La championne algérienne Imane Khelif a attaqué devant la justice sportive la nouvelle réglementation de l’instance World Boxing imposant des tests de féminité.
L’Algérienne Imane Khelif, championne olympique de boxe aux JO-2024, a attaqué devant la justice sportive la nouvelle réglementation de l’instance World Boxing imposant des tests de féminité, a annoncé lundi le Tribunal arbitral du sport. Au coeur d’une polémique sur son genre lors des Jeux de Paris, l’Algérienne conteste l’interdiction qui lui a été faite de participer aux compétitions internationales sans subir au préalable un test chromosomique, précise le TAS, qui n’a pas encore fixé de date d’audience.
Dans le détail, Imane Khelif demande l’annulation de la décision prise fin mai par World Boxing qui l’a privée en juin du tournoi d’Eindhoven - première compétition soumise à la nouvelle réglementation - et veut pouvoir participer «sans test» aux Mondiaux à Liverpool, qui débutent jeudi jusqu’au 14 septembre.
Cette dernière requête n’a quasiment aucune chance d’aboutir puisque le TAS précise avoir refusé d’accorder un effet suspensif à l’appel de la boxeuse algérienne, formé le 5 août.
Source : Ouest France
L’Algérienne Imane Khelif, championne olympique de boxe aux JO-2024, a attaqué devant la justice sportive la nouvelle réglementation de l’instance World Boxing imposant des tests de féminité, a annoncé lundi le Tribunal arbitral du sport. Au coeur d’une polémique sur son genre lors des Jeux de Paris, l’Algérienne conteste l’interdiction qui lui a été faite de participer aux compétitions internationales sans subir au préalable un test chromosomique, précise le TAS, qui n’a pas encore fixé de date d’audience.
Dans le détail, Imane Khelif demande l’annulation de la décision prise fin mai par World Boxing qui l’a privée en juin du tournoi d’Eindhoven - première compétition soumise à la nouvelle réglementation - et veut pouvoir participer «sans test» aux Mondiaux à Liverpool, qui débutent jeudi jusqu’au 14 septembre.
Cette dernière requête n’a quasiment aucune chance d’aboutir puisque le TAS précise avoir refusé d’accorder un effet suspensif à l’appel de la boxeuse algérienne, formé le 5 août.
Source : Ouest France

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