l’intrication de base du monde subatomique. Au colloque de Cordoue, un astrophysicien assistant à de stériles discussions sur le paradoxe EPR, déclare avec beaucoup d’humour qu’il ne voit pas d’aporie absolue dans ce paradoxe, autre que celle justement qu’y « projette » la conscience paradoxale du physicien.
                    Dernière modification par Mi_rou, 30 juin 2016, 10h46.

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                    • #11
                      Il nous reste à préciser les fort intéressantes et originales recherches d’un petit groupe de microphysiciens, prix Nobel pour certains d’entre eux, et concernant essentiellement la « nature » de la Conscience, en raison de son intrication avec les processus quantiques du monde physique. Et cela, de façon passionnante pour nous qui, dans notre quête spirituelle, « manipulons » le dynamisme fonctionnel de la Conscience, conformément aux directives de la tradition hindoue.

                      Contrairement à la grande majorité des psychologues occidentaux considérant la Conscience comme une qualité du mental, nous avons admis que cette dernière est une puissance autonome, à l’origine de toute manifestation et partant créatrice de tous les niveaux de la structure humaine qu’elle éduque et qu’elle utilise. Et si, de ce fait, nous la trouvons constamment associée au mental, il nous est par ailleurs recommandé instamment de dégager cette Conscience du mental pour libérer ses potentialités de connaissance, de puissance, d’amour et de félicité. Patanjali, dans ses aphorismes, donne même, à ce processus de dégagement, une valeur de définition pour le Yoga : l’arrêt des fluctuations mentales.


                      Or, les physiciens qui nous intéressent, sont précisément de fidèles adeptes du Rig Veda ; ils savent qu’il est une possibilité, chez certains méditants avancés, d’expérimenter les expressions quantiques de la Conscience à l’état pur en comparaison avec les états associés au mental et cela en parallèle avec les états nobles ou ordinaires des substances physiques.

                      Trois considérations capitales nous sont présentées en physique :

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                      • #12
                        1o L’efficacité fonctionnelle de ces états nobles, tels les supraconducteurs. A titre d’exemple : « L’effet tunnel » qui valut le prix Nobel à Josephson : l’onde de l’électron qui se propage à travers un supraconducteur possède une énergie qui, en termes de physique classique est insuffisante pour traverser une barrière isolante ; en mécanique quantique (qui étudie la nature des atomes et leurs interactions mutuelles d’après les propriétés ondulatoires des particules élémentaires) , un aspect non manifesté de l’onde de l’électron « perce un tunnel » à travers la barrière. Cette pénétration se fait en vertu de la cohérence de l’onde de l’électron dans le supraconducteur.

                        2o Caractéristiques de l’état noble : Elles peuvent en effet se définir par la cohérence et l’ordre (néguentropie) des particules élémentaires, dans un métal par exemple. Au contraire, dans les états impurs de la matière, les particules élémentaires manifestent l’incohérence et le désordre (entropie).

                        3o Processus de purification : Il nous est donné par la 3ème loi de la Thermodynamique : l’ordre parfait à l’activité zéro. Cette branche de la physique présente une description de l’ordre (néguentropie) et du désordre (entropie) ; l’ordre implique la régularité, la pureté et la symétrie. La 3ème loi indique le moyen d’accroître l’ordre de n’importe quelle substance jusqu’à la perfection car il existe une relation entre l’activité et l’entropie. Or, en physique, il existe un autre rapport entre l’activité des particules et la température : lorsque la température baisse, l’entropie baisse ; lorsqu’elle atteint le zéro absolu (273,16 degrés au-dessous du zéro centigrade) , l’ordre est parfait. Il résulte de cela qu’il est alors possible d’éliminer n’importe quelle impureté matérielle ou structurelle d’une substance en réduisant simplement sa température près du zéro absolu, l’équilibre s’établira de lui-même. Cela évoque pour nous la loi du niveau supérieur en ce qui concerne l’action de la Conscience, à savoir, l’inutilité absolue de nous débattre dans le problème de la dualité du bien et du mal alors qu’il suffit de placer la Conscience sur un niveau qui la transcende pour que tout rentre dans l’ordre au niveau inférieur.

