L’ancien sélectionneur des Verts, Rabah Madjer, se dit disposé à se porter candidat pour la présidence de la FAF, s’il trouvera le soutien nécessaire auprès de la famille du football, des autorités et du public.
En désaccord avec les responsables actuels de la Fédération algérienne de football, l’ex-international des Fennecs reprend sa hache de guerre en déclarant que la gestion actuelle de la FAF est catastrophique. Il ne s’arrête pas là puisqu’il ajoutera qu’il est temps que les footballeurs s’occupent de la gestion de la fédération, laquelle, selon lui, est gérée par des médiocres. Joint par téléphone pour confirmer ou infirmer les rumeurs ayant circulé ces derniers jours concernant son souhait de présider la FAF, Madjer n’a pas hésité à répondre par l’affirmative. «Effectivement, je suis prêt à présider la FAF si jamais je trouve le soutien de la famille sportive en général et celle du football en particulier ainsi que celui du public et des autorités. Pour moi, c’est un projet très ambitieux qui me tient à cœur. Je dirais que le football doit être géré par les footballeurs. Il faut mettre donc le holà. Ceux qui s’occupent de la gestion actuelle sont des médiocres et il est temps d’arrêter tout ça. Actuellement, on est en train d’assister à une gestion catastrophique au niveau de la FAF et c’est pour cela que l’équipe nationale va tout droit à la dérive», dira Madjer. La déclaration de Madjer aura peut-être l’effet d’une bombe, car c’est la première fois qu’un ancien joueur annonce ouvertement sa disponibilité à prendre la présidence de la FAF depuis le retour de Mohamed Raouraoua. Reste maintenant à savoir s’il joindra l’acte à la parole. Sa condition principale est que les autorités et la famille du football le soutiennent, mais trouvera-t-il le soutien nécessaire pour briguer la présidence de la Fédération algérienne de football. Sachant que certains présidents de club ne portent dans leur cœur le premier responsable du bureau fédéral, l’ancien pensionnaire du FC Porto veut profiter de l’occasion pour annoncer sa candidature avant de rallier à sa cause ceux qui sont contre le maintien de Raouraoua.
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En désaccord avec les responsables actuels de la Fédération algérienne de football, l’ex-international des Fennecs reprend sa hache de guerre en déclarant que la gestion actuelle de la FAF est catastrophique. Il ne s’arrête pas là puisqu’il ajoutera qu’il est temps que les footballeurs s’occupent de la gestion de la fédération, laquelle, selon lui, est gérée par des médiocres. Joint par téléphone pour confirmer ou infirmer les rumeurs ayant circulé ces derniers jours concernant son souhait de présider la FAF, Madjer n’a pas hésité à répondre par l’affirmative. «Effectivement, je suis prêt à présider la FAF si jamais je trouve le soutien de la famille sportive en général et celle du football en particulier ainsi que celui du public et des autorités. Pour moi, c’est un projet très ambitieux qui me tient à cœur. Je dirais que le football doit être géré par les footballeurs. Il faut mettre donc le holà. Ceux qui s’occupent de la gestion actuelle sont des médiocres et il est temps d’arrêter tout ça. Actuellement, on est en train d’assister à une gestion catastrophique au niveau de la FAF et c’est pour cela que l’équipe nationale va tout droit à la dérive», dira Madjer. La déclaration de Madjer aura peut-être l’effet d’une bombe, car c’est la première fois qu’un ancien joueur annonce ouvertement sa disponibilité à prendre la présidence de la FAF depuis le retour de Mohamed Raouraoua. Reste maintenant à savoir s’il joindra l’acte à la parole. Sa condition principale est que les autorités et la famille du football le soutiennent, mais trouvera-t-il le soutien nécessaire pour briguer la présidence de la Fédération algérienne de football. Sachant que certains présidents de club ne portent dans leur cœur le premier responsable du bureau fédéral, l’ancien pensionnaire du FC Porto veut profiter de l’occasion pour annoncer sa candidature avant de rallier à sa cause ceux qui sont contre le maintien de Raouraoua.
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