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Sarkozy va creer un Ministère de l'Opposition

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  • Sarkozy va creer un Ministère de l'Opposition

    Et oui..c'est serieux.
    le President Sarkozy et ses plus pointus conseillers viennent d'avoir cette idée à la fois audacieuse, marrante et utile

    Ce Ministere aura pour missions:

    1 de reflechir aux idées, qui pourraient être opposées au Gouvernement . ( le gouvernement fera des jeux de rôles à huis clos ( match entre opposants fictifs - gouvernants )

    2 de gerer un classement - sondage secret quotidien des personnalités de l'opposition ne proposant rien sinon leur bouille et prononçant la phrase ( ''je suis candidat parce que je suis candidat '').

    actuellement au classement, M Valls est maillot jaune.....aucune idée sur la retraite, aucune idée sur la relance, rien sur la crise,aucune sur temps de travail, aucune à l'international...juste se contentant de faire des photos et dire des phrases ..pour dire sans dire ..( ex : ''on peut réflechir sur la durée du temps de travail ( 35 heures) , sur la durée de cotisations'' ..bref donner une image de rebelle, de critique , bref 1 decalage par rapport au PS à bon compte et , aux yeux de l'electeur indecis , gagner le tite indû d'homme politique innovant- proposant .( grâce à des medias) ...tout en proposant rien. ..Suit derriere en numero 2 ..dans le même registre mais moins outrancier ..Montebourg ....
    Les quadras qui se voient leader voire President sans rien dire, ni avoir proposé quoi que ce soit .......c'est pas beau ça ???.

    Le desastre de la politique


    Il s'agit desormais de nommer le ministre et des noms circulent déjà.
    Dernière modification par Sioux foughali, 22 août 2009, 16h55.

  • #2
    Sioux foughali , d'où tu tiens cette info , c'est quoi ta source ?

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    • #3
      DZ one..c'est une plaisanterie extremement reflechie et très serieuse ( y a du fond) et nul doute qu'elle va être reprise et qu'elle va faire des petits ...sur le net

      Elle ouvre un débat

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      • #4
        Il l'a déjà fait avec son ouverture. On verra ce que donnent les législatives. Je sens que les verts vont faire parler d'eux s'ils trouvent un leader.
        La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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        • #5
          sarko , il se prend pour napoleon du xx eme siecle.

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          • #6
            Y a t'il encore une opposition en France?

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            • #7
              DZ one..c'est une plaisanterie extremement reflechie et très serieuse ( y a du fond)
              Oui tout à fait Sioux foughali , il y a du fond ; j'en ai tiré la meme conclusion , avec Sarkozy , la république française se bananise ou plutôt se vinifie !

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              • #8
                Avec Sarkozy la France dévoile la véritable nature du système c'est tout... Les autres n'étaient pas plus "démocrates" juste plus "diplomates"...

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                • #9
                  une bonne tribune de Ouest France

                  Lucide commentaire de sondage d'un journaliste de Ouest France.



                  Les Français jugent très sévèrement le PS
                  Un vrai leader et, surtout, un programme crédible, c'est ce que l'opinion attend d'un Parti socialiste dont la cote dégringole encore.
                  Commentaire

                  Une majorité, forte et croissante, de l'opinion estime que l'image du Parti socialiste continue de se dégrader. Le jugement est sans appel : les Français considèrent que le PS est, tout à la fois, loin de leurs préoccupations, un piètre opposant et une formation sans projet, dirigée par des hommes et des femmes qui ne sont pas à la hauteur. N'en jetez plus !

                  Neuf mois après le calamiteux congrès de Reims et à cinq jours des imprévisibles journées de La Rochelle, Martine Aubry n'a toujours pas trouvé les bonnes clés pour déverrouiller la rue de Solférino. Malgré ses efforts, son bilan fait douter de sa capacité à incarner une opposition menaçante pour Nicolas Sarkozy, en 2012.

                  Un projet avant un leader

                  Dire que d'autres feraient mieux qu'elle est une autre histoire. Pour l'instant, les Hollande, Valls, Moscovici, Fabius... sont lâchés. Ségolène Royal reste dans la course, menée par Dominique Strauss-Kahn dont les motivations restent fragiles. Le patron du Fonds monétaire international, qui jouit d'une cote plus forte au centre et à droite qu'au PS, est bien placé pour savoir que les primaires, objet d'un rude bras de fer entre Arnaud Montebourg et Martine Aubry, peuvent éliminer un favori.

                  L'absence de leader incontesté encourage, à l'exemple de Vincent Peillon qui vient de réunir ses troupes à Marseille, cette compétition interne. Longtemps, elle a amusé. Aujourd'hui, au seuil d'une rentrée aussi grippée au plan économique que sanitaire, elle écoeure. Quand on consacre plus d'énergie à s'entre-détruire qu'à construire un programme alternatif, l'opinion en retient que le seul projet des socialistes consiste à se faire réélire.

                  Pour gagner, les jeux d'appareils ne suffiront pas. Les mamours des uns avec le MoDem, des autres avec Jean-Luc Mélenchon, de tous avec les écologistes ne feront qu'alimenter les divisions internes et les désaccords externes.

                  Avant de choisir un nom et des alliés, le PS a besoin d'un projet. Il lui faut proposer une cohérence politique entre le mondial et le régional, entre l'individuel et le collectif. Offrir des arbitrages à nos contradictions, exacerbées par la crise. Entre consommation et emploi, bien-être et environnement, effort fiscal et rôle de l'État, rendement de l'épargne et moralisation de l'économie financière... Il lui faut inventer, à la place des classiques réponses quantitatives, une pratique participative qui associe le citoyen aux choix entre le possible et le souhaitable, entre ce qu'il dit et ce qu'il fait.


                  Au lieu de cela, et à la différence d'Europe écologie qui esquisse des réponses à cette nouvelle manière de faire de la politique, le PS s'enferme dans ses certitudes d'opposant systématique et arrogant qui ne passent plus, même quand il a raison. Devant cet indispensable changement de pratique et de contenu, le PS vient encore de perdre un an. Il ne lui reste plus beaucoup de temps s'il veut être, comme il faut le souhaiter pour la santé de la démocratie, dans le coup en 2012.

                  Michel URVOY.
                  Dernière modification par Sioux foughali, 23 août 2009, 11h51.

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                  • #10
                    C'est la fin du PS ou c'est une facon de dire que personne ne peut l'égaler (lui et l'UMP) ??




                    Moins de fonctionnaires ?
                    Toz !
                    Dernière modification par Zeste, 23 août 2009, 12h45.
                    Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.

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