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                        • #13
                          « La relation intime entre la Conscience et la théorie quantique de mesure, déclare le Professeur Wigner, prix Nobel de physique, exige de clarifier la nature de la Conscience elle-même ». Cette dernière se comporte comme une fonction d’onde de la mécanique quantique, c’est là une raison de rechercher les mécanismes quantiques de l’esprit. Selon les propres termes de ce savant : « La véritable étude du monde physique conduit à la conclusion que le contenu de la Conscience est une réalité ultime… Toute la connaissance possible concernant n’importe quel objet peut être donnée par sa fonction d’onde ». Niels Bohr, considérant la pensée elle-même, estimait qu’impliquant de si petites énergies, elle devait obligatoirement être régie par des effets quantiques. David Bohm estime que les sautes d’attention se comportent selon le principe d’incertitude, celui-là même qui caractérise la physique quantique. Quant à Heisenberg, il souligne que les lois de la nature que nous formulons en mathématique ne traitent plus des particules elles-mêmes, mais de notre connaissance de ces particules élémentaires. En d’autres termes : la dynamique quantique est une dynamique d’états de connaissance, d’excitations de la Conscience autant qu’une dynamique d’objets physiques.


                          Il importait, pour ce faire, de détecter, en laboratoire, les signes caractéristiques de la transition quantique, à savoir, l’ordre et la cohérence dans les manifestations électriques de nos processus cérébraux, tandis que la Conscience passe de son état associé à son état libre de pure Conscience. A cette fin, ce sont les équipes de physique et de neurophysiologie de l’Institut Meru, à Seelisberg, en Suisse, qui ont pu mener à bien ces investigations par l’enregistrement de méditants suffisamment avancés pour obtenir des périodes valables de silence mental au cours de leurs exercices. Il s’agit donc d’enregistrements électroencéphalographiques avec l’un des appareils les plus perfectionnés du monde dans son genre : polygraphe à 17 canaux, associé à un ordinateur.

                          Le Système Nerveux est, en effet, le lieu de rencontre entre la structure quantique de la matière et l’état de conscience. Il s’agit, dans ce cas, non plus d’un simple examen neurophysiologique mais d’une étude biophysique du Système Nerveux.

                          Alors que, dans les états de conscience habituels, en dehors de la méditation, les signaux électroencéphalographiques enregistrés en différentes régions du cerveau, varient d’une région à l’autre, on voit apparaître, avec la décroissance de l’activité mentale, des transitions de phases vers des états plus ordonnés et plus étendus et finalement, une cohérence spatiale qui s’étend à toutes les zones enregistrées, le synchronisme affectant aussi bien le cerveau droit que le cerveau gauche. Et cela, au moment où la respiration devient très superficielle et parfois totalement suspendue et où le sujet accuse, en même temps que la perte de sensation subjective du corps, une expansion de Conscience, dans un état infini, hors du temps, reposante et agréable suivie d’une grande clarté d’esprit et de créativité. Cela, font remarquer les auteurs, est une preuve que la Conscience ne dépend pas des pensées ainsi que le voudrait la psychologie occidentale traditionnelle.

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                          • #14
                            ah merci pour la clarification Mi_rou, dans ce cas, c'est tout à fait bien fourni comme synthèse, je vais lire la suite que tu as ajouté après leftour. j'ai pu retrouver aussi quelques sources de certains paragraphes dans le site que tu as indiqué.

                            En attendant, j'ai déjà eu à me pencher sur ces idées auparavant et ça va certainement me faciliter la lecture ici, ce que j'en ai conclus c'est que pour les vérité scientifiques c'est assez correcte et consistant mais ça reste un peu bâclé niveau détails pour les prendre pour autre chose que des lectures divertissantes. ça a le mérite d’alimenter l'imagination certes et de titiller la curiosité.

                            il faut juste faire attention de ne pas prendre la base scientifique comme gage d'assurance pour ce qu'on y greffe comme "généralisations" pour le moins... irrationnelles.

                            Je te souhaite de très bonnes lectures.
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                            • #15
                              ce que j'en ai conclus c'est que pour les vérité scientifiques c'est assez correcte et consistant mais ça reste un peu bâclé niveau détails pour les prendre pour autre chose que des lectures divertissantes. ça a le mérite d’alimenter l'imagination certes et de titiller la curiosité.
                              Le drame est qu'il y a un fossé, sinon, un océan qui sépare l'infiniment grand à l'infiniment petit, ce qu'Albert Einestein n'a jamais réussi à concilier pour établir une seule théorie (la théorie du tout ) - On s'était aperçu qu'il y a, non seulement, deux mondes, mais, également deux physiques

                              Dans le domaine quantique la physique telle que nous la connaissons s'effondre. Les particules obéissent à des lois (encore faut-il l'appeler ainsi) dépassent notre entendement, c'est le cas de l'intrication.

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