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La JSK relégable !

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  • #31
    comme tedjar, c'est une perle, si l'équipe ne change pas, il doit quitter la JSK.
    roh ya zmane roh...

    ALGERIAN, tu confirmes d'une manière édifiante la situation à laquelle la JSK est arrivée. Un joueur qui doit quitter parce que ses ambitions dépassent celle de la JSK. Quel drame !!
    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

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    • #32
      biensur el famiilia, la JSK n'a plus de résultats depuis quelques années, je dirais plus précisément que lorsque la JSK a vendu dabo, elle n'a plus jamais carburé comme à cette époque, elle a eu des talents et gagné quelques championnats, mais qui ne se souviens pas des humiliations face à l'ESS tunisienne.

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      • #33
        ALGERIAN,

        Ce n'est pas tant le manque de résultats qui me gêne que "l'ordinarisation" de la JSK. Tu me diras que c'est le premier qui entraine le second, certes. Mais pas seulement. Les joueurs qui jouent à la JSK aujourd'hui ne laissent entrevoir aucune hargne. Ce que je veux c'est "ichemkhou tricou"... Ce qui est loin d'être le cas, bien en contraire, ils jouent tout en entretenant leur coiffure.
        Quand on se donne à fond, même si les résultats ne suivent pas, on demeure fiers de son équipe. Personnellement, en tant que supporter, je ne me reconnais pas dans cette équipe. J'ai comme l'impression que ce n'est pas la vraie JSK, c'est juste une réplique, une maquette miniaturisée. La légendaire JSK est en état de convalescence.
        "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
        Socrate.

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        • #34
          Et si la flamme venait à s’éteindre ?

          Ouf ! La JSK reste en Ligue I, parmi “l’élite” comme on dit. Les Jaune et Vert auront évité le purgatoire, la relégation pour bien nommer la catastrophe qu’elle vient d’éviter de justesse. Au prix d’un sauvetage in extremis.
          Une vraie délivrance pour ses milliers de fans inconditionnels qui ont dû attendre la fin du dernier match de la saison. Et encore, ce fut, selon toute vraisemblance, au prix d’un marchandage de coulisses. Et non pas grâce à la fougue ou à quelque détermination de ses joueurs saisonniers. Il y a longtemps que la fougue, la passion des couleurs et la détermination, peut-être même l’honneur, ont déserté ce stade mythique du 1er-Novembre de Tizi Ouzou. Pourtant, la fougue, la passion des couleurs, la discipline et la fierté de représenter dignement la Kabylie étaient pour la JSK, pendant des années, des motivations supplémentaires face à ses adversaires. Ces valeurs-là (oui, vous avez bien lu : “valeurs”) étaient déjà les principaux atouts du club du Djudjura, depuis Oukil-Ramdane, l’autre stade mythique qui a vu défiler des générations de joueurs de talent et d’honneur. Parmi eux, il y avait un défenseur central, nommé Hannachi. Il est à présent président du club. Mais il y a bien longtemps que l’honneur s’est éclipsé. Ces valeurs-là, partagées par les supporters et les dirigeants d’alors, les joueurs les portaient en bandoulière.
          Si bien qu’ils en faisaient étalage dans tous les stades du pays et, plus tard, ceux d’Afrique. Ces valeurs-là étaient, pendant les deux premières saisons de la JSK en première division, leurs seuls arguments. Mais ils étaient suffisants pour en découdre avec le grand CRB de l’époque, sans jamais prendre une raclée de 7 buts, et assurer le maintien sans jamais avoir à le “négocier”. C’est de ces valeurs-là qu’était animé notamment le stoppeur de l’équipe, qui avait remporté sa première Coupe d’Algérie face au NAHD, en 1977 (2-1). Il fut, certes, à l’origine du but du NAHD inscrit magistralement par Fergani, et cela lui avait donné des ailes.
          Il s’est rattrapé largement et fut époustouflant ce jour-là, le stoppeur, comme il savait l’être, peut-être un peu plus que ses camarades lorsque l’enjeu le commandait. Et pourtant, elles furent nombreuses les adversités de l’époque ! Mais les adversités ne les décourageaient pas, lui et ses camarades. Bien au contraire, elles étaient un tremplin pour leur désir d’honorer les couleurs de la JSK et ses fans.
          Car lui et ses camarades n’étaient pas des joueurs saisonniers, mais plutôt des enfants du club, qui aimaient le club et se battaient pour le hisser aux cimes. Pour l’honneur, juste pour l’honneur. Hannachi aime encore la JSK, sans doute. Mais, devenu président du club, il ne fait pas grand-chose pour entretenir la flamme. Et la flamme a failli s’éteindre cette saison. Comment en est-on arrivé là ? Les joueurs saisonniers, pardi ! Ils viennent à la JSK, ils se font un nom, ils se donnent une dimension africaine, ils prennent quelques milliards et s’en vont, sans avoir rien apporté au club, et quelquefois après avoir volontairement saboté l’équipe au nom d’un régionalisme qui, ne nous voilons pas la face, mine notre football comme il mine notre pays.
          Pendant ce temps, et alors que le recrutement est des plus hasardeux, la formation des jeunes catégories reste le dernier souci des dirigeants. Mais d’abord, la JSK a-t-elle encore des dirigeants dignes de leurs prédécesseurs ? Alors, à ce rythme, une question (une seule) taraude les esprits des supporters de la JSK : combien tiendra encore la flamme ? Et si un jour elle s’éteignait pour de vrai ? Cela devrait donner au président Hannachi une raison de méditer.

