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Le Centre des techniques spatial (CTS) à Arzew a organisé ce lundi à Bethioua des journées scientifiques pour célébrer la commémoration du 5e anniversaire d’Alsat 1 et le 20e anniversaire de la création du CTS et ce, en présence du ministre, Boudjemaâ Haïchour et du directeur de l’Agence spatiale algérienne, M. Oussedik.
A l’occasion de cette rencontre qui devait être l’occasion de faire une rétrospective de ce qui a été réalisé dans le domaine spatial durant ces deux dernières décennies et les progrès enregistrés en matière de formation, de recherche et de développement , M. Boudjemaâ Haïchour a rappelé l’engagement du président, dont il ne manquera pas de rendre hommage à maintes reprises, pour permettre le développement de ce secteur. Ainsi, l’adoption du programme spatial national auquel il a été joint une enveloppe financière de 82 milliards de dinars devrait permettre à l’orée de 2020 la réalisation de plusieurs projets de construction de microsatellites en partenariat avec divers pays.
Dans cet ordre, la réalisation d’un deuxième satellite après Alsat 1 est en voie d’être fait au Centre aérospatial de Toulouse en France, et dénommé Alsat 2A et qui devra remplacer le premier qui montre des signes de vieillissement prématurés des cellules de la batterie d’énergie. Pour la réalisation d’Alsat 2A, une équipe de 30 chercheurs algériens se trouve actuellement en France et ce sont ceux-là mêmes qui, une fois Alsat 2A lancé à la fin 2008, devront à leur tour réaliser Alsat 2B. Ce dernier satellite sera fabriqué entièrement en Algérie plus précisément à Oran où sera implanté le futur centre de développement des satellites. L’Algérie a opté pour le partenariat pour la réalisation de satellites d’observation de la terre et ce, afin de bénéficier du transfert de technologie et de la formation-recherche.
Par le biais du programme national spatial, M. Oussedik a rappelé les autres projets existants : «Il y a Alsat 2A et B, ce sont des satellites d’observation de la terre, Alsat 2A ayant une résolution de 2,5 m, un autre satellite pour la constellation africaine qui comprend l’Algérie, l’Afrique du Sud et le Nigéria avec des applications dans le domaine des ressources naturelles... Il va y avoir aussi un satellite de télécommunication appelé Alcom Sat 1...» Lors de son allocution où il évoquera les méfaits du colonialisme qui ne nous a pas aidé, dira M. Haïchour dans une longue parenthèse, ce dernier parlera du projet de satellite arabe qui, pour l’heure, a donné lieu à la création d’une mission composée des ministres arabes de l’Environnement, chargés de définir les missions de ce satellite. Quant à l’exploitation d’Alsat 1 qui faisait aussi partie d’une constellation internationale composée de la Grande-Bretagne, la Chine, la Turquie et le Nigeria, en 5 ans, il a balayé une surface de 80 millions de km2, a pris 550 images de l’Algérie sur un total de 750 pour l’Afrique.
Par le soir
A l’occasion de cette rencontre qui devait être l’occasion de faire une rétrospective de ce qui a été réalisé dans le domaine spatial durant ces deux dernières décennies et les progrès enregistrés en matière de formation, de recherche et de développement , M. Boudjemaâ Haïchour a rappelé l’engagement du président, dont il ne manquera pas de rendre hommage à maintes reprises, pour permettre le développement de ce secteur. Ainsi, l’adoption du programme spatial national auquel il a été joint une enveloppe financière de 82 milliards de dinars devrait permettre à l’orée de 2020 la réalisation de plusieurs projets de construction de microsatellites en partenariat avec divers pays.
Dans cet ordre, la réalisation d’un deuxième satellite après Alsat 1 est en voie d’être fait au Centre aérospatial de Toulouse en France, et dénommé Alsat 2A et qui devra remplacer le premier qui montre des signes de vieillissement prématurés des cellules de la batterie d’énergie. Pour la réalisation d’Alsat 2A, une équipe de 30 chercheurs algériens se trouve actuellement en France et ce sont ceux-là mêmes qui, une fois Alsat 2A lancé à la fin 2008, devront à leur tour réaliser Alsat 2B. Ce dernier satellite sera fabriqué entièrement en Algérie plus précisément à Oran où sera implanté le futur centre de développement des satellites. L’Algérie a opté pour le partenariat pour la réalisation de satellites d’observation de la terre et ce, afin de bénéficier du transfert de technologie et de la formation-recherche.
Par le biais du programme national spatial, M. Oussedik a rappelé les autres projets existants : «Il y a Alsat 2A et B, ce sont des satellites d’observation de la terre, Alsat 2A ayant une résolution de 2,5 m, un autre satellite pour la constellation africaine qui comprend l’Algérie, l’Afrique du Sud et le Nigéria avec des applications dans le domaine des ressources naturelles... Il va y avoir aussi un satellite de télécommunication appelé Alcom Sat 1...» Lors de son allocution où il évoquera les méfaits du colonialisme qui ne nous a pas aidé, dira M. Haïchour dans une longue parenthèse, ce dernier parlera du projet de satellite arabe qui, pour l’heure, a donné lieu à la création d’une mission composée des ministres arabes de l’Environnement, chargés de définir les missions de ce satellite. Quant à l’exploitation d’Alsat 1 qui faisait aussi partie d’une constellation internationale composée de la Grande-Bretagne, la Chine, la Turquie et le Nigeria, en 5 ans, il a balayé une surface de 80 millions de km2, a pris 550 images de l’Algérie sur un total de 750 pour l’Afrique.
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