Ce soir la France affronte l'Ukraine pour son dernier match en vue des qualifications pour l'Euro 2008
on sait déjà qu'ils sont qualifiés mais le résultat de ce match sera déterminant pour les tirages au sort des groupes
CLAIREFONTAINE - Le sélectionneur tricolore Raymond Domenech ne s'inquiète pas outre mesure à l'idée que la France pourrait être placée dans le troisième, voire le quatrième chapeau lors du tirage au sort des poules de l'Euro 2008 qui se disputera en Suisse et Autriche du 7 au 29 juin prochain les contenus des chapeaux", a déclaré mardi à Clairefontaine le sélectionneur français. "Etre dans le premier ou le quatrième chapeau, cela ne change pas énormément les choses. Ce que je sais, c'est que toutes les manières nous aurons trois adversaires solides et costauds".
Les parcours lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2006 et du championnat d'Europe 2008 entrent en ligne de compte pour le classement dans les quatre chapeaux. Or la France est pénalisée par ces cinq matches nuls concédés face à Israël (0-0 et 1-1), la Suisse (0-0 et 1-1) et l'Irlande (0-0) lors de la qualification pour le Mondial allemand, ainsi que par ses deux défaites face à l'Ecosse (1-0 et 1-0) sur sa route de l'Euro 2008.
Sur ces bases, la France ne sera pas tête de série. Trois sont connues avec l'Autriche et la Suisse, pays organisateurs et la Grèce, championne en titre. La quatrième se jouera entre l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Italie.
Domenech a facilement fait son deuil de ne pas être tête de série. Il dit ne pas redouter les autres hypothèses. Pourtant, dans le pire des cas -et notamment celui d'une défaite en Ukraine, ce soir pour son dernier match des éliminatoires-, la France pourrait courir le risque de se retrouver dans une poule où figureraient des ténors européens comme l'Italie, l'Allemagne et l'Angleterre.
Domenech juge le système inadéquat. "La France a été finaliste de la Coupe du monde. Elle termine avec beaucoup de points et il y aura pratiquement douze équipes devant nous au tirage au sort mais c'est comme cela dans la mesure où l'on ne prend pas en compte les résultats dans les phases finales", analyse le patron des Bleus.
on sait déjà qu'ils sont qualifiés mais le résultat de ce match sera déterminant pour les tirages au sort des groupes
CLAIREFONTAINE - Le sélectionneur tricolore Raymond Domenech ne s'inquiète pas outre mesure à l'idée que la France pourrait être placée dans le troisième, voire le quatrième chapeau lors du tirage au sort des poules de l'Euro 2008 qui se disputera en Suisse et Autriche du 7 au 29 juin prochain les contenus des chapeaux", a déclaré mardi à Clairefontaine le sélectionneur français. "Etre dans le premier ou le quatrième chapeau, cela ne change pas énormément les choses. Ce que je sais, c'est que toutes les manières nous aurons trois adversaires solides et costauds".
Les parcours lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2006 et du championnat d'Europe 2008 entrent en ligne de compte pour le classement dans les quatre chapeaux. Or la France est pénalisée par ces cinq matches nuls concédés face à Israël (0-0 et 1-1), la Suisse (0-0 et 1-1) et l'Irlande (0-0) lors de la qualification pour le Mondial allemand, ainsi que par ses deux défaites face à l'Ecosse (1-0 et 1-0) sur sa route de l'Euro 2008.
Sur ces bases, la France ne sera pas tête de série. Trois sont connues avec l'Autriche et la Suisse, pays organisateurs et la Grèce, championne en titre. La quatrième se jouera entre l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Italie.
Domenech a facilement fait son deuil de ne pas être tête de série. Il dit ne pas redouter les autres hypothèses. Pourtant, dans le pire des cas -et notamment celui d'une défaite en Ukraine, ce soir pour son dernier match des éliminatoires-, la France pourrait courir le risque de se retrouver dans une poule où figureraient des ténors européens comme l'Italie, l'Allemagne et l'Angleterre.
Domenech juge le système inadéquat. "La France a été finaliste de la Coupe du monde. Elle termine avec beaucoup de points et il y aura pratiquement douze équipes devant nous au tirage au sort mais c'est comme cela dans la mesure où l'on ne prend pas en compte les résultats dans les phases finales", analyse le patron des Bleus.

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