Bonjour,
Je commence une série d'exemples concrets sur la question de la pertinence de réguler les naissances pour répondre à nos défaillances en terme d'éducation, nutrition, logement, travail, santé....ect, solution suggérée par le ministre de la santé et défendu sur un topic dédiée où on a posé diverse questions rhétorique quant à l'impossibilité de faire autrement, dans le but de démontrer que le problème n'est point une hypothétique surpopulation, mais est fait de diverses autres défaillances en Algérie (gouvernance, politiques, économiques, intellectuelles) et souligner les répercussions de ces défaillances sur le contexte dans lequel évolue le citoyen à qui on veut "remettre en cause" sa liberté d'avoir des enfants quand il le veut et autant qu'il le veut.
J'engage la discussion ici sur les problèmes nutritionnels qui motiveraient cette nécessité de "réguler les naissance", je donnerai d'autres exemples traitants des autres aspects (sanitaires, éducatifs, économiques, politiques...) au fur et à mesure que l'actualité s'y prête.
Gel des quotas de blé tendre et d'orge de 187 moulins: la faillite assurée.
voilà pourquoi un père de famille à 4 enfants ou plus ne peut pas subvenir aux besoin de ses enfants, et pourquoi d'autres pères de famille n'ont pas accès à un ingrédient alimentaire des plus basiques qu'est la farine & semoule à prix accessible:
Echourouq d'aujourd'hui, traduction approximative:
Et voici les enfants qu'on n'aurait pas du faire naître dans ce monde:
Et enfin, on ne devrait pas laisser l'arrivée d'autres, ils seront forcément mal pris en charge, mal assumés, mal nourri, mal logés ...ect par leurs PARENTS, et ça ne pourra donner que de mauvais citoyens. l'Etat doit donc impérativement réguler les naissances. et il ne faut rien demander à l'Etat bien sur, on ne peut les laisser faire des forage dans le sahara pour recuperer les hectares de terres oubliés, on ne peut les laisser se concurrencer dans l'import du blé par leurs propres moyens, on ne peut pas régler un problème de vulgaire contrebandiers et autres magouilleurs en laissant les honnêtes gens travailler et avoir des enfants...
et donc on ne peut pas nourrir tout ce monde pour tout résumer.
Ce problème dure depuis plus de cinq année, le ministre actuel de l'Agriculture avait reconnu en 2014 qu'il n'a pas de solution et il avait promis de soumettre leur problème au conseil des ministre pour y trouver une solution qui devait être une des deux: - leur ouvrir l'export, - les intégrer dans les quotas exclusivement importés par l'Etat en quasi-totalité depuis la France.
Le même genre de faux problèmes se posent chroniquement avec le Lait, un autre aliment de base pour des enfants.
On dira: mais pourquoi les algériens ne travaillent pas la terre ?, ça vient juste après, c'est presque cuit et c'est toujours de l'actualité d'aujourd'hui. le hasard...
Je commence une série d'exemples concrets sur la question de la pertinence de réguler les naissances pour répondre à nos défaillances en terme d'éducation, nutrition, logement, travail, santé....ect, solution suggérée par le ministre de la santé et défendu sur un topic dédiée où on a posé diverse questions rhétorique quant à l'impossibilité de faire autrement, dans le but de démontrer que le problème n'est point une hypothétique surpopulation, mais est fait de diverses autres défaillances en Algérie (gouvernance, politiques, économiques, intellectuelles) et souligner les répercussions de ces défaillances sur le contexte dans lequel évolue le citoyen à qui on veut "remettre en cause" sa liberté d'avoir des enfants quand il le veut et autant qu'il le veut.
J'engage la discussion ici sur les problèmes nutritionnels qui motiveraient cette nécessité de "réguler les naissance", je donnerai d'autres exemples traitants des autres aspects (sanitaires, éducatifs, économiques, politiques...) au fur et à mesure que l'actualité s'y prête.
Gel des quotas de blé tendre et d'orge de 187 moulins: la faillite assurée.
voilà pourquoi un père de famille à 4 enfants ou plus ne peut pas subvenir aux besoin de ses enfants, et pourquoi d'autres pères de famille n'ont pas accès à un ingrédient alimentaire des plus basiques qu'est la farine & semoule à prix accessible:
Echourouq d'aujourd'hui, traduction approximative:
Le Premier ministre Ahmad Ouyahia a ordonné le gel des rations d'orge et de blé tendre pour 187 moulins à l'échelle nationale, à laquelle un quota était assuré quotidiennement par l'OAIC (Office Algérien Interprofessionnel des Céréale).
