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L’EN a une occasion en or de battre tous les records
Avec Belfodil à l’Inter et Feghouli à Valence, ça promet beaucoup ! Jamais l’Algérie n’a eu un aussi grand nombre de joueurs dans le haut niveau.
Le 10 septembre prochain, le deuxième tour des éliminatoires de la Coupe du monde 2014, zone Afrique, prendra fin. Pour l’Equipe nationale, ce tour n’a été qu’une simple formalité pour avoir réussi à battre le Bénin et le Rwanda en aller-retour, en dépit d’une défaite amère essuyée, en juin 2012, à Ouagadougou, face au Mali qui était pourtant le concurrent numéro un des Verts dans ces éliminatoires. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agit d’un parcours presque sans faute, si ce n’était cette défaite amère, due essentiellement aux conditions climatiques qui ont empêché l’EN à préserver son avantage.
Ainsi, plusieurs paramètres entrent en jeu dans cette réussite, entre autres l’excellent travail effectué par le sélectionneur national, Vahid Halilhodzic. Ce dernier a vite compris, quand il avait pris l’EN en main, de la nécessité d’opérer un changement au sein des joueurs et d’injecter du sang neuf, car le groupe en place était arrivé à bout de souffle. Avec tous les changements effectués depuis deux ans, Halilhodzic a prouvé qu’il a eu raison. Le fait que l’Algérie se soit qualifiée aux barrages du Mondial, à une journée de la fin des éliminatoires, montre que l’EN est en bonne santé. Mais le plus important attend la sélection lors des barrages pour se qualifier en Coupe du monde. Il faut savoir que les circonstances jouent en faveur de Vahid Halilhodzic. Contrairement aux précédentes saisons, cette fois, il y a moins de problèmes. En effet, le sélectionneur se trouve devant une occasion en or de réaliser les meilleures performances de tous les temps dans l’histoire de l’Equipe nationale.
Dix joueurs évoluent dans les plus grands clubs européens
Un point important dont personne, sans aucun doute, ne s’est rendu compte, c’est que dix joueurs algériens qui font partie de la sélection évoluent dans les plus grands clubs européens. A commencer par Sofiane Feghouli, un élément incontournable dans l’échiquier du FC Valence, Ishak Belfodil qui vient juste de rejoindre l’Inter de Milan et qui devrait rejoindre la sélection en août, Yacine Brahimi devenu durant les derniers mois le joueur le plus important de Granada, au point où le club espagnol a racheté son contrat du Stade Rennais. Foued Kadir, et même s’il ne joue plus à Marseille, évolue quand même au sein du plus prestigieux club de France. Idem pour le jeune Faouzi Ghoulam de l’AS Saint-Etienne, courtisé aussi par des clubs italiens. Taïder demeure une valeur sûre au FC Bologne, en Italie, tout comme Mesbah à Parme. Enfin, Soudani, qui s’est illustré à Guimaraes la saison dernière, s’est vu proposer un contrat important au Dinamo Zagreb qui participe régulièrement à la Ligue des champions. Ghilas Nabil vient de s’engager au sein du plus grand club portugais, le FC Porto, et enfin, la révélation des locaux, Essaïd Belkalem, qui a été transféré de la JS Kabylie à l’Udinese.
Jamais l’Algérie n’a eu un aussi grand nombre de joueurs dans le haut niveau
Le moins que l’on puisse, c’est qu’il s’agit d’une première pour l’Algérie. Durant ces cinq dernières années, la sélection nationale possédait des joueurs évoluant dans des clubs moyens des Ligues 1 et 2 françaises. La donne a changé et il faut en profiter, car leur présence donnerait un plus considérable à la sélection.
Avec Belfodil à l’Inter et Feghouli à Valence, ça promet beaucoup !
Si tout le monde attend avec impatience, y compris Vahid Halilhodzic, l’arrivée du néo-attaquant de l’Inter de Milan, Ishak Belfodil, ce n’est pas pour rien. En effet, la présence de l’ex-Lyonnais donnera un apport considérable à l’attaque de l’EN, vu ses qualités et son expérience acquises au Calcio. Associé à Feghouli, l’attaquant nerazzurri fera sans doute des malheurs en compagnie du joueur du FC Valence. Le fait d’avoir des joueurs qui signent au sein de grands clubs européens, comme Mesbah, il y a un an, Feghouli avant lui, Kadir et Belfodil récemment, a donné une nouvelle image du football algérien à l’étranger, même s’ils ont été tous formés en France. En tout cas, grâce aux résultats enregistrés par l’EN dernièrement, le football algérien connaît une nette évolution.
En 82 et 90, la plupart des joueurs étaient des locaux
Si on compare l’effectif actuel de l’EN à celui qui a pris part à la Coupe du monde 1982 ou la CAN-1990, on notera une grande différence. En effet, le groupe qui a pris part au Mondial-82 était composé de sept professionnels évoluant à l’étranger. Parmi eux, Mustapha Dahleb jouait dans un grand club, le PSG. Les six autres, Zidane, Mansouri, Maroc, Tlemçani et Korichi étaient dans des clubs moyens, malgré leur talent. Pour la CAN-90, on trouvera quatre joueurs professionnels, Menad, Madjer, Amani et Oudjani. Seul Madjer jouait à Porto, les autres étaient dans des clubs moyens. C’est dire que même à l’époque où l’EN avait réalisé d’excellents résultats, elle ne possédait pas de joueurs qui évoluaient dans le haut niveau.