          Said Chekri.
          Liberté.
          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
          Socrate.

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          • #35
            Douicher Lamara, voilà l'un des plus rares joueurs qui jouent vraiment pour les couleurs, mais paradoxalement il est quasi marginalisé.
            Quand la JSK avait remporté la coupe d'Algérie face à l'USMH, il était plus logique qu'il soit désigné pour soulever la coupe, et cela pour plusieurs raisons; d'abord c'est un enfant du club, puis c'est le joueur le plus ancien de l'équipe, en plus de cela c'est un joueurs exemplaire en termes de discipline et du sérieux, et enfin c'est la capitaine de l'équipe... mais malgré tous ces atouts, on lui a préféré un autre joueur.

            __________________

            Douicher «Je n’ai à aucun moment évoqué l’aspect financier avec Hannachi»
            Le milieu récupérateur de la JSK, Lamara Douicher, qui a été reçu avant-hier par le président Hannachi au siège du club pour évoquer son avenir à la JSK, a tenu à préciser que mis à part le fait qu’il a informé son président des quelques offres qu’il a reçues dernièrement de l’étranger et auxquelles il n’a encore pas répondu, il n’a toutefois jamais évoqué l’aspect financier ou du moins fait la proposition comme condition pour lui de renouveler son bail à la JSK. Douicher estime que la rencontre a été de courte durée et il devra encore revoir le président dès son retour de vacances vers le 20 juillet pour trancher. Mieux encore, Douicher estime qu’il donnera la priorité à son club qui l’a vu grandir, la JSK, et se dit même prêt à jouer pour un prix symbolique : «Je tiens à préciser que lors de ma dernière entrevue avec le président Hannachi, je n’ai à aucun moment évoqué l’aspect financier, je n’ai émis aucune proposition financière seule condition pour moi de rester, ce qui a été dit dans ce sens est faux. Il n’y a que ceux qui me connaissent vraiment mal qui peuvent dire ça, je suis un enfant de la JSK qui a grandi dans son berceau, ce n’est pas aujourd’hui que je vais me permettre de faire des revendications financières aussi mirobolantes comme condition de rempiler. Je connais la maison et je suis même prêt à jouer symboliquement. Je sais ce que représente la JSK, et lorsque je vous parle, sachez que tout ce que je vous dis émane du plus profond de moi-même.»

            Le Buteur.
            Dernière modification par elfamilia, 12 juillet 2011, 20h14.
            "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
            Socrate.

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