On t’a vu bien souvent, cogner la tête aux falaises,
Mordre des récifs, des rochers encore plus balaises
Du bout de tes doigts tu as fais danser des bateaux,
Dans tes bras, autrefois, ont bâtissait des châteaux.
Tes farandoles incessantes sur les rives et les plages
Qui Câlinent sans relâche le corail et les coquillages
Sont audibles de loin, même quand la marée les retire
Ou lorsqu’un orage prétentieux voudrait les agonir.
Mordre des récifs, des rochers encore plus balaises
Du bout de tes doigts tu as fais danser des bateaux,
Dans tes bras, autrefois, ont bâtissait des châteaux.
Tes farandoles incessantes sur les rives et les plages
Qui Câlinent sans relâche le corail et les coquillages
Sont audibles de loin, même quand la marée les retire
Ou lorsqu’un orage prétentieux voudrait les agonir.
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