Si lundi dernier en match retard du championnat, l’Aigle noir n’avait pas à fondre toutes ailes déployées sur sa proie, ce ne sera pas le cas cet après midi où aucun autre choix ne s’offre à lui que de s’imposer ou clamser. De prime abord, cette dernière perspective est à écarter pour l’Entente de Sétif portée par ses milliers d’inconditionnels avec en plus le renfort des « autochtones » ne cachant pas leur fierté d’assister au retour en son jardin natal de Hadj Aïssa, l’enfant prodigue à qui, ils ne peuvent que souhaiter tout le bonheur qui sera aussi le leur. A travers cette donne donc, aucune menace de mauvais vent des Aurès n’est à craindre pour les gars de l’ESS qui, par conséquent, ne risquent pas de souffrir du total dépaysement. Ce qui, a priori, constitue d’ores et déjà un avantage non négligeable dont il va falloir savoir tirer le bon profit qui se doit sur le terrain des opérations. Une mission loin d’être impossible pour les Sétifiens, tant ils ont les moyens pour la mener à bien dans un contexte des plus favorables, ne laissant à Aït Djoudi que l’embarras des « options » pour composer un onze conquérant en ayant sous la main la totalité de son effectif, à l’exception bien sûr, de Lemouchia qu’on voit d’ici maudire sa blessure. Mais ce n’est que partie remise, doit-il se dire en son for intérieur, non sans un soupir en guise de prière pour que ses partenaires puissent encore traverser avec succès cet ultime tour avant le grand jour de la finale promise. Et c’est tout le sens de la foi qui les anime tous du côté de Aïn El Fouara où tout en caressant ce rêve, somme toute légitime, on n’en est pas moins conscients que, si proche de la fontaine qu’on soit, il y a encore loin de la coupe aux lèvres. En effet, en face l’adversaire ne manque pas d’arguments de poids pour prétendre, lui aussi, donner de la joie à ses Criquets qui, pour leur part, ne sont pas prêts de servir de friture et se laisser dévorer sans coup férir. Voilà, le couvert est mis et l’Aigle noir averti pour savoir comment opérer en sachant bien manier le bec et les serres afin de na pas avaler de travers. Bon appétit !
M. Raber
C’est à qui de passer la 4e ?
Si le derby des Hauts Plateaux a eu à faire vibrer les foules maintes fois en championnat, ce n’est pas le cas dans le cadre de l’épreuve populaire où le match de cet après midi sera seulement le quatrième du genre. En effet, les deux équipes ne s’étaient croisées jusque là en coupe qu’à trois reprise, avec une première rencontre en 1962 que les Sétifiens avaient remportée 2-1, la seconde fois c’était en 2002 et le CABBA s’était imposé 1-0 à l’issue d’un match disputé chez lui à Bordj conformément à la réglementation en vigueur à l’époque accordant l’avantage de recevoir au club tiré en premier au tirage au sort et enfin, les Bordjiens avaient récidivé en éliminant les Sétifiens sur le même score de 1-0 lors de la précédente édition à l’issue d’une confrontation qui avait eu lieu au stade du 5-Juillet à Alger. A signaler que pour ces deux derniers matches remportés par le CABBA, l’Entente s’est à chaque fois, assez tôt dans le match, retrouvée en infériorité numérique du fait qu’en 2002 il y eut l’exclusion de Deboucha qui avait été invité par l’arbitre à aller se rhabiller dès la 18’ alors que la saison passée Sétif a dû poursuivre le match en étant privé des services de Laïfaoui qui s’était fait exclure par le reféree à la première demi heure de jeu.
