tres bien aussi ,moi plus de probleme les miens sont grands .mais tu verras petit ,petit souci grand ,grand souci mais une maison sans enfants ...alors tu lui fais un gros gros bisous .
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
dire la verité
Réduire
X
-
mais c la loi du dieu il faut l'apliquerNormalement il n'y a mieux que la vérité, mais les aléas de vie que nous menons, celui qui dira la vérité paiera, et là toute la question,
mentir est un pêcher ,il faut dire la verité et klk soit (x)il y a des situations où on ne peut que dire la vérité étant correcte et honnête
d'apres ce topic je l'ai bien analyser je voie que 85%ne ne disent jamais la veritéLa vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
Alain Prochiantz
Commentaire
-
A méditer.
____________________
Dans un essai lumineux, le philosophe britannique Bernard Williams déplie les significations complexes de la notion de vérité et de celle de véracité.
Titre: Vérité et Véracité. Essai de généalogie
Auteur: Bernard Williams
Editeur: Gallimard
Autres informations: Trad. de Jean Lelaidier. 374p.

Mark Hunyadi, Samedi 16 septembre 2006

Disparu en 2003, le philosophe britannique Bernard Williams, outre sa réputation officielle de grand philosophe, avait celle d'être un enseignant et un partenaire de discussion de génie. Mais à dire vrai, ses écrits publiés à ce jour en français ne confirmaient pas vraiment cette opinion répandue par ses élèves: souvent compliqués, peu linéaires, touffus, ses textes désarçonnaient souvent le lecteur à force de retournements, paradoxes et concessions.
Mais voici que paraît, servi de plus par une excellente traduction, un livre lumineux, le dernier qu'il ait écrit, Vérité et véracité (Truth and Truthfulness), paru en anglais en 2002. Il est consacré à un thème difficile, celui de l'exigence de vérité liée, d'une manière générale, au langage: dans quelle mesure doit-on toujours supposer que le langage peut atteindre à la vérité? Peut-on, dans les sciences humaines notamment, se passer du concept de vérité? Nietzsche avait déclaré qu'il n'y a pas de faits, que des interprétations; c'est faux, dit Williams, mais il ajoute que ce ne fut là qu'un égarement passager de Nietzsche, qu'il convoque par ailleurs - joli paradoxe - pour contrer les thèses postmodernistes qui se réclament précisément de cet aphorisme. Nietzsche contre Nietzsche, en quelque sorte.
Il s'agit bien d'abord du thème de l'exigence de vérité, et non de la vérité elle-même; il s'agit donc non pas de savoir ce qu'est la vérité, ou comment on peut la définir, mais de savoir si, quoi que l'on dise, on peut se passer de l'idée même de vérité. Quel est le rôle de la vérité, tant dans les discussions scientifiques en général que dans nos conversations quotidiennes.
Or, pour Bernard Williams, la vérité est liée à ce qu'il appelle les deux vertus: la sincérité - dire ce que l'on croit - et l'exactitude - viser, en un sens quelconque, la vérité de ce que l'on dit. En effet, si l'on s'attend, d'une manière générale, à ce qu'un discours soit vrai, cela veut dire que l'on attend du locuteur qu'il soit sincère - la vérité est liée à la véracité, c'est-à-dire la disposition à dire le vrai. Ce qui n'exclut d'aucune manière, évidemment, le mensonge. On pourrait lire aujourd'hui toute l'affaire Günter Grass à la lumière de ce double thème: avait-il jusqu'à ses récentes révélations fait preuve de véracité, même s'il n'a à strictement parler jamais menti sur son passé?
C'est pourquoi l'une des notions qui est au cœur du livre de Williams - un grand livre - est celle de confiance. Günter Grass a assurément trahi la confiance qu'avait mise en lui toute une génération d'Allemands, et beaucoup plus. Toutefois, parmi les mille idées subtiles et profondes dont fourmille Vérité et véracité, il en est une qui se dégage avec force: à savoir que la confiance ne se dit pas au singulier. Il y a beaucoup de formes de confiance, autant que de formes de relations. On ne met pas la même confiance dans le verbe de Günter Grass, dans les propos de notre voisin ou dans la parole d'un vendeur de voitures d'occasion. Mensonge, tromperie, vérité et sincérité ne sont pas des absolus, mais plutôt, à chaque fois, des révélateurs du type de relation que nous entretenons les uns avec les autres. Williams en tire une belle réfutation de la thèse extrême de Kant selon laquelle le mensonge est moralement prohibé en toutes circonstances, même s'il s'agit de sauver un ami des mains d'un bourreau.
Dans Vérité et véracité, il y va donc de ce que l'on attend fondamentalement de la communication humaine, et du souci de vérité qui l'anime. Sa richesse philosophique tient à la fois à sa méthode d'investigation originale (une histoire fictive que Williams appelle généalogie), à ses prises de position dans le débat contemporain (Williams est anti-positiviste et anti-postmoderne) et, tout simplement, à la profondeur de ses foisonnantes analyses.
Commentaire
-
Si on a le choix on choisit de dire la verité puisqu'il ya un choix donc pas de pression.
Personellement quand je veux cacher -pas mentir -mais cacher des trucs et qu'on me pose la question sur ces trucs on decouvre facilement que je ne dis pas la verité car j'evite le contact visuel quand je parle a la personne
ou bien je rougis
comment controler ces deux comportements mouchards je ne sais pas.
Commentaire

Commentaire