Après sa victoire polémique contre l’Italienne Angela Carini lors de son entrée en lice dans le tournoi olympique, l’Algérienne Imane Khelif, probablement atteinte d’hyperandrogénie, a facilement dominé la Hongroise Anna Luca Hamori, ce samedi. Avec ce succès synonyme de qualification en demi-finale, elle est assurée de ramener une première médaille à l’Algérie lors de ces Jeux olympiques de Paris 2024.
C’est dans un contexte explosif que se déroulait ce quart de finale du tournoi olympique (femmes, -66 kg). Au cœur d’une polémique liée à son genre et ciblée par un harcèlement d’une violence inouïe, Imane Khelif était grandement attendue. Cette fois-ci, elle n’a pas eu besoin d’un abandon de son adversaire pour se qualifier, mais sa victoire n’est soumise à aucune contestation.
Acclamée par un public algérien venu en masse à l’Arena Paris Nord, Khelif s’est présentée avec beaucoup de détermination sur le ring. Et pour cause, son adversaire, la Hongroise Anna Luca Hamori, avait colporté de fausses informations à son encontre sur les réseaux sociaux.
Un duel parfaitement maîtrisé par Khelif
Revancharde, Khelif a débuté le combat par le bon bout. Dynamique et bénéficiant d’un léger avantage d’allonge, elle a dicté le tempo en assenant quelques combinaisons bien trouvées. Logiquement vainqueure des deux premières reprises, la victoire ne semblait plus pouvoir lui échapper, à moins d’un retournement de situation.
Et le miracle n’a pas eu lieu, Hamori ne trouvant jamais la faille pour toucher de manière significative l’Algérienne. Remontée, Khelif n’a pas hésité non plus à amener la Hongroise au sol lors de phases de clinch pouvant prêter à contestation.
Les juges ont finalement déclaré Khelif vainqueure par décision unanime, un résultat logique tant la différence de niveau semblait importante sur le ring. Déjà assurée de remporter une médaille, la boxeuse probablement atteinte d’hyperandrogénie, défiera la Thaïlandaise Janjaem Suwannapheng qui a dominé la Turque Busenaz Surmeneli en quart.
Ouest-France
C’est dans un contexte explosif que se déroulait ce quart de finale du tournoi olympique (femmes, -66 kg). Au cœur d’une polémique liée à son genre et ciblée par un harcèlement d’une violence inouïe, Imane Khelif était grandement attendue. Cette fois-ci, elle n’a pas eu besoin d’un abandon de son adversaire pour se qualifier, mais sa victoire n’est soumise à aucune contestation.
Acclamée par un public algérien venu en masse à l’Arena Paris Nord, Khelif s’est présentée avec beaucoup de détermination sur le ring. Et pour cause, son adversaire, la Hongroise Anna Luca Hamori, avait colporté de fausses informations à son encontre sur les réseaux sociaux.
Un duel parfaitement maîtrisé par Khelif
Revancharde, Khelif a débuté le combat par le bon bout. Dynamique et bénéficiant d’un léger avantage d’allonge, elle a dicté le tempo en assenant quelques combinaisons bien trouvées. Logiquement vainqueure des deux premières reprises, la victoire ne semblait plus pouvoir lui échapper, à moins d’un retournement de situation.
Et le miracle n’a pas eu lieu, Hamori ne trouvant jamais la faille pour toucher de manière significative l’Algérienne. Remontée, Khelif n’a pas hésité non plus à amener la Hongroise au sol lors de phases de clinch pouvant prêter à contestation.
Les juges ont finalement déclaré Khelif vainqueure par décision unanime, un résultat logique tant la différence de niveau semblait importante sur le ring. Déjà assurée de remporter une médaille, la boxeuse probablement atteinte d’hyperandrogénie, défiera la Thaïlandaise Janjaem Suwannapheng qui a dominé la Turque Busenaz Surmeneli en quart.
Ouest-France


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