Pas facile de mener une vie amoureuse lorsque l'on est jeune, que l'on vit dans une cité et qu'au poids de la famille et de la tradition s'ajoute le qu'en-dira-t-on. Certains y parviennent pourtant et témoignent dans les reportages suivants :
Quand l'amour est plus fort que tout. Amoureuse d'un non-musulman, Leïla, 24 ans, a dû quitter le domicile de ses parents, opposés à leur relation ; Kahina, quant à elle, a été victime d'un mariage forcé. Une menace qui pèserait sur 70 000 adolescentes âgées de 10 à 18 ans en France, toutes communautés confondues.
L'amour côté garçon. Pour Johann, 23 ans, et Yannick, 20 ans, tous deux résidents d'un quartier dit «difficile», l'amour est un sujet qui compte. Ils confient leurs désirs d'aller vers les filles… et leurs hésitations face aux quolibets et au regard des autres, en particulier celui des copains.
SOS infirmière. Chaque année en France, environ 10 000 jeunes filles mineures ont recours à une interruption volontaire de grossesse. Depuis l'an 2000, dans les lycées, les infirmières peuvent prescrire la pilule du lendemain, et sont chargées d'informer et de conseiller des adolescentes parfois en difficulté, auprès desquelles elles jouent un rôle essentiel. L'équipe de reportage a suivi l'une de ces professionnelles pendant 24 heures.
Quand l'amour est plus fort que tout. Amoureuse d'un non-musulman, Leïla, 24 ans, a dû quitter le domicile de ses parents, opposés à leur relation ; Kahina, quant à elle, a été victime d'un mariage forcé. Une menace qui pèserait sur 70 000 adolescentes âgées de 10 à 18 ans en France, toutes communautés confondues.
L'amour côté garçon. Pour Johann, 23 ans, et Yannick, 20 ans, tous deux résidents d'un quartier dit «difficile», l'amour est un sujet qui compte. Ils confient leurs désirs d'aller vers les filles… et leurs hésitations face aux quolibets et au regard des autres, en particulier celui des copains.
SOS infirmière. Chaque année en France, environ 10 000 jeunes filles mineures ont recours à une interruption volontaire de grossesse. Depuis l'an 2000, dans les lycées, les infirmières peuvent prescrire la pilule du lendemain, et sont chargées d'informer et de conseiller des adolescentes parfois en difficulté, auprès desquelles elles jouent un rôle essentiel. L'équipe de reportage a suivi l'une de ces professionnelles pendant 24 heures.
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