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FIFA : le prince Ali attaque la candidature de son ex-soutien Platini
A peine sa candidature à la présidence de la Fédération internationale de football association (FIFA) annoncée, Michel Platini s’attire les foudres de son plus grand concurrent. Le prince jordanien Ali Ben Al-Hussein, candidat malheureux à l’élection présidentielle à la FIFA à la fin de mai, a violemment critiqué cette initiative, mercredi 29 juillet, appelant à mettre fin à la culture des « arrangements en sous-main ».
« Platini n’est pas bon pour la FIFA. Les fans de foot et les joueurs méritent mieux. La FIFA est empêtrée dans le scandale », a estimé le Jordanien dans un communiqué, moins d’une heure après l’annonce de la candidature de Platini. « La FIFA a besoin d’un leadership indépendant, lavé des pratiques du passé », a-t-il ajouté.
Vice-président de la FIFA et membre de son comité exécutif depuis 2002, Michel Platini est effectivement décrit, par ses détracteurs, comme l’un des principaux artisans du « règne blattérien ».
Platini, ancien soutien du prince Ali
Agé de 39 ans, le demi-frère du roi Abdallah II, qui a le rang de général dans l’armée jordanienne, bénéficie dans les milieux sportifs internationaux d’une image positive, celle d’un homme modeste et travailleur. Vice-président de la FIFA pour l’Asie depuis 2011, il dirige également depuis 1999 la Fédération jordanienne de football.
Lors de sa première candidature face à Sepp Blatter en début d’année, il avait reçu le soutien de Michel Platini, celui qui fait aujourd’hui figure de favori. Le prince Ali avait réussi à mettre Blatter en ballottage avec 73 voix, mais s’était retiré avant le deuxième tour de scrutin.
En dehors du prince Ali, seuls l’ex-légende brésilienne « Zico » et Musa Hassan Bility, président de la Fédération du Liberia, ont jusqu’à présent annoncé qu’ils se lanceraient dans la course à la présidence de la FIFA. Michel Platini a jusqu’au 26 octobre pour faire valider sa candidature, soit quatre mois avant le scrutin.
le monde
« Platini n’est pas bon pour la FIFA. Les fans de foot et les joueurs méritent mieux. La FIFA est empêtrée dans le scandale », a estimé le Jordanien dans un communiqué, moins d’une heure après l’annonce de la candidature de Platini. « La FIFA a besoin d’un leadership indépendant, lavé des pratiques du passé », a-t-il ajouté.
Vice-président de la FIFA et membre de son comité exécutif depuis 2002, Michel Platini est effectivement décrit, par ses détracteurs, comme l’un des principaux artisans du « règne blattérien ».
Platini, ancien soutien du prince Ali
Agé de 39 ans, le demi-frère du roi Abdallah II, qui a le rang de général dans l’armée jordanienne, bénéficie dans les milieux sportifs internationaux d’une image positive, celle d’un homme modeste et travailleur. Vice-président de la FIFA pour l’Asie depuis 2011, il dirige également depuis 1999 la Fédération jordanienne de football.
Lors de sa première candidature face à Sepp Blatter en début d’année, il avait reçu le soutien de Michel Platini, celui qui fait aujourd’hui figure de favori. Le prince Ali avait réussi à mettre Blatter en ballottage avec 73 voix, mais s’était retiré avant le deuxième tour de scrutin.
En dehors du prince Ali, seuls l’ex-légende brésilienne « Zico » et Musa Hassan Bility, président de la Fédération du Liberia, ont jusqu’à présent annoncé qu’ils se lanceraient dans la course à la présidence de la FIFA. Michel Platini a jusqu’au 26 octobre pour faire valider sa candidature, soit quatre mois avant le scrutin.
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