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Logement et dissolution des EPLF: A qui cela profite en Algérie?

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  • #16
    L'eplf est une entreprise publique comme toutes les autres. Les entreprises publiques n'ont pas de tête. Elles font du social. Tout le monde gravite autour des EPLF (les syndicalistes sont plus suceurs des entreprises que les patrons). C la gestion bicéphale et c pour ça que ça ne marche pas. Il y a 2 années, l'EPLF d'alger m'a proposé un logement à Boumerdés pour près de 8 000 000.00 DA. Il fait dans le marché noir. pour combler les déficits cumulés durant des décénnies et en l'absence d'aide de l'état (mise à niveau), cet organisme se retourne sur les acheteurs de logements.

    La décision de fermer les EPLF est bienvenue. De toute façon, ça n'a suscité aucune réaction de l'algérien.

    S'agissant des futurs acheteurs, normalement ils n'auront rien à craindre. Un liquidateur sera désigné pour préparer le transfert des dossiers aux organismes de remplacement. Dommage, ça risquerait d'être un peu plus long, c tout.

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    • #17
      EPLF et le programme LSP

      apparement, je comprends qu'il vaut mieux que j'attende. si ces entreprises sont dissoutes et les programmes transferés a un autre organisme public, je voudrais bien alors ne pas me radier de la liste. moi c une question de temps, g vraiment besoin de ce logement. je paye un loyer donc voila koi.
      si t'as des infos, je veux bien que tu nous en fasse part

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      • #18
        Restructuration des EPLF: Le Premier ministre fixe un ultimatum

        lu dans le quotidien d'oran d'aujourd'hui:

        Le Premier ministre Ahmed Ouyahia n'a pas apprécié le retard enregistré dans la «restructuration» des EPLF et la création d'une nouvelle entité devant englober les 19 entreprises réparties à travers le pays.

        Plus de dix mois après le gel des activités des Entreprises de promotion du logement familial (EPLF) et malgré la résolution du Conseil des participations de l'Etat n°05-92 du 22 janvier 2009 qui définit clairement la démarche à entreprendre, rien n'a encore été fait du côté du ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme qui chapeaute l'opération. Dans une nouvelle directive «incisive» adressée aux présidents des directoires des Sociétés de gestion des participations (SGP) «Indjab», «Est-Sud-Est», «Centre» et «Ouest», le Premier ministre a fixé comme ultimatum la date du 14 mai prochain pour avoir un rapport détaillé sur «la mise en oeuvre des décisions du Conseil des ministres et du Conseil des participations de l'Etat relatives à la dissolution des EPLF et leur absorption par une nouvelle entreprise publique économique». «Dans le but de matérialiser les décisions pertinentes du Conseil des ministres, le Conseil des participations de l'Etat a statué en janvier dernier sur la création d'une nouvelle société destinée à absorber les actuelles EPLF en veillant à la préservation des emplois et patrimoines existants, à la poursuite des programmes de réalisation en cours ainsi qu'à la sauvegarde des intérêts des citoyens détenteurs de droits sur les actuelles EPLF», souligne Ahmed Ouyahia. Ce dernier qui rappelle que les SGP concernées ont été chargées de la mise en oeuvre de ces décisions sous la conduite du ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, n'a pas caché sa «préoccupation» devant le retard constaté dans la finalisation du dossier des EPLF qui continuent, faut-il le préciser, à verser des salaires à leurs employés sans réelle contrepartie depuis juillet 2008, faute d'activités et de nouveaux marchés. «Je relève que l'opération en question ne cesse d'accumuler des retards préoccupants», note, dans sa directive, Ahmed Ouyahia qui ordonne clairement que «cette situation doit être redressée avec diligence et, le cas échéant, avec fermeté». Cette dernière phrase ne souffre d'aucune ambiguïté. Ahmed Ouyahia veut, selon toute vraisemblance, rappeler à l'ordre tous ceux qui sont en charge du dossier. La directive du Premier ministre a été adressée aux responsables concernés à l'arrivée à terme, le 30 juin prochain, de la majorité des mandats des administrateurs et commissaires aux comptes des EPLF. Légalement à partir de cette date, c'est tout simplement la «vacance» au sein des directions des EPLF, ce qui risque, à coup sûr, de compliquer davantage la mise en place de la nouvelle «entité».

        Dans la même directive, Ahmed Ouyahia en sa qualité de président du Conseil des participations de l'Etat n'y est pas allé par quatre chemins. «J'ordonne au président du directoire de la Société de gestion des participations Indjab de diligenter immédiatement le processus de création de la nouvelle société destinée à absorber les EPLF», a-t-il indiqué en précisant qu'il appartient au ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme de désigner le «dirigeant mandaté par intérim» à la direction de la nouvelle entreprise qui englobera toutes les EPLF. La désignation d'un «intérimaire» à la tête de la nouvelle société n'est pas du goût de certains cadres de ces EPLF. Ils expliquent qu'une telle nomination n'est pas conforme au code du commerce qui stipule, poursuivent-ils, que la désignation relève des pouvoirs du conseil d'administration de la nouvelle entreprise et non du ministre. Mais le Premier ministre a clairement signifié qu'il attendait un rapport de l'exécution de cette directive au plus tard le 14 mai prochain. Tout comme il ordonne aux présidents des directoires des Sociétés régionales de gestion des participations citées plus haut, de veiller personnellement, chacun selon sa compétence et en coordination, à la finalisation des travaux d'évaluation de la situation patrimoniale de chaque EPLF dont l'état a été arrêté au 30 avril dernier, rappelant «qu'étant entendu que le rapport établi par les commissaires aux comptes doit, dans chaque cas, être finalisé avant le 20 mai prochain, dernier délai de rigueur». En dernier lieu, le chef de l'exécutif ordonne également dans le même document, dont nous détenons une copie, aux présidents des directoires des «SGP Indjab» et «SGP Régionales» de veiller de concert, en application, poursuit-il, des dispositions du code du commerce, à la concrétisation de la décision de «fusion-absorption». Ahmed Ouyahia exige la tenue, avant le 30 mai, de l'assemblée générale extraordinaire regroupant les assemblées générales de la nouvelle société et de toutes celles des EPLF qui seront absorbées par la nouvelle entité. Le Premier ministre conclut en mettant en garde «qu'aucun retard ne sera toléré dans l'exécution de ces directives». Il reste à savoir maintenant si le dossier des EPLF qui n'a pas pu être finalisé durant près d'une année, le sera dans les délais fixés par le Premier ministre, autrement dit un peu plus d'une vingtaine de jours ?


        Qui sait? si les programmes sont maintenues, on aura enfin nos logements.
        et si on constituait des comités de postulants? y a t-il des candidats inscrits aux EPLF?

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