Y a t-il une équipe de foot qui n’a jamais perdu ? Évidement non, à vrai dire, même mathématiquement, plus on s’approchait du record d’invincibilité, et plus les chances de continuer a gagner d’amoindrissaient, et ce qui devait arriver arriva. En aucun cas, nous ne reprochons à notre équipe le fait d’avoir perdu dans un sport où on perd forcément.
Ceci étant dit, il faut revenir à la raison, et faire la critique du parcours de l’équipe nationale en coupe d’Afrique, a vrai dire, l’équipe nationale ne tournait pas bien avant même cette coupe d’Afrique, lors des phases de poules, l’Algerie n’a pu s’imposer qu’au terme d’un match couperet, et sa domination devenait de moins en moins évidente, notamment contre le Mali et le Burkina Faso.
Ce que je reproche à notre équipe nationale sur le plan tactique, c’est l’adoption quasi systématique de la stratégie des balles longues, cette stratégie ne fonctionnent plus contre des équipes africaines qui ont su lire parfaitement notre système de jeu et se sont très bien adaptées pour nous contrer , non cette stratégie n’est plus gagnante, et ne peut constituer une alternative à un milieu de terrain solide et imposant.
Mon ressenti aussi vis à vis de Djamel Belmadi, est qu’il s’est lié affectivement avec les joueurs avec qui il a gagné, la subjectivité dans le jugement et l’évaluation de ses joueurs est flagrante. Et revenir à des réflexes simples comme mettre les joueurs qui ne sont pas en forme sur le banc semble difficile pour lui, il y a une part de Redjla, de fidélité, bref, une part de sentiments dans la gestion du groupe.
Un autre point, le Duo Bounedjah Bellaili qui place des considérations affectives au dessus de l’intérêt de l’équipe, nous l’avons vu à maintes reprises quand Bellaili veut à tout prix faire marquer son ami, et ça n’a pas bien fonctionné, et ça ne devait pas se passer comme ça.
Notre équipe nationale a du potentiel, et justement le fait de faire jouer les joueurs par mérite et les mettre sur le banc quand il faut, que ce soit Mahrez, Bellaili, Bounedjah ou autre est une mesure plus que salutaire.
One, Two, Three, Viva l’Algérie
Abderrahmane BZ
Ceci étant dit, il faut revenir à la raison, et faire la critique du parcours de l’équipe nationale en coupe d’Afrique, a vrai dire, l’équipe nationale ne tournait pas bien avant même cette coupe d’Afrique, lors des phases de poules, l’Algerie n’a pu s’imposer qu’au terme d’un match couperet, et sa domination devenait de moins en moins évidente, notamment contre le Mali et le Burkina Faso.
Ce que je reproche à notre équipe nationale sur le plan tactique, c’est l’adoption quasi systématique de la stratégie des balles longues, cette stratégie ne fonctionnent plus contre des équipes africaines qui ont su lire parfaitement notre système de jeu et se sont très bien adaptées pour nous contrer , non cette stratégie n’est plus gagnante, et ne peut constituer une alternative à un milieu de terrain solide et imposant.
Mon ressenti aussi vis à vis de Djamel Belmadi, est qu’il s’est lié affectivement avec les joueurs avec qui il a gagné, la subjectivité dans le jugement et l’évaluation de ses joueurs est flagrante. Et revenir à des réflexes simples comme mettre les joueurs qui ne sont pas en forme sur le banc semble difficile pour lui, il y a une part de Redjla, de fidélité, bref, une part de sentiments dans la gestion du groupe.
Un autre point, le Duo Bounedjah Bellaili qui place des considérations affectives au dessus de l’intérêt de l’équipe, nous l’avons vu à maintes reprises quand Bellaili veut à tout prix faire marquer son ami, et ça n’a pas bien fonctionné, et ça ne devait pas se passer comme ça.
Notre équipe nationale a du potentiel, et justement le fait de faire jouer les joueurs par mérite et les mettre sur le banc quand il faut, que ce soit Mahrez, Bellaili, Bounedjah ou autre est une mesure plus que salutaire.
One, Two, Three, Viva l’Algérie
Abderrahmane BZ
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