Bonne analyse, bien que je lui adhère pas. Bien au contraire, lors de toutes les rencontres on a vu un piètre Maroc et c'est un miracle qu'une formation aussi faible parvienne en demi finale. Dignes de véritables hold-up.
A votre avis?
- Pourquoi Walid Regragui aurait dû croire jusqu’au bout en son 4-1-4-1 et ne pas changer de système contre la France
Le Maroc s’est incliné, mercredi, en demi-finale de la Coupe du monde face à la France, championne du monde en titre. Les Bleus n’auront pas brillé, et les Lions pas démérité. Mais, à ce stade de la compétition, la différence de qualité intrinsèque des joueurs d’un côté et la propension à commettre des erreurs de l’autre sont décisives et décident carrément du score du match.
Mais il y a d’autres facteurs qui ont affecté la performance du Maroc ce mercredi. Alors que le sélectionneur marocain Walid Regragui a employé un 4-1-4-1 durant toute la compétition, il a décidé contre la France de passer en 5-4-1. Nayef Aguerd, pourtant incertain, était annoncé titulaire, mais a été remplacé à la dernière seconde avant le coup d’envoi par Jawad El-Yamiq. Romain Saïss, dont la participation était également improbable, a été fixé au centre de la défense, Achraf Dari occupant sa droite.
« J’ai pensé qu’il était mieux de jouer avec une ligne de trois pour ne pas leur laisser d’espaces, puis avec nos latéraux, nous voulions forcer leurs ailiers, Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé à se replier pour défendre », a expliqué le sélectionneur en conférence de presse après la rencontre. Sur le papier, l’idée n’est pas si mauvaise, mais sur la pelouse, les lacunes du Maroc étaient flagrantes. « On apprend de ses erreurs et c’est le cas pour moi. Je ne regrette pas. Romain [Saïss] a dû sortir et c’était difficile. Nous avions décidé de débuter avec une ligne de cinq derrière pour qu’il ait pas à trop courir », a-t-il reconnu par la suite.
En abandonnant leur 4-1-4-1 étanche tout au long de la compétition, les Marocains ont semblé désorientés sur le terrain. Amrabat n’occupant plus ce poste de sentinelle devant la défense, les joueurs autour de lui ont perdu leurs repères sur le terrain. Les automatismes de pressing et de déplacement sans le ballon, qui ont fait toute la force des Lions, avaient été disruptés-.
Le Desk.ma (extraits)
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- Pourquoi Walid Regragui aurait dû croire jusqu’au bout en son 4-1-4-1 et ne pas changer de système contre la France
Le Maroc s’est incliné, mercredi, en demi-finale de la Coupe du monde face à la France, championne du monde en titre. Les Bleus n’auront pas brillé, et les Lions pas démérité. Mais, à ce stade de la compétition, la différence de qualité intrinsèque des joueurs d’un côté et la propension à commettre des erreurs de l’autre sont décisives et décident carrément du score du match.
Mais il y a d’autres facteurs qui ont affecté la performance du Maroc ce mercredi. Alors que le sélectionneur marocain Walid Regragui a employé un 4-1-4-1 durant toute la compétition, il a décidé contre la France de passer en 5-4-1. Nayef Aguerd, pourtant incertain, était annoncé titulaire, mais a été remplacé à la dernière seconde avant le coup d’envoi par Jawad El-Yamiq. Romain Saïss, dont la participation était également improbable, a été fixé au centre de la défense, Achraf Dari occupant sa droite.
« J’ai pensé qu’il était mieux de jouer avec une ligne de trois pour ne pas leur laisser d’espaces, puis avec nos latéraux, nous voulions forcer leurs ailiers, Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé à se replier pour défendre », a expliqué le sélectionneur en conférence de presse après la rencontre. Sur le papier, l’idée n’est pas si mauvaise, mais sur la pelouse, les lacunes du Maroc étaient flagrantes. « On apprend de ses erreurs et c’est le cas pour moi. Je ne regrette pas. Romain [Saïss] a dû sortir et c’était difficile. Nous avions décidé de débuter avec une ligne de cinq derrière pour qu’il ait pas à trop courir », a-t-il reconnu par la suite.
En abandonnant leur 4-1-4-1 étanche tout au long de la compétition, les Marocains ont semblé désorientés sur le terrain. Amrabat n’occupant plus ce poste de sentinelle devant la défense, les joueurs autour de lui ont perdu leurs repères sur le terrain. Les automatismes de pressing et de déplacement sans le ballon, qui ont fait toute la force des Lions, avaient été disruptés-.
Le Desk.ma (extraits)


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