Hier soir pour son 20ème combat à Paris-Bercy, Brahim Asloum a connu l'amertume de sa première défaite. C'était un beau match mais le champion en titre Lozenzo Parra l'a désarçonné au premier round par une blessure involontaire au dessus de l'arcade, au deuxième round là il a touché le sol et a vus les étoiles. Après il a fait ce qu'il a pus mais Lorenzo Parra était en superforme. Mais les prochaines larmes d'Asloum seront celle d'une victoire car il va rebondir.
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Malgré la large défaite aux points qu'il a subie lundi soir contre Lorenzo Parra, au Palais Omnisport de Paris-Bercy, pour le compte du Championnat WBA des mouche, Brahim Asloum, qui a dû se faire poser trois points de suture au front, pourrait bénéficier d'une nouvelle chance mondiale en 2006.
Son manageur, Michel Acariès, compte bien monter un nouveau choc où le Berjallien tiendra à nouveau le haut de l'affiche. Première étape, le manageur parisien a bien l'intention d'organiser «dans quatre, cinq mois» un Championnat de réunification WBA-WBO entre les deux vainqueurs, Lorenzo Parra et l'Argentin Omar Narvaez (tombeur de Bernard Inom, arrêté à la 11e reprise lundi à Bercy). Ce combat pourrait ensuite permettre au Français de se lancer un nouveau défi avec une confrontation en décembre 2006 contre le vainqueur de ce duel. Auparavant, Asloum devrait disputer deux combats de remise en forme.
Cette éventualité est d'autant plus envisageable que Narvaez est déjà sous contrat avec Michel Acariès et que Parra a pris grand plaisir à se produire dans la capitale. «On a maintenant la chance d'avoir devant nous les acteurs d'un story board ou d'un film à grand spectacle. Si je mets sur pied une réunification Parra-Narvaez, ne serait-ce pas merveilleux ? Et pourquoi, dès lors, Brahim Asloum ne pourrait-il pas rencontrer le vainqueur ? Ce scénario n'est-il pas plausible ? lance Michel Acariès. Nous aurions là un vrai feuilleton».
Et Michel Acariès de poursuivre : «Brahim doit rebondir. C'est une certitude. Il faut qu'il puisse tirer des enseignements de ce 20e combat et qu'il analyse ce qui le sépare des meilleurs : une immensité, à chaud, mais, en y regardant de plus près, presque rien, observe Michel Acariès. Brahim se fait ouvrir sur un coup de tête au premier round. Il prend un coup de marteau qui l'expédie au tapis le suivant. Là, il résiste - et de quelle manière ! - deux minutes trente et fait ensuite dix reprises. Sans que cela n'excuse l'avarice de ses coups ; il faut louer le courage et la résistance.»
Et Acariès de conclure : «Brahim a disputé trois combats cette année : mars, juillet et décembre. Qu'est-ce qui pourra l'empêcher de faire pareil ? insiste Michel Acariès. On saura bien dans un an si la leçon a été salutaire.»
Source: L'équipe
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Malgré la large défaite aux points qu'il a subie lundi soir contre Lorenzo Parra, au Palais Omnisport de Paris-Bercy, pour le compte du Championnat WBA des mouche, Brahim Asloum, qui a dû se faire poser trois points de suture au front, pourrait bénéficier d'une nouvelle chance mondiale en 2006.
Son manageur, Michel Acariès, compte bien monter un nouveau choc où le Berjallien tiendra à nouveau le haut de l'affiche. Première étape, le manageur parisien a bien l'intention d'organiser «dans quatre, cinq mois» un Championnat de réunification WBA-WBO entre les deux vainqueurs, Lorenzo Parra et l'Argentin Omar Narvaez (tombeur de Bernard Inom, arrêté à la 11e reprise lundi à Bercy). Ce combat pourrait ensuite permettre au Français de se lancer un nouveau défi avec une confrontation en décembre 2006 contre le vainqueur de ce duel. Auparavant, Asloum devrait disputer deux combats de remise en forme.
Cette éventualité est d'autant plus envisageable que Narvaez est déjà sous contrat avec Michel Acariès et que Parra a pris grand plaisir à se produire dans la capitale. «On a maintenant la chance d'avoir devant nous les acteurs d'un story board ou d'un film à grand spectacle. Si je mets sur pied une réunification Parra-Narvaez, ne serait-ce pas merveilleux ? Et pourquoi, dès lors, Brahim Asloum ne pourrait-il pas rencontrer le vainqueur ? Ce scénario n'est-il pas plausible ? lance Michel Acariès. Nous aurions là un vrai feuilleton».
Et Michel Acariès de poursuivre : «Brahim doit rebondir. C'est une certitude. Il faut qu'il puisse tirer des enseignements de ce 20e combat et qu'il analyse ce qui le sépare des meilleurs : une immensité, à chaud, mais, en y regardant de plus près, presque rien, observe Michel Acariès. Brahim se fait ouvrir sur un coup de tête au premier round. Il prend un coup de marteau qui l'expédie au tapis le suivant. Là, il résiste - et de quelle manière ! - deux minutes trente et fait ensuite dix reprises. Sans que cela n'excuse l'avarice de ses coups ; il faut louer le courage et la résistance.»
Et Acariès de conclure : «Brahim a disputé trois combats cette année : mars, juillet et décembre. Qu'est-ce qui pourra l'empêcher de faire pareil ? insiste Michel Acariès. On saura bien dans un an si la leçon a été salutaire.»
Source: L'équipe
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