En interdisant à plusieurs dizaines d’Algériens de se rendre en Tunisie pour assister au Forum social mondial, on ne peut pas s’empêcher de se poser la question de ce que l’Algérie doit cacher au reste du monde.
Ce sont quelques 50 000 militants du monde entier qui sont attendu en Tunisie à l’occasion du Forum social mondial qui se tient du 26 au 30 mars 2013. Ce forum doit débattre de sujets tels que les droits humains et l’environnement.
Mais voilà, les autorités algériennes ont décidé d’empêcher des militants de défense des droits humains et de la société civile en leur interdisant de quitter le pays. C’est comme cela que 96 personnes ont été bloquées le 25 mars dernier à la frontière de Layoun alors qu’elles comptaient se rendre en Tunisie. En prétextant qu’ils avaient des « instructions », les gardes-frontières ne les ont pas laissé passer.
Alors que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples, tous deux ratifiés par l’Algérie, stipulent clairement que toute personne a le droit de quitter n’importe quel pays, y compris le sien, les différents mouvements pour les Droits de l’Homme s’insurgent contre l’ingérence du gouvernement algériens dans les activités des militants de défense des droits humains et de la société civile.
Il faut encore préciser que ce n’est pas la première fois que les autorités algériennes agissent de la sorte, dix étrangers ayant été expulsé le 20 février dernier alors qu’ils participaient au premier Forum maghrébin pour la lutte contre le chômage et le travail précaire à Alger.
Dès lors, qu’est-ce que l’Algérie veut cacher au reste du monde ? La réalité en Algérie ?
toma: Afrique Hebdo
Ce sont quelques 50 000 militants du monde entier qui sont attendu en Tunisie à l’occasion du Forum social mondial qui se tient du 26 au 30 mars 2013. Ce forum doit débattre de sujets tels que les droits humains et l’environnement.
Mais voilà, les autorités algériennes ont décidé d’empêcher des militants de défense des droits humains et de la société civile en leur interdisant de quitter le pays. C’est comme cela que 96 personnes ont été bloquées le 25 mars dernier à la frontière de Layoun alors qu’elles comptaient se rendre en Tunisie. En prétextant qu’ils avaient des « instructions », les gardes-frontières ne les ont pas laissé passer.
Alors que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples, tous deux ratifiés par l’Algérie, stipulent clairement que toute personne a le droit de quitter n’importe quel pays, y compris le sien, les différents mouvements pour les Droits de l’Homme s’insurgent contre l’ingérence du gouvernement algériens dans les activités des militants de défense des droits humains et de la société civile.
Il faut encore préciser que ce n’est pas la première fois que les autorités algériennes agissent de la sorte, dix étrangers ayant été expulsé le 20 février dernier alors qu’ils participaient au premier Forum maghrébin pour la lutte contre le chômage et le travail précaire à Alger.
Dès lors, qu’est-ce que l’Algérie veut cacher au reste du monde ? La réalité en Algérie ?
toma: Afrique Hebdo
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