Le 19 à l’honneur
Dès hier mercredi, la capitale des Aurès a commencé à voir défiler dans ses artères les véhicules immatriculés à la wilaya de Sétif, c'est-à-dire, portant le numéro 19 qui promet de se multiplier par cent, par mille, ce matin avec l’arrivée du gros des troupes des supporters qu’on a vu se préparer à faire le déplacement la veille. L’engouement était tel qu’on se demande si tout ce beau monde pourra acquérir le fameux sésame pour accéder au stade où seulement 4000 billets restaient à écouler aux guichets. Concernant le quota officiellement accordé aux fans d’El Kahla, inutile de répéter que les 6000 tickets se sont envolés comme des petits pains, d’où nos craintes de savoir comment vont faire les supporters qui ne pourront pas se dégoter un billet. Pour l’anecdote, et en restant à ce chiffre 19, il faut savoir que cela fait autant d’années que les Sétifiens n’avaient pas goûté à une qualification pour la finale, soit depuis 1990. Tout cela n’est pas sans ajouter à l’effervescence qui s’est emparée de la ville de Sidi El Kheir qui croient plus que jamais en sa bonne étoile de voir son équipe aller en finale cette année et gagner un trophée qui lui va si bien.
Batna porte-bonheur de l’Entente
En foulant le terrain du stade du 1er Novembre de Batna, les Sétifiens verront sans doute ressurgir les bons souvenirs laissés dans une aire de jeu qui leur a toujours porté chance puisqu’ils n’y ont connu que des succès, toutes compétitions confondues Ainsi par deux fois en coupe d’Algérie les Ententistes ont réussi à obtenir la qualification aux dépens de l’US Biskra qu’ils avaient allégrement battue 3-1 et le CS Constantine dont ils ne s’étaient défaits que par la plus petite des marges 1-0 au terme d’une partie acharnée. En championnat, les Sétifiens avaient aussi réussi à s’imposer devant le CA Batna lors de l’année du titre sous la conduite de l’actuel entraîneur national Rabah Saadane comme ils l’avaient remporté dans le cadre de la même compétition devant l’US Chaouia sur le score de 3-1 à l’issue d’une rencontre disputée à huis clos. Soit autant de paramètres ne pouvant qu’inciter à l’optimisme de mise chez les supporters qui y croient dur comme fer d’autant que l’histoire est un éternel recommencement dit-on.
Benacer 3e arbitre tunisien pour un match de l’Entente
Comme on le sait le match de la demi finale de la Coupe d’Algérie de cet après midi entre l’ESS et le CABBA sera arbitré par un trio tunisien dirigé par l’international Kacem Benacer. Une particularité que l’Entente avait déjà eu à connaître par deux fois à l’échelle de la compétition locale puisque avant cela, plus précisément lors de la saison 2006/2007 le match contre le MCA avait été arbitré par le Tunisien Kacem Djedidi avant que son compatriote Aïouaz Trabelsi ne soit appelé à officier au cours de la rencontre face à l’USMA du même exercice.
La question n’est pas le onze, la qualif est la réponse !
Si pour le coach Aït Djoudi chaque match lui pose le même dilemme quant à décider quel onze aligner d’entrée et qui mettre sur le banc en évitant de faire trop de mécontents, les supporters de leur côté ne se soucient guère de savoir qui sera ou ne sera pas sur le terrain. En effet, pas un Sétifien à qui nous avons pu poser la question n’a voulu s’attarder à vouloir savoir qui de Ferradji ou Hadjaoui sera dans les bois et si c’est Hemani ou Ziayaya qui occupera le front de l’attaque etc. Non, rien de cela ne leur importe autant que l’essentiel, à savoir la qualification. En effet, seule la victoire est belle.
le buteur
M. Raber
C’est à qui de passer la 4e ?
Si le derby des Hauts Plateaux a eu à faire vibrer les foules maintes fois en championnat, ce n’est pas le cas dans le cadre de l’épreuve populaire où le match de cet après midi sera seulement le quatrième du genre. En effet, les deux équipes ne s’étaient croisées jusque là en coupe qu’à trois reprise, avec une première rencontre en 1962 que les Sétifiens avaient remportée 2-1, la seconde fois c’était en 2002 et le CABBA s’était imposé 1-0 à l’issue d’un match disputé chez lui à Bordj conformément à la réglementation en vigueur à l’époque accordant l’avantage de recevoir au club tiré en premier au tirage au sort et enfin, les Bordjiens avaient récidivé en éliminant les Sétifiens sur le même score de 1-0 lors de la précédente édition à l’issue d’une confrontation qui avait eu lieu au stade du 5-Juillet à Alger. A signaler que pour ces deux derniers matches remportés par le CABBA, l’Entente s’est à chaque fois, assez tôt dans le match, retrouvée en infériorité numérique du fait qu’en 2002 il y eut l’exclusion de Deboucha qui avait été invité par l’arbitre à aller se rhabiller dès la 18’ alors que la saison passée Sétif a dû poursuivre le match en étant privé des services de Laïfaoui qui s’était fait exclure par le reféree à la première demi heure de jeu.
