Le projet d'études de la vie marine (CML) mène actuellement un recensement de la faune et de la flore marines. Les 300 scientifiques de 53 pays qui participent au projet estiment dans un premier bilan que 5000 espèces de poissons restent à découvrir à l'échelle planétaire.
Le groupe a comptabilisé jusqu'à maintenant 15 304 espèces de poissons et environ 200 000 autres espèces d'animaux et de plantes.
Les chercheurs pensent qu'à la fin de l'étude, qui doit se terminer en 2010, le nombre d'espèces marines recensées pourrait dépasser 2 millions.
Le rapport démontre également que plusieurs espèces de poissons sont moins nombreuses en raison de la surexploitation provoquée par l'industrie de la pêche. Le CML note que chaque espèce de grand poisson sauvage a été pêchée de manière si considérable au cours des 50 dernières années que 90% de chacune de ces espèces ont disparu.
Les écologistes entendent utiliser les résultats de l'étude pour lutter contre la surpêche et la pollution, qui appauvrissent les ressources des océans. Des entreprises espèrent de leur côté que ces travaux conduiront à la mise au point de nouveaux médicaments ou composés industriels.
Certaines découvertes ont un grand intérêt pour la recherche médicale. Par exemple, au large de la Floride, une nouvelle espèce d'éponge rouge a été identifiée. Elle contient des composants chimiques qui pourraient aider à traiter certaines tumeurs cancéreuses.
L'idée du projet a été lancée après la publication en 1995 d'un rapport de l'Académie nationale des sciences américaine qui avertissait que la croissance de la démographie humaine modifiait rapidement la diversité biologique dans les océans.
source;science radio-canada.[/url]
Le groupe a comptabilisé jusqu'à maintenant 15 304 espèces de poissons et environ 200 000 autres espèces d'animaux et de plantes.
Les chercheurs pensent qu'à la fin de l'étude, qui doit se terminer en 2010, le nombre d'espèces marines recensées pourrait dépasser 2 millions.
Le rapport démontre également que plusieurs espèces de poissons sont moins nombreuses en raison de la surexploitation provoquée par l'industrie de la pêche. Le CML note que chaque espèce de grand poisson sauvage a été pêchée de manière si considérable au cours des 50 dernières années que 90% de chacune de ces espèces ont disparu.
Les écologistes entendent utiliser les résultats de l'étude pour lutter contre la surpêche et la pollution, qui appauvrissent les ressources des océans. Des entreprises espèrent de leur côté que ces travaux conduiront à la mise au point de nouveaux médicaments ou composés industriels.
Certaines découvertes ont un grand intérêt pour la recherche médicale. Par exemple, au large de la Floride, une nouvelle espèce d'éponge rouge a été identifiée. Elle contient des composants chimiques qui pourraient aider à traiter certaines tumeurs cancéreuses.
L'idée du projet a été lancée après la publication en 1995 d'un rapport de l'Académie nationale des sciences américaine qui avertissait que la croissance de la démographie humaine modifiait rapidement la diversité biologique dans les océans.
source;science radio-canada.[/url]
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