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Alors qu’ils ont déposé un recours pour rejouer leur match de barrage du Mondial contre le Cameroun, les Algériens ont reçu une gifle de la part du président de la FIFA Gianni Infantino.
Éliminée par le Cameroun en barrage de la Coupe du monde 2022, l’Algérie veut rejouer le match retour qu’elle a perdu à domicile (1-2).
La Fédération algérienne de football (FAF) a ainsi déposé un recours auprès de la FIFA, en s’en prenant violemment à l’arbitre qui, selon elle, a été à l’origine de sa disqualification, affirmant d’user de tous les moyens pour obtenir gain de cause.
Mais la réponse de Gianni Infantino est on ne peut plus cinglante. Interrogé par une journaliste algérienne, le président de l’instance suprême du football mondial a asséné: «Je ne suis pas au courant. L’Algérie a joué un très bon match, malheureusement c’est le football, le football est dur».
Une réponse considérée comme une mise au point et une gifle quant à la demande illogique des Algériens.
Questionné à son tour sur le même sujet, Arsène Wenger, directeur technique du développement à la FIFA, s’est montré plus diplomate.
«J’ai vu les deux matchs.... Il faut interpréter la décépetion de façon logique. Vous savez, Il faut prouver que l'arbitre a fait une erreur technique. Refaire le match ne dépend pas de nous mais d'une commission et c'est à elle de décider si le match doit être rejoué ou non», a-t-il dit.
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Éliminée par le Cameroun en barrage de la Coupe du monde 2022, l’Algérie veut rejouer le match retour qu’elle a perdu à domicile (1-2).
La Fédération algérienne de football (FAF) a ainsi déposé un recours auprès de la FIFA, en s’en prenant violemment à l’arbitre qui, selon elle, a été à l’origine de sa disqualification, affirmant d’user de tous les moyens pour obtenir gain de cause.
Mais la réponse de Gianni Infantino est on ne peut plus cinglante. Interrogé par une journaliste algérienne, le président de l’instance suprême du football mondial a asséné: «Je ne suis pas au courant. L’Algérie a joué un très bon match, malheureusement c’est le football, le football est dur».
Une réponse considérée comme une mise au point et une gifle quant à la demande illogique des Algériens.
Questionné à son tour sur le même sujet, Arsène Wenger, directeur technique du développement à la FIFA, s’est montré plus diplomate.
«J’ai vu les deux matchs.... Il faut interpréter la décépetion de façon logique. Vous savez, Il faut prouver que l'arbitre a fait une erreur technique. Refaire le match ne dépend pas de nous mais d'une commission et c'est à elle de décider si le match doit être rejoué ou non», a-t-il dit.
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