La petite communauté de Piedmont, dans les Laurentides ( Québec ) est sous le choc après l'assassinat de deux enfants. Les corps d'un garçon de 5 ans et d'une fillette de 3 ans ont été retrouvés samedi, en début d'après-midi, dans une résidence de la rue Beaulne, située dans un secteur cossu de la municipalité.
La Sûreté du Québec a indiqué qu'il s'agissait d'un drame familial. Le père des enfants, qui a été retrouvé gisant dans la maison où le drame s'est produit, a été hospitalisé à Montréal. L'individu, dont l'identité n'a pas été révélée, avait consommé une grande quantité de médicaments. Sa vie ne serait pas en danger.
Il s'agit d'un cardiologue de 36 ans. Il avait fondé la Clinique d'insuffisance cardiaque de Saint-Jérôme, il y a un an.
Les policiers ignorent pour l'instant le mobile du crime. Ils devaient rencontrer le père des enfants sous peu. Une autopsie sera aussi pratiquée sur les corps des enfants en début de semaine.
Un porte-parole de la SQ a expliqué que les policiers allaient également interroger les voisins et les proches pour tenter de comprendre la séquence des événements et les mobiles du crime.
La mère des enfants n'était pas présente au moment du drame. Elle a été retrouvée dans Charlevoix, où elle faisait du ski.
Le maire de Piedmont est atterré par les événements et a adressé à la famille et aux proches des victimes ses condoléances. Clément Cardin dit ne pas connaître personnellement la famille.
Tous deux médecins
En conférence de presse, dimanche après-midi, le directeur général du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Saint-Jérôme, François Therrien, a confirmé que les parents des deux enfants étaient tous deux médecins. Il a présenté ses condoléances à la famille immédiate et aux proches des victimes.
Le couple travaille à l'Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme depuis 2003. M. Therrien a insisté sur le fait que le père n'avait donné aucun signe avant-coureur de son état d'esprit du côté de ses activités professionnelles. Le directeur général a toutefois reconnu que des collègues du couple avaient entendu parler de quelques difficultés personnelles.
M. Therrien a expliqué que la décision de transférer l'homme dans un hôpital de Montréal avait été prise de concert avec le personnel à Saint-Jérôme, parce qu'il avait besoin de traitements plus spécialisés.
Le médecin qui aurait assassiné ses deux enfants de trois et cinq ans avant de tenter de s'enlever la vie, samedi matin à Piedmont dans les Laurentides, vivait une douloureuse séparation avec sa conjointe, elle aussi médecin à l'Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme.
Le Dr Guy Turcotte, qui repose encore à l'unité des soins intensifs de l'Hôpital du Sacré-Coeur, vivait séparé de sa conjointe depuis près de deux mois.
Il louait une résidence cossue du village de Piedmont, où il se trouvait, pendant le week-end, avec ses deux enfants, Olivier, 5 ans, et Anne- Sophie, 3 ans. Leur mère, qui est urgentologue, était partie pour la fin de semaine en voyage de ski au Massif de Petite-Rivière-Saint-François.
Selon TVA, le médecin devait se rendre avec les enfants samedi matin dans un restaurant de Prévost pour rencontrer ses parents. Constatant son absence, ces derniers auraient contacté les policiers.
La Sûreté du Québec a indiqué qu'il s'agissait d'un drame familial. Le père des enfants, qui a été retrouvé gisant dans la maison où le drame s'est produit, a été hospitalisé à Montréal. L'individu, dont l'identité n'a pas été révélée, avait consommé une grande quantité de médicaments. Sa vie ne serait pas en danger.
Il s'agit d'un cardiologue de 36 ans. Il avait fondé la Clinique d'insuffisance cardiaque de Saint-Jérôme, il y a un an.
Les policiers ignorent pour l'instant le mobile du crime. Ils devaient rencontrer le père des enfants sous peu. Une autopsie sera aussi pratiquée sur les corps des enfants en début de semaine.
Un porte-parole de la SQ a expliqué que les policiers allaient également interroger les voisins et les proches pour tenter de comprendre la séquence des événements et les mobiles du crime.
La mère des enfants n'était pas présente au moment du drame. Elle a été retrouvée dans Charlevoix, où elle faisait du ski.
Le maire de Piedmont est atterré par les événements et a adressé à la famille et aux proches des victimes ses condoléances. Clément Cardin dit ne pas connaître personnellement la famille.
Tous deux médecins
En conférence de presse, dimanche après-midi, le directeur général du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Saint-Jérôme, François Therrien, a confirmé que les parents des deux enfants étaient tous deux médecins. Il a présenté ses condoléances à la famille immédiate et aux proches des victimes.
Le couple travaille à l'Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme depuis 2003. M. Therrien a insisté sur le fait que le père n'avait donné aucun signe avant-coureur de son état d'esprit du côté de ses activités professionnelles. Le directeur général a toutefois reconnu que des collègues du couple avaient entendu parler de quelques difficultés personnelles.
M. Therrien a expliqué que la décision de transférer l'homme dans un hôpital de Montréal avait été prise de concert avec le personnel à Saint-Jérôme, parce qu'il avait besoin de traitements plus spécialisés.
Le médecin qui aurait assassiné ses deux enfants de trois et cinq ans avant de tenter de s'enlever la vie, samedi matin à Piedmont dans les Laurentides, vivait une douloureuse séparation avec sa conjointe, elle aussi médecin à l'Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme.
Le Dr Guy Turcotte, qui repose encore à l'unité des soins intensifs de l'Hôpital du Sacré-Coeur, vivait séparé de sa conjointe depuis près de deux mois.
Il louait une résidence cossue du village de Piedmont, où il se trouvait, pendant le week-end, avec ses deux enfants, Olivier, 5 ans, et Anne- Sophie, 3 ans. Leur mère, qui est urgentologue, était partie pour la fin de semaine en voyage de ski au Massif de Petite-Rivière-Saint-François.
Selon TVA, le médecin devait se rendre avec les enfants samedi matin dans un restaurant de Prévost pour rencontrer ses parents. Constatant son absence, ces derniers auraient contacté les policiers.
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