A ses débuts avec le club de Sochaux, tout le monde voyait en Camel Meriem le grand joueur qui allait marquer son nom en lettres d’or dans l’histoire du football français. Certains n’hésitaient pas à le comparer à Zinédine Zidane (à l’instar des autres joueurs d’origine algérienne, tels Meghni et Nasri), assurant même qu’il pourrait le remplacer au poste de numéro 10 dans la sélection des Bleus sans trop de contraintes, vu son immense talent et sa technique hors pair (Il fut d’ailleurs le joueur qui a porté le numéro 10 en sélection, après la 1re retraite internationale de Zizou au terme de l’euro 2004). Hélas pour lui, le radieux avenir auquel il était promis n’aura pas vraiment été réalisé. Surtout quand on voit la chute qu’il a connue au cours de ces dernières années. Ne faisant plus partie de la sélection française depuis un certain temps maintenant, le joueur a beaucoup galéré aussi lors des deux dernières saisons. N’entrant pas dans les plans de l’entraîneur Guy Lacombe qui est arrivé l’été dernier en Principauté, le joueur est devenu dès lors indésirable et a été forcé à quitter le club monégasque. Un départ pas vraiment prévu qui l’a contraint de rester plus de six mois sans club, avant de trouver un club preneur au mois de février dernier, dans le championnat… grec !
A presque 31 ans, le natif de Montbéliard n’aura pour ainsi dire pas eu de chance et ne disputera très certainement aucune phase finale d’un Mondial. Un rêve qui s’est brisé pour ce joueur pourtant très doué.
Il affirme n’avoir jamais été contacté pour jouer pour l’Algérie
Au cours de l’interview exclusive qu’il nous a accordée dans l’une des salles du stade Harilaou de son club de l’Aris Salonique, Camel Meriem nous a clairement affirmé qu’aucun dirigeant ou responsable de la Fédération algérienne ne l’avaient contacté ni même approché pour le convaincre d’opter pour les Verts. Il nous dit avoir choisi l’équipe de France sans pression aucune, du moment que la question de trancher entre les sélections des deux pays ne se posait même pas. Répondant à l’une de nos questions, le joueur nous dira qu’il sera à présent prêt à jouer pour l’Algérie, si toutefois les règlements de la FIFA changeaient. Ce qui est peu probable bien entendu, pour ne pas dire impossible.
Sans le dire, mais on sentait qu’il aurait aimé avoir cette chance qu’on eue certains de nos joueurs binationaux, à l’instar des Meghni, Yedba, Abdoun, Yahia de pouvoir défendre les couleurs de leur pays d’origine, même s’ils ont eu à jouer durant toute leur jeunesse pour la sélection française. Tant pis, le Mondial, ça ne sera pas pour cette fois-ci.
Il retrouve un peu de sa verve à Aris et ne désespère pas d’être rappelé parmi les Bleus !
Arrivé au mois de février dernier au club de l’Aris Salonique, après avoir passé six longs mois sans jouer le moindre match officiel, Camel Meriem semble retrouver peu à peu sa verve et ses qualités. N’ayant pas perdu trop de temps pour s’adapter à son nouvel environnement, le joueur demeure une carte essentielle de l’échiquier de son entraîneur, Hector Cuper. Toujours habile des deux pieds, l’ancien Marseillais espère retrouver toute l’étendue de son talent très prochainement et frapper ainsi aux portes des Bleus.
En effet, lorsqu’on lui a demandé s’il avait mis une croix sur la sélection, le joueur, conscient de la difficulté de retrouver un jour l’ambiance des Bleus, garde néanmoins toujours espoir et reste optimiste jusqu’au bout.
«Ecoutez, maintenant j’ai plus besoin de rejouer et de retrouver mes vraies qualités, de faire de bons matchs de haut niveau et après on verra. En football, tout peut arriver et il se peut que la roue tourne», nous avait-il souligné.
A presque 31 ans, le natif de Montbéliard n’aura pour ainsi dire pas eu de chance et ne disputera très certainement aucune phase finale d’un Mondial. Un rêve qui s’est brisé pour ce joueur pourtant très doué.
Il affirme n’avoir jamais été contacté pour jouer pour l’Algérie
Au cours de l’interview exclusive qu’il nous a accordée dans l’une des salles du stade Harilaou de son club de l’Aris Salonique, Camel Meriem nous a clairement affirmé qu’aucun dirigeant ou responsable de la Fédération algérienne ne l’avaient contacté ni même approché pour le convaincre d’opter pour les Verts. Il nous dit avoir choisi l’équipe de France sans pression aucune, du moment que la question de trancher entre les sélections des deux pays ne se posait même pas. Répondant à l’une de nos questions, le joueur nous dira qu’il sera à présent prêt à jouer pour l’Algérie, si toutefois les règlements de la FIFA changeaient. Ce qui est peu probable bien entendu, pour ne pas dire impossible.
Sans le dire, mais on sentait qu’il aurait aimé avoir cette chance qu’on eue certains de nos joueurs binationaux, à l’instar des Meghni, Yedba, Abdoun, Yahia de pouvoir défendre les couleurs de leur pays d’origine, même s’ils ont eu à jouer durant toute leur jeunesse pour la sélection française. Tant pis, le Mondial, ça ne sera pas pour cette fois-ci.
Il retrouve un peu de sa verve à Aris et ne désespère pas d’être rappelé parmi les Bleus !
Arrivé au mois de février dernier au club de l’Aris Salonique, après avoir passé six longs mois sans jouer le moindre match officiel, Camel Meriem semble retrouver peu à peu sa verve et ses qualités. N’ayant pas perdu trop de temps pour s’adapter à son nouvel environnement, le joueur demeure une carte essentielle de l’échiquier de son entraîneur, Hector Cuper. Toujours habile des deux pieds, l’ancien Marseillais espère retrouver toute l’étendue de son talent très prochainement et frapper ainsi aux portes des Bleus.
En effet, lorsqu’on lui a demandé s’il avait mis une croix sur la sélection, le joueur, conscient de la difficulté de retrouver un jour l’ambiance des Bleus, garde néanmoins toujours espoir et reste optimiste jusqu’au bout.
«Ecoutez, maintenant j’ai plus besoin de rejouer et de retrouver mes vraies qualités, de faire de bons matchs de haut niveau et après on verra. En football, tout peut arriver et il se peut que la roue tourne», nous avait-il souligné.
Commentaire