Allez, pour faire plaisir à certains, reconnaissons-le : ce n’est pas le capitalisme qui est en crise ; tout ce qui arrive aujourd’hui est la faute de la dictature bureaucratique du socialisme ! Ces spéculations boursières et toute cette économie virtuelle, basée exclusivement sur le profit, ne sont pas la cause du grand saut dans le vide qui risque d’emporter tout le monde !
C’est la classe ouvrière la fautive, elle qui ne sait pas dire «merci» aux patrons qui font de gros efforts pour la nourrir, la blanchir et la loger ! C’est la faute aux partis anticapitalistes, à celui de Louisa Hanoune et aux syndicats qui n’ont rien compris à l’économie de marché !
Et puis, pour être franc, oui, il faut l’avouer, il faut le clamer haut et fort : ce qui arrive est la faute à Boumediene !
«Celui qui cède quand il a tort est sensé ; celui qui cède quand il a raison est marié.»
le soir d'algérie
C’est la classe ouvrière la fautive, elle qui ne sait pas dire «merci» aux patrons qui font de gros efforts pour la nourrir, la blanchir et la loger ! C’est la faute aux partis anticapitalistes, à celui de Louisa Hanoune et aux syndicats qui n’ont rien compris à l’économie de marché !
Et puis, pour être franc, oui, il faut l’avouer, il faut le clamer haut et fort : ce qui arrive est la faute à Boumediene !
«Celui qui cède quand il a tort est sensé ; celui qui cède quand il a raison est marié.»
le soir d'algérie
Commentaire