Bonsoir
Une nonagénaire a été abusée sexuellement au sein même de l’hôpital d’Angers, dans l’ouest de la France. Malgré plusieurs témoignages, le violeur court toujours un mois après son forfait.
«Nous avons beaucoup de mal à identifier quelqu'un. Cette personne ne semble pas connue», déplore un enquêteur dans les colonnes du quotidien Ouest-France. La police peine en effet à remonter la piste de l’homme qui s’est rendu coupable d’un double viol sur une femme de 92 ans.
Début décembre, un individu s’introduit dans la chambre de sa victime, hospitalisée dans le service de chirurgie osseuse de l’hôpital d’Angers. Selon le témoignage de la nonagénaire, l’homme a commencé par la questionner sur sa santé, avant de rapidement passer à l’acte. Il lui aurait alors couvert la bouche avec sa main avant de la violer à deux reprises et de quitter l’établissement sans être inquiété.
La victime s'est montrée incapable de décrire son bourreau. Et malgré plusieurs témoignages, dont un d’un brancardier qui aurait aperçu l’homme sortir de la chambre de sa victime, l’enquête de la gendarmerie fait du surplace depuis un mois.
(20 minutes)
Une nonagénaire a été abusée sexuellement au sein même de l’hôpital d’Angers, dans l’ouest de la France. Malgré plusieurs témoignages, le violeur court toujours un mois après son forfait.
«Nous avons beaucoup de mal à identifier quelqu'un. Cette personne ne semble pas connue», déplore un enquêteur dans les colonnes du quotidien Ouest-France. La police peine en effet à remonter la piste de l’homme qui s’est rendu coupable d’un double viol sur une femme de 92 ans.
Début décembre, un individu s’introduit dans la chambre de sa victime, hospitalisée dans le service de chirurgie osseuse de l’hôpital d’Angers. Selon le témoignage de la nonagénaire, l’homme a commencé par la questionner sur sa santé, avant de rapidement passer à l’acte. Il lui aurait alors couvert la bouche avec sa main avant de la violer à deux reprises et de quitter l’établissement sans être inquiété.
La victime s'est montrée incapable de décrire son bourreau. Et malgré plusieurs témoignages, dont un d’un brancardier qui aurait aperçu l’homme sortir de la chambre de sa victime, l’enquête de la gendarmerie fait du surplace depuis un mois.
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