Le propriétaire de l'une des usines, dans l'ouest du pays, a déclaré que la décision de geler les quota céréaliers est arrivée mercredi sans en connaître les raisons. Les données disponibles indiquent que la décision incluait 187 moulins à l'échelle nationale bénéficiant du système de quotas 2016 et 2017. Les quotas alloués aux moulins au nom de 2017 a été consommé, et on leur a ouvert exceptionnellement une partie de ceux de 2018, c'est alors que le nouveau Premier ministre intervienne et décide de geler l'octroi des quotas réguliers.
Le propriétaire a déclaré qu'il croit que la décision avait été prise en raison de l'implication de certains acteurs dans des pratiques illégales, notamment la revente de blé tendre aux bergers entre 2600 et 2700 dinars, alors qu'ils les achètent aux prix subventionnés ne dépassant 1280 dinars aux quintaux. Il en va de même pour l'orge, acheté avec un soutien subventionné de 2 300 dinars, et vendu illégalement pour l'engraissement des béliers.
Une source nous a souligné que la décision prise par le responsable de l'exécutif vise à empêcher les manipulation par certains propriétaires de moulins, d'autant plus que le gouvernement a approuvé des restrictions à l'importation pour un certain nombre de produits dont l'orge. Actuellement, l'Algérie importe pour presque 1 milliard de dollars de blé dur, alors que la production nationale couvre plus de 50% des besoins du marché, et la facture d'importation du blé tendre dépasse également le milliard de dollars.
Le propriétaire de l'une des usines, dans l'ouest du pays, a déclaré que la décision de geler les quota céréaliers est arrivée mercredi sans en connaître les raisons. Les données disponibles indiquent que la décision incluait 187 moulins à l'échelle nationale bénéficiant du système de quotas 2016 et 2017. Les quotas alloués aux moulins au nom de 2017 a été consommé, et on leur a ouvert exceptionnellement une partie de ceux de 2018, c'est alors que le nouveau Premier ministre intervienne et décide de geler l'octroi des quotas réguliers.
Le propriétaire a déclaré qu'il croit que la décision avait été prise en raison de l'implication de certains acteurs dans des pratiques illégales, notamment la revente de blé tendre aux bergers entre 2600 et 2700 dinars, alors qu'ils les achètent aux prix subventionnés ne dépassant 1280 dinars aux quintaux. Il en va de même pour l'orge, acheté avec un soutien subventionné de 2 300 dinars, et vendu illégalement pour l'engraissement des béliers.
Une source nous a souligné que la décision prise par le responsable de l'exécutif vise à empêcher les manipulation par certains propriétaires de moulins, d'autant plus que le gouvernement a approuvé des restrictions à l'importation pour un certain nombre de produits dont l'orge. Actuellement, l'Algérie importe pour presque 1 milliard de dollars de blé dur, alors que la production nationale couvre plus de 50% des besoins du marché, et la facture d'importation du blé tendre dépasse également le milliard de dollars.
Et enfin, on ne devrait pas laisser l'arrivée d'autres, ils seront forcément mal pris en charge, mal assumés, mal nourri, mal logés ...ect par leurs PARENTS, et ça ne pourra donner que de mauvais citoyens. l'Etat doit donc impérativement réguler les naissances. et il ne faut rien demander à l'Etat bien sur, on ne peut les laisser faire des forage dans le sahara pour recuperer les hectares de terres oubliés, on ne peut les laisser se concurrencer dans l'import du blé par leurs propres moyens, on ne peut pas régler un problème de vulgaire contrebandiers et autres magouilleurs en laissant les honnêtes gens travailler et avoir des enfants...
et donc on ne peut pas nourrir tout ce monde pour tout résumer.
Ce problème dure depuis plus de cinq année, le ministre actuel de l'Agriculture avait reconnu en 2014 qu'il n'a pas de solution et il avait promis de soumettre leur problème au conseil des ministre pour y trouver une solution qui devait être une des deux: - leur ouvrir l'export, - les intégrer dans les quotas exclusivement importés par l'Etat en quasi-totalité depuis la France.
Le même genre de faux problèmes se posent chroniquement avec le Lait, un autre aliment de base pour des enfants.
On dira: mais pourquoi les algériens ne travaillent pas la terre ?, ça vient juste après, c'est presque cuit et c'est toujours de l'actualité d'aujourd'hui. le hasard...
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