Et si demander aux élèves de lever le doigt lorsqu’ils souhaitent prendre la parole ou poser une question nuisait aux résultats scolaires des plus timides?
C’est en tout cas les conclusions d’une étude menée au Royaume-Uni dans près de quarante établissements et commandée par le gouvernement. Ce dernier a d’ailleurs officiellement demandé aux enseignants de renoncer à cette vieille habitude et cela dans l’intérêt de tous les élèves.
Pour ces chercheurs, il est important que les enseignants prennent conscience que leurs élèves, dès l’âge de 7 ans et jusqu’à l’adolescence, peuvent très mal vivre le fait de lever la main. Parfois effacés, timorés, beaucoup ne supportent pas d’attirer sur eux l’attention… de l’enseignant et de leurs camarades. Même pour une simple petite question. Les résultats scolaires, des garçons comme des filles, s’en ressentiraient.
Il est ainsi suggéré aux enseignants d’utiliser d’autres méthodes :
Du côté des prof, c’est l’étonnement : “nous savons que certains élèves lèvent souvent le doigt, d’autres jamais. Et c’est justement notre travail quotidien de faire participer l’ensemble de la classe, en utilisant tous les moyens à notre disposition”. Pour les syndicats, les méthodes d’interrogation recommandées par le gouvernement ne sont ni plus ni moins que celles que les enseignants utilisent déjà tous les jours dans toutes les salles de classe du pays.
C’est en tout cas les conclusions d’une étude menée au Royaume-Uni dans près de quarante établissements et commandée par le gouvernement. Ce dernier a d’ailleurs officiellement demandé aux enseignants de renoncer à cette vieille habitude et cela dans l’intérêt de tous les élèves.
Pour ces chercheurs, il est important que les enseignants prennent conscience que leurs élèves, dès l’âge de 7 ans et jusqu’à l’adolescence, peuvent très mal vivre le fait de lever la main. Parfois effacés, timorés, beaucoup ne supportent pas d’attirer sur eux l’attention… de l’enseignant et de leurs camarades. Même pour une simple petite question. Les résultats scolaires, des garçons comme des filles, s’en ressentiraient.
Il est ainsi suggéré aux enseignants d’utiliser d’autres méthodes :
- Interroger directement un élève.
- Laisser trente secondes de réflexion aux enfants.
- Les inviter à discuter deux par deux avant de donner une réponse.
Du côté des prof, c’est l’étonnement : “nous savons que certains élèves lèvent souvent le doigt, d’autres jamais. Et c’est justement notre travail quotidien de faire participer l’ensemble de la classe, en utilisant tous les moyens à notre disposition”. Pour les syndicats, les méthodes d’interrogation recommandées par le gouvernement ne sont ni plus ni moins que celles que les enseignants utilisent déjà tous les jours dans toutes les salles de classe du pays.
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