Le chat n’est pas amateur de sucrerie, contrairement au chien et à beaucoup d’animaux. Les chats ne possèdent pas les récepteurs nécessaires pour goûter les sucres, expliquent des chercheurs dans la revue PLoS Genetics.
Ce désintérêt pour les gourmandises a déjà été observé chez les autres félins, les lions, les léopards, les tigres ou les jaguars. Or les mammifères possèdent un récepteur composé des protéines T1R2 et T1R3 codées par deux gènes distincts.Les chercheurs ont découvert chez les chats domestiques une anomalie sur le gène de la protéine T1R2. Il s’agit en fait d’un pseudogène, la trace d’un gène qui ne fonctionne plus. La même anomalie se retrouve chez les tigres et les guépards, précisent les chercheurs.
La protéine T1R2 n’est plus fabriquée et ne peut plus se joindre à la protéine T1R3 pour former un récepteur de goûts sucrés.
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Ce désintérêt pour les gourmandises a déjà été observé chez les autres félins, les lions, les léopards, les tigres ou les jaguars. Or les mammifères possèdent un récepteur composé des protéines T1R2 et T1R3 codées par deux gènes distincts.Les chercheurs ont découvert chez les chats domestiques une anomalie sur le gène de la protéine T1R2. Il s’agit en fait d’un pseudogène, la trace d’un gène qui ne fonctionne plus. La même anomalie se retrouve chez les tigres et les guépards, précisent les chercheurs.
La protéine T1R2 n’est plus fabriquée et ne peut plus se joindre à la protéine T1R3 pour former un récepteur de goûts sucrés.
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