C’est par un pur hasard qu’il nous a été donné de constater de visu un accouplement entre un chien et une femelle d’un chacal, un phénomène qui nous a été signalé auparavant mais auquel nous n’avons accordé point de crédit jusqu’à ce lundi où la scène s’est produite devant nos yeux et qui n’est point un fait rare selon les citoyens.
Ces mêmes citoyens ont fait état de la présence de bêtes issues de ce genre d’accouplement à proximité de la décharge publique de Saharidj ainsi qu’à la lisière de la forêt située à quelques centaines de mètres au nord du village Ath ivrahim dans la commune de M’chadallah.
Ces animaux (adultes) ont une étrange forme ni chien ni chacal, nous apprend-on avec cependant une stature beaucoup plus imposante égale à celle d’une hyène une envergure plus importante que le couple dont ils sont issus, de plus nullement effarouchés par la présence humaine. C’est à peine s’ils se contentent de s’écarter dédaigneusement de quelques dizaines de mètres en se tenant sur leurs gardes et surveillant le moindre geste montrant des crocs menaçants au moindre brusque mouvement.
C’est certainement par ce procédé qu’est apparue l’impressionnant «chien loup». Que se paresserait-il en cas de multiplications, de reproductions de cette nouvelle race canine ? Et surtout qu’elle serait leur réaction dans le cas ou la nourriture viendrait a leur manquer ? Ou face à la famine ?
Partout en Kabylie des reporters de la presse écrite rapportent des cas d’agressions ou d’attaques contre le cheptel et même des bergers par des chacals. Ne s’agit il pas de cette nouvelle espèce de… Chiens-chacals sachant que les chacals ordinaires sont très peureux et n’osent jamais s’approcher d’un être humain sauf quand il est atteint de rage et qu’il soit en phase finale.
Les vétérinaires et autres écologistes doivent se pencher sur ces phénomène en observant le comportement de ces «croisés» aux fins de juger du degré du danger qu’il représente pour les citoyens et le cheptel. Et pourquoi pas en tirer bénéfice en les orientant vers les zones peuplées de sangliers pour diminuer ces hordes qui sont un fléau catastrophique pour l’agriculture.
L’apparition de ces croisés est due à l’abandon, il y a plus de 15 ans des campagnes d’abattage des chiens errants dont la reproduction est telle que s’aventurer de nuit et en dehors des zones éclairées des villes et villages en Kabylie c’est s’exposer à un danger certain.
Par la Dépêche de Kabylie
Ces mêmes citoyens ont fait état de la présence de bêtes issues de ce genre d’accouplement à proximité de la décharge publique de Saharidj ainsi qu’à la lisière de la forêt située à quelques centaines de mètres au nord du village Ath ivrahim dans la commune de M’chadallah.
Ces animaux (adultes) ont une étrange forme ni chien ni chacal, nous apprend-on avec cependant une stature beaucoup plus imposante égale à celle d’une hyène une envergure plus importante que le couple dont ils sont issus, de plus nullement effarouchés par la présence humaine. C’est à peine s’ils se contentent de s’écarter dédaigneusement de quelques dizaines de mètres en se tenant sur leurs gardes et surveillant le moindre geste montrant des crocs menaçants au moindre brusque mouvement.
C’est certainement par ce procédé qu’est apparue l’impressionnant «chien loup». Que se paresserait-il en cas de multiplications, de reproductions de cette nouvelle race canine ? Et surtout qu’elle serait leur réaction dans le cas ou la nourriture viendrait a leur manquer ? Ou face à la famine ?
Partout en Kabylie des reporters de la presse écrite rapportent des cas d’agressions ou d’attaques contre le cheptel et même des bergers par des chacals. Ne s’agit il pas de cette nouvelle espèce de… Chiens-chacals sachant que les chacals ordinaires sont très peureux et n’osent jamais s’approcher d’un être humain sauf quand il est atteint de rage et qu’il soit en phase finale.
Les vétérinaires et autres écologistes doivent se pencher sur ces phénomène en observant le comportement de ces «croisés» aux fins de juger du degré du danger qu’il représente pour les citoyens et le cheptel. Et pourquoi pas en tirer bénéfice en les orientant vers les zones peuplées de sangliers pour diminuer ces hordes qui sont un fléau catastrophique pour l’agriculture.
L’apparition de ces croisés est due à l’abandon, il y a plus de 15 ans des campagnes d’abattage des chiens errants dont la reproduction est telle que s’aventurer de nuit et en dehors des zones éclairées des villes et villages en Kabylie c’est s’exposer à un danger certain.
Par la Dépêche de Kabylie

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