Le 19 à l’honneur
Dès hier mercredi, la capitale des Aurès a commencé à voir défiler dans ses artères les véhicules immatriculés à la wilaya de Sétif, c'est-à-dire, portant le numéro 19 qui promet de se multiplier par cent, par mille, ce matin avec l’arrivée du gros des troupes des supporters qu’on a vu se préparer à faire le déplacement la veille. L’engouement était tel qu’on se demande si tout ce beau monde pourra acquérir le fameux sésame pour accéder au stade où seulement 4000 billets restaient à écouler aux guichets. Concernant le quota officiellement accordé aux fans d’El Kahla, inutile de répéter que les 6000 tickets se sont envolés comme des petits pains, d’où nos craintes de savoir comment vont faire les supporters qui ne pourront pas se dégoter un billet. Pour l’anecdote, et en restant à ce chiffre 19, il faut savoir que cela fait autant d’années que les Sétifiens n’avaient pas goûté à une qualification pour la finale, soit depuis 1990. Tout cela n’est pas sans ajouter à l’effervescence qui s’est emparée de la ville de Sidi El Kheir qui croient plus que jamais en sa bonne étoile de voir son équipe aller en finale cette année et gagner un trophée qui lui va si bien.
Batna porte-bonheur de l’Entente
En foulant le terrain du stade du 1er Novembre de Batna, les Sétifiens verront sans doute ressurgir les bons souvenirs laissés dans une aire de jeu qui leur a toujours porté chance puisqu’ils n’y ont connu que des succès, toutes compétitions confondues Ainsi par deux fois en coupe d’Algérie les Ententistes ont réussi à obtenir la qualification aux dépens de l’US Biskra qu’ils avaient allégrement battue 3-1 et le CS Constantine dont ils ne s’étaient défaits que par la plus petite des marges 1-0 au terme d’une partie acharnée. En championnat, les Sétifiens avaient aussi réussi à s’imposer devant le CA Batna lors de l’année du titre sous la conduite de l’actuel entraîneur national Rabah Saadane comme ils l’avaient remporté dans le cadre de la même compétition devant l’US Chaouia sur le score de 3-1 à l’issue d’une rencontre disputée à huis clos. Soit autant de paramètres ne pouvant qu’inciter à l’optimisme de mise chez les supporters qui y croient dur comme fer d’autant que l’histoire est un éternel recommencement dit-on.
Benacer 3e arbitre tunisien pour un match de l’Entente
Comme on le sait le match de la demi finale de la Coupe d’Algérie de cet après midi entre l’ESS et le CABBA sera arbitré par un trio tunisien dirigé par l’international Kacem Benacer. Une particularité que l’Entente avait déjà eu à connaître par deux fois à l’échelle de la compétition locale puisque avant cela, plus précisément lors de la saison 2006/2007 le match contre le MCA avait été arbitré par le Tunisien Kacem Djedidi avant que son compatriote Aïouaz Trabelsi ne soit appelé à officier au cours de la rencontre face à l’USMA du même exercice.
La question n’est pas le onze, la qualif est la réponse !
Si pour le coach Aït Djoudi chaque match lui pose le même dilemme quant à décider quel onze aligner d’entrée et qui mettre sur le banc en évitant de faire trop de mécontents, les supporters de leur côté ne se soucient guère de savoir qui sera ou ne sera pas sur le terrain. En effet, pas un Sétifien à qui nous avons pu poser la question n’a voulu s’attarder à vouloir savoir qui de Ferradji ou Hadjaoui sera dans les bois et si c’est Hemani ou Ziayaya qui occupera le front de l’attaque etc. Non, rien de cela ne leur importe autant que l’essentiel, à savoir la qualification. En effet, seule la victoire est belle.
le buteur
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