Selon lui Hannachi est le déstabilisateur de la JSK....
De ttes facons, ce n'est pas le seul qui le dit!!
Joint hier par téléphone pour nous livrer sa réaction aux déclarations de Hannachi à BRTV, l’ex-coach, Jean-Yves Chay a, après moults hésitations, accepté de répliquer à son ancien employeur à la JSK. Ses propos sonnent à la mesure d’une contre-attaque qui reflètent que Chay en a plein sur le cœur. Nous vous livrons sans commentaire l’intégralité des propos qu’il a tenu à accorder à la Dépêche de Kabylie.
«Je ne comprends pas les motivations de cet acharnement envers ceux qui ont servi la JSK et qui ont fait du bon boulot. Notre seul souci était d’améliorer, sans cesse, le rendement de l’équipe et de la rendre performante. Cela a été évidemment concrétisé sur le terrain. Nous avons remporté le titre comme nous avons aussi réussi la qualification aux poules de la Ligue des champions. Je crois que c’est là un parcours que beaucoup d’équipes avaient tellement envie d’atteindre. Nous avons joué 75 matches et effectué 120 séances d’entraînements.
J’ai travaillé avec Hakim et Sadmi dans une pleine harmonie. Tout a bien fonctionné. je dirais même, à merveille. Puis il y a eu la petite trêve qui a été suivie de deux stages qui se sont bien déroulés. Nous nous sommes entraînés trois fois par jour et tout le monde était satisfait que ce soit sur le plan infrastructure que sur la qualité des sparring-partners que nous avions rencontrés. Ce travail a apporté ses fruits et pour preuve cette victoire face à l’Asanté Kotoko. Je ne vois pas comment puisse-t-il apporter un jugement alors qu’il n’avait assisté à aucun de ces deux stages. Pour ce qui est des défaites face au CRB et l’ASO à domicile, je le dis encore : les joueurs n’étaient pas payés. Si les promesses étaient tenues, je suis persuadé que le rendement des joueurs serait autre. Dites-moi quelle crédibilité restera-t-il à un homme quand les promesses ne sont pas tenues ?
Malgré le départ de Sadmi, j’ai continué ma mission, mais la situation commençait à prendre une tournure insupportable suite aux déclarations incendiaires qu’il faisait à la presse. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il n’y a pas mieux pour déstabiliser un entraîneur et les joueurs que de s’adonner à des déclarations peu amènes à leur égard à travers les colonnes des journaux, et cela, a été mené sans mesure par lui. Vous vous demandez peut-être pourquoi je n’ai pas répondu à ces allégations. Eh bien! sachez que je suis une personne qui n’aime pas nager dans des eaux troubles.
Dois-je vous situer ce qui se grince dans son âme : la réussite, par deux fois en championnat d’Algérie et la qualification en Champion’s League, avec la même équipe, il s’est rendu compte que tout peut se faire sans lui, ce qui n’a pas manqué de l’agiter et avoir le sentiment de n’être là que pour la figuration. A vrai dire, avoir un tel sentiment c’est nourrir un complexe de personnalité.
Maintenant, je me demande pourquoi tant d’acharnement contre nous, alors que la JSK a vu défiler cinq entraîneurs depuis notre départ. Normalement, il doit se rendre à l’évidence que beaucoup de temps est consommé depuis la résiliation de notre contrat.
A mon sens, le fait qu’il n’arrête pas de ressasser notre épisode est en soi un mea culpa à peine déguisé de ce qu’il a fait pour l’équipe d’abord et pour nous ensuite. Il a décidé que ça se termine entre nous, il n’a qu’à assumer ses actes. La déstabilisation de la JSK, c’est lui. Néanmoins, sachez que je ne tiens absolument pas à m’abaisser à lui et polémiquer sur un feuilleton plutôt préjudiciable à l’équipe qu’à quelqu’un d’autre. cette équipe pour laquelle je souhaite qu’elle retrouve sa sérénité, sa compétitivité et ses pleines performances. La JSK est une équipe à la grandeur de ses supporters pour lesquels j’exprime toute ma sympathie. Je suis vraiment triste de la situation que traverse cette équipe qui mérite plutôt un meilleur sort. »
- La Depeche de Kabylie
De ttes facons, ce n'est pas le seul qui le dit!!