Le buteur
Le 10 septembre prochain, le deuxième tour des éliminatoires de la Coupe du monde 2014, zone Afrique, prendra fin. Pour l’Equipe nationale, ce tour n’a été qu’une simple formalité pour avoir réussi à battre le Bénin et le Rwanda en aller-retour, en dépit d’une défaite amère essuyée, en juin 2012, à Ouagadougou, face au Mali qui était pourtant le concurrent numéro un des Verts dans ces éliminatoires. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agit d’un parcours presque sans faute, si ce n’était cette défaite amère, due essentiellement aux conditions climatiques qui ont empêché l’EN à préserver son avantage.
Ainsi, plusieurs paramètres entrent en jeu dans cette réussite, entre autres l’excellent travail effectué par le sélectionneur national, Vahid Halilhodzic. Ce dernier a vite compris, quand il avait pris l’EN en main, de la nécessité d’opérer un changement au sein des joueurs et d’injecter du sang neuf, car le groupe en place était arrivé à bout de souffle. Avec tous les changements effectués depuis deux ans, Halilhodzic a prouvé qu’il a eu raison. Le fait que l’Algérie se soit qualifiée aux barrages du Mondial, à une journée de la fin des éliminatoires, montre que l’EN est en bonne santé. Mais le plus important attend la sélection lors des barrages pour se qualifier en Coupe du monde. Il faut savoir que les circonstances jouent en faveur de Vahid Halilhodzic. Contrairement aux précédentes saisons, cette fois, il y a moins de problèmes. En effet, le sélectionneur se trouve devant une occasion en or de réaliser les meilleures performances de tous les temps dans l’histoire de l’Equipe nationale.
Dix joueurs évoluent dans les plus grands clubs européens
Un point important dont personne, sans aucun doute, ne s’est rendu compte, c’est que dix joueurs algériens qui font partie de la sélection évoluent dans les plus grands clubs européens. A commencer par Sofiane Feghouli, un élément incontournable dans l’échiquier du FC Valence, Ishak Belfodil qui vient juste de rejoindre l’Inter de Milan et qui devrait rejoindre la sélection en août, Yacine Brahimi devenu durant les derniers mois le joueur le plus important de Granada, au point où le club espagnol a racheté son contrat du Stade Rennais. Foued Kadir, et même s’il ne joue plus à Marseille, évolue quand même au sein du plus prestigieux club de France. Idem pour le jeune Faouzi Ghoulam de l’AS Saint-Etienne, courtisé aussi par des clubs italiens. Taïder demeure une valeur sûre au FC Bologne, en Italie, tout comme Mesbah à Parme. Enfin, Soudani, qui s’est illustré à Guimaraes la saison dernière, s’est vu proposer un contrat important au Dinamo Zagreb qui participe régulièrement à la Ligue des champions. Ghilas Nabil vient de s’engager au sein du plus grand club portugais, le FC Porto, et enfin, la révélation des locaux, Essaïd Belkalem, qui a été transféré de la JS Kabylie à l’Udinese.
Jamais l’Algérie n’a eu un aussi grand nombre de joueurs dans le haut niveau
Le moins que l’on puisse, c’est qu’il s’agit d’une première pour l’Algérie. Durant ces cinq dernières années, la sélection nationale possédait des joueurs évoluant dans des clubs moyens des Ligues 1 et 2 françaises. La donne a changé et il faut en profiter, car leur présence donnerait un plus considérable à la sélection.
Avec Belfodil à l’Inter et Feghouli à Valence, ça promet beaucoup !
Si tout le monde attend avec impatience, y compris Vahid Halilhodzic, l’arrivée du néo-attaquant de l’Inter de Milan, Ishak Belfodil, ce n’est pas pour rien. En effet, la présence de l’ex-Lyonnais donnera un apport considérable à l’attaque de l’EN, vu ses qualités et son expérience acquises au Calcio. Associé à Feghouli, l’attaquant nerazzurri fera sans doute des malheurs en compagnie du joueur du FC Valence. Le fait d’avoir des joueurs qui signent au sein de grands clubs européens, comme Mesbah, il y a un an, Feghouli avant lui, Kadir et Belfodil récemment, a donné une nouvelle image du football algérien à l’étranger, même s’ils ont été tous formés en France. En tout cas, grâce aux résultats enregistrés par l’EN dernièrement, le football algérien connaît une nette évolution.
En 82 et 90, la plupart des joueurs étaient des locaux
Si on compare l’effectif actuel de l’EN à celui qui a pris part à la Coupe du monde 1982 ou la CAN-1990, on notera une grande différence. En effet, le groupe qui a pris part au Mondial-82 était composé de sept professionnels évoluant à l’étranger. Parmi eux, Mustapha Dahleb jouait dans un grand club, le PSG. Les six autres, Zidane, Mansouri, Maroc, Tlemçani et Korichi étaient dans des clubs moyens, malgré leur talent. Pour la CAN-90, on trouvera quatre joueurs professionnels, Menad, Madjer, Amani et Oudjani. Seul Madjer jouait à Porto, les autres étaient dans des clubs moyens. C’est dire que même à l’époque où l’EN avait réalisé d’excellents résultats, elle ne possédait pas de joueurs qui évoluaient dans le haut niveau.
Le buteur
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