Le Roi Mohammed VI en convalescence
Pour la première fois en dix ans de règne, le palais royal du Maroc a publié un communiqué sur l'état de santé du souverain Mohammed VI, indiquant qu'il requerrait une convalescence de 5 jours.
L’état de santé du Roi Mohammed VI du Maroc nécessite une convalescence de cinq jours à partir de ce mercredi, a annoncé le Palais royal marocain rassurant que cela « ne justifie aucune inquiétude ».
Le souverain chérifien « présente une infection à rotavirus avec signes digestifs et déshydratation aiguë nécessitant une convalescence de cinq jours », indique un communiqué officiel signé par le professeur Abdelaziz Maaouni, médecin personnel du souverain et directeur de la clinique du palais royal.
C’est la première fois depuis son intronisation le 30 juillet 1999 qu’un communiqué officiel évoque l’état de santé du Roi (46 ans). Le retard constaté dans l’entame des causeries religieuses, présidées chaque mois de Ramadan par le souverain en sa qualité de Commandeur de croyants, a « suscité des interrogations », relève-t-on. (avec APA et AFP)
Jeune Afrique
Pour la première fois en dix ans de règne, le palais royal du Maroc a publié un communiqué sur l'état de santé du souverain Mohammed VI, indiquant qu'il requerrait une convalescence de 5 jours.
L’état de santé du Roi Mohammed VI du Maroc nécessite une convalescence de cinq jours à partir de ce mercredi, a annoncé le Palais royal marocain rassurant que cela « ne justifie aucune inquiétude ».
Le souverain chérifien « présente une infection à rotavirus avec signes digestifs et déshydratation aiguë nécessitant une convalescence de cinq jours », indique un communiqué officiel signé par le professeur Abdelaziz Maaouni, médecin personnel du souverain et directeur de la clinique du palais royal.
C’est la première fois depuis son intronisation le 30 juillet 1999 qu’un communiqué officiel évoque l’état de santé du Roi (46 ans). Le retard constaté dans l’entame des causeries religieuses, présidées chaque mois de Ramadan par le souverain en sa qualité de Commandeur de croyants, a « suscité des interrogations », relève-t-on. (avec APA et AFP)
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