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Quelques heures seulement après leur triomphe historique en finale de la Coupe du Monde U20 face à l’Argentine (2-0), la valeur marchande des joueurs de la sélection marocaine a connu une envolée spectaculaire. Selon les dernières estimations, la valeur totale du groupe atteint désormais 11,083 millions d’euros, un chiffre appelé à grimper encore dans les jours à venir.
Ce bond exceptionnel reflète la reconnaissance internationale dont bénéficient désormais les jeunes talents marocains, révélés au grand public durant le tournoi. Les performances impressionnantes de Yassir Zabiri, double buteur en finale et meilleur réalisateur de la compétition, ont particulièrement attiré l’attention des recruteurs européens. L’attaquant de 20 ans, estimé à 600 000 euros, incarne la nouvelle génération dorée du football marocain.
Derrière lui, d’autres pépites confirment l’essor du vivier national : Ali Maamar (2 millions d’euros), Othmane Maamma (1,3 million d’euros) ou encore Gessime Yassine, déjà évalué à 4,4 millions d’euros, témoignent de la profondeur et de la qualité du projet de formation marocain.
Le sacre mondial des Lionceaux de l’Atlas n’a donc pas seulement une valeur symbolique : il s’inscrit aussi dans une dynamique économique et sportive prometteuse pour le football marocain. De nombreux observateurs s’accordent à dire que ces chiffres ne représentent qu’un début, tant le potentiel de progression de ces jeunes talents semble immense
Avec cette génération dorée, le Maroc confirme sa place parmi les grandes nations formatrices du continent africain — un succès qui rejaillit sur tout le système de formation mis en place sous l’impulsion de la Fédération Royale Marocaine de Football.
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Ce bond exceptionnel reflète la reconnaissance internationale dont bénéficient désormais les jeunes talents marocains, révélés au grand public durant le tournoi. Les performances impressionnantes de Yassir Zabiri, double buteur en finale et meilleur réalisateur de la compétition, ont particulièrement attiré l’attention des recruteurs européens. L’attaquant de 20 ans, estimé à 600 000 euros, incarne la nouvelle génération dorée du football marocain.
Derrière lui, d’autres pépites confirment l’essor du vivier national : Ali Maamar (2 millions d’euros), Othmane Maamma (1,3 million d’euros) ou encore Gessime Yassine, déjà évalué à 4,4 millions d’euros, témoignent de la profondeur et de la qualité du projet de formation marocain.
Le sacre mondial des Lionceaux de l’Atlas n’a donc pas seulement une valeur symbolique : il s’inscrit aussi dans une dynamique économique et sportive prometteuse pour le football marocain. De nombreux observateurs s’accordent à dire que ces chiffres ne représentent qu’un début, tant le potentiel de progression de ces jeunes talents semble immense
Avec cette génération dorée, le Maroc confirme sa place parmi les grandes nations formatrices du continent africain — un succès qui rejaillit sur tout le système de formation mis en place sous l’impulsion de la Fédération Royale Marocaine de Football.
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