Joint hier par téléphone pour nous livrer sa réaction aux déclarations de Hannachi à BRTV, l’ex-coach, Jean-Yves Chay a, après moults hésitations, accepté de répliquer à son ancien employeur à la JSK. Ses propos sonnent à la mesure d’une contre-attaque qui reflètent que Chay en a plein sur le cœur. Nous vous livrons sans commentaire l’intégralité des propos qu’il a tenu à accorder à la Dépêche de Kabylie.
«Je ne comprends pas les motivations de cet acharnement envers ceux qui ont servi la JSK et qui ont fait du bon boulot. Notre seul souci était d’améliorer, sans cesse, le rendement de l’équipe et de la rendre performante. Cela a été évidemment concrétisé sur le terrain. Nous avons remporté le titre comme nous avons aussi réussi la qualification aux poules de la Ligue des champions. Je crois que c’est là un parcours que beaucoup d’équipes avaient tellement envie d’atteindre. Nous avons joué 75 matches et effectué 120 séances d’entraînements.
J’ai travaillé avec Hakim et Sadmi dans une pleine harmonie. Tout a bien fonctionné. je dirais même, à merveille. Puis il y a eu la petite trêve qui a été suivie de deux stages qui se sont bien déroulés. Nous nous sommes entraînés trois fois par jour et tout le monde était satisfait que ce soit sur le plan infrastructure que sur la qualité des sparring-partners que nous avions rencontrés. Ce travail a apporté ses fruits et pour preuve cette victoire face à l’Asanté Kotoko. Je ne vois pas comment puisse-t-il apporter un jugement alors qu’il n’avait assisté à aucun de ces deux stages. Pour ce qui est des défaites face au CRB et l’ASO à domicile, je le dis encore : les joueurs n’étaient pas payés. Si les promesses étaient tenues, je suis persuadé que le rendement des joueurs serait autre. Dites-moi quelle crédibilité restera-t-il à un homme quand les promesses ne sont pas tenues ?
Malgré le départ de Sadmi, j’ai continué ma mission, mais la situation commençait à prendre une tournure insupportable suite aux déclarations incendiaires qu’il faisait à la presse. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il n’y a pas mieux pour déstabiliser un entraîneur et les joueurs que de s’adonner à des déclarations peu amènes à leur égard à travers les colonnes des journaux, et cela, a été mené sans mesure par lui. Vous vous demandez peut-être pourquoi je n’ai pas répondu à ces allégations. Eh bien! sachez que je suis une personne qui n’aime pas nager dans des eaux troubles.
Dois-je vous situer ce qui se grince dans son âme : la réussite, par deux fois en championnat d’Algérie et la qualification en Champion’s League, avec la même équipe, il s’est rendu compte que tout peut se faire sans lui, ce qui n’a pas manqué de l’agiter et avoir le sentiment de n’être là que pour la figuration. A vrai dire, avoir un tel sentiment c’est nourrir un complexe de personnalité.
Maintenant, je me demande pourquoi tant d’acharnement contre nous, alors que la JSK a vu défiler cinq entraîneurs depuis notre départ. Normalement, il doit se rendre à l’évidence que beaucoup de temps est consommé depuis la résiliation de notre contrat.
A mon sens, le fait qu’il n’arrête pas de ressasser notre épisode est en soi un mea culpa à peine déguisé de ce qu’il a fait pour l’équipe d’abord et pour nous ensuite. Il a décidé que ça se termine entre nous, il n’a qu’à assumer ses actes. La déstabilisation de la JSK, c’est lui. Néanmoins, sachez que je ne tiens absolument pas à m’abaisser à lui et polémiquer sur un feuilleton plutôt préjudiciable à l’équipe qu’à quelqu’un d’autre. cette équipe pour laquelle je souhaite qu’elle retrouve sa sérénité, sa compétitivité et ses pleines performances. La JSK est une équipe à la grandeur de ses supporters pour lesquels j’exprime toute ma sympathie. Je suis vraiment triste de la situation que traverse cette équipe qui mérite plutôt un meilleur sort. »
- La Depeche de Kabylie