Le tirage au sort des JO de Paris 2024 a placé le judoka algérien Driss Messaoudi face à un Israélien, suscitant des appels au retrait de la compétition.
Ces pressions sont alimentées par une longue tradition de boycott sportif en Algérie à l'encontre d'Israël.
Cependant, un tel refus pourrait compromettre la carrière de Messaoudi, qui a consenti des efforts considérables pour atteindre ce niveau.
Sans compter les sommes énormes investies pour sa préparation.
Les extrémistes ne tiennent pas compte de ces réalités et notamment de l'extinction, pour une longue durée, d'un champion.
Un boycott irréfléchi et Driss Messaoudi rejoindra la liste des athlètes algériens rayés de toutes les compétitions pour refus de jouer.
Il n'y a pas de guerre réelle entre nous et Israël. Elle existe entre les résistants palestiniens et l'entité sioniste.
Elle n'existe que dans l'esprit de nos extrémistes. Il y a une terrible lutte entre les courageux qui combattent pour leur survie et les lâches qui jettent des bombes du haut de leurs avions. Nous sommes du côté des résistants, de ceux qui ne jettent pas les armes au moment où il faut se battre.
Bats-toi ! Tu gagneras ! Tu iras loin !
S'il est vrai que cette tendance au boycott a été longtemps suivie, devenant une règle d'or, il faut que notre intelligence et notre force réelle l'emportent sur les niaiseries, car un boycott n'est pas synonyme de bravoure. C'est un refus de se battre !
Il faut vaincre l'Israélien sur le tatami, au lieu de lui faire cadeau d'une qualification non méritée.
Refuser de combattre ne fait que prolonger un cycle de boycott sans réelle bravoure, alors qu'une victoire au tapis serait la meilleure manière pour l'athlète algérien d'exprimer sa solidarité avec les Palestiniens et de ne pas compromettre sa carrière.
Pour une fois, soyons lucides !
Maâmar Farah
Ces pressions sont alimentées par une longue tradition de boycott sportif en Algérie à l'encontre d'Israël.
Cependant, un tel refus pourrait compromettre la carrière de Messaoudi, qui a consenti des efforts considérables pour atteindre ce niveau.
Sans compter les sommes énormes investies pour sa préparation.
Les extrémistes ne tiennent pas compte de ces réalités et notamment de l'extinction, pour une longue durée, d'un champion.
Un boycott irréfléchi et Driss Messaoudi rejoindra la liste des athlètes algériens rayés de toutes les compétitions pour refus de jouer.
Il n'y a pas de guerre réelle entre nous et Israël. Elle existe entre les résistants palestiniens et l'entité sioniste.
Elle n'existe que dans l'esprit de nos extrémistes. Il y a une terrible lutte entre les courageux qui combattent pour leur survie et les lâches qui jettent des bombes du haut de leurs avions. Nous sommes du côté des résistants, de ceux qui ne jettent pas les armes au moment où il faut se battre.
Bats-toi ! Tu gagneras ! Tu iras loin !
S'il est vrai que cette tendance au boycott a été longtemps suivie, devenant une règle d'or, il faut que notre intelligence et notre force réelle l'emportent sur les niaiseries, car un boycott n'est pas synonyme de bravoure. C'est un refus de se battre !
Il faut vaincre l'Israélien sur le tatami, au lieu de lui faire cadeau d'une qualification non méritée.
Refuser de combattre ne fait que prolonger un cycle de boycott sans réelle bravoure, alors qu'une victoire au tapis serait la meilleure manière pour l'athlète algérien d'exprimer sa solidarité avec les Palestiniens et de ne pas compromettre sa carrière.
Pour une fois, soyons lucides !
Maâmar Farah

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