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Une femme française jugée pour avoir tué six de ses enfants

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  • #16
    Autre exemple donné par le Dr Navarro, le cas d'une jeune fille de 18 ans venue en urgence pour une "crise d'appendicite" qui s'est révélée être… un beau bébé de 3 kg !
    il s'est bien caché de le corps alors, 3 kgs quand meme! c'est pas rien, je pensais qu'il ferait plus petit.

    je pense qu'il y a des femmes qui connaissent pasls symptomes d'une grossessse et n'imaginent meme pas une seconde etre enceintre, et d'autres le sentent mais à forte de persuasion très forte, font dans le déni

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    • #17
      m'enfin y en a sans dénie de grossesse, donc bien consciente de leurs état, et elles commettent ce genre d'infanticide

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      • #18
        rabi yaltef six ...ba3da elle est malade celle la c'est peu 8ans normalement la peine complete !!!j'en connais une femme qui a étranglé son bébé avec l'aide de sa mère "la femme a su qu'elle était enceinte " bein toutes les deux ont fini dans une prison je ne sais pour combien de temps ...
        c'est vrai des fois on remarque pas une grossesse meme a terme il y a des femme qui portent des trucs larges on peut rien voir juste qu'elle a prit du poids et rien que ça...
        Quand c'est beau comme dans un rêve ,c'est encore plus beau parce que ce n'est pas un rêve .

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        • #19
          Une femme jugée pour le meurtre de 6 de ses bébés

          Céline Lesage a expliqué devant la cour d'assises de la Manche qu'elle "avait peur de tout et de tout le monde".
          Céline Lesage, petite brune apparemment sans histoires, comparaît depuis lundi 15 mars devant la cour d'assises de la Manche pour avoir tué six de ses nouveaux-nés entre 2000 et 2007

          Cette femme "d'un assez bon niveau intellectuel", mère d'un adolescent de 13 ans, va devoir expliquer ces "blocages", ces "peurs" et surtout les raisons qui l'ont poussée à étouffer ou étrangler ses six bébés et à cacher leurs corps dans des sacs poubelle dans la cave de ses deux domiciles successifs à Valognes (Manche). C'est le père du sixième bébé tué, avec qui elle vivait alors, qui les a retrouvés en 2007 par hasard, intrigués par l'odeur nauséabonde qui se dégageait des lieux.
          "J'avais peur de tout et de tout le monde", a-t-elle déclaré à son arrivée. "Je déballerai tout", avait-elle assuré dans une lettre envoyée à son père depuis son lieu de détention, citée par le président de la cour Hervé Locu. Pourtant, aux questionnements de la cour sur la dissimulation de sa première grossesse en 1996 et des six suivantes, de la peur que lui inspirait son compagnon avec qui elle communiquait peu, elle répond: "je sais pas, c'était irrationnel".


          "Je reconnais les faits"


          Née dans une famille sans problème apparent, d'une mère comptable "aimante" et d'un père syndicaliste "souvent absent", cette femme de 38 ans a indiqué s'être sentie "seule" toute sa vie, prise dans une situation d'"enfermement", d'"engrenage" après le premier meurtre.
          "Ca fait deux ans que je me suis rendue compte que j'avais du monde autour de moi", sanglote-t-elle. Comme avec sa famille, la communication avec son premier ex-compagnon, très pris par son travail et lui aussi "trop souvent absent", fut problématique. "C'est difficile de verbaliser", dit-elle. "J'ai toujours tout gardé pour moi, depuis toute petite. (...) Je n'arrive pas à tirer le signal d'alarme", précise l'accusée, le visage rougi par les larmes, lors de son interrogatoire.
          Bénéficiant en prison d'un suivi psychologique, elle dit avoir pu y "apprendre à (s)'ouvrir, (se) connaître". "Ca m'a apporté des réponses... et beaucoup de questions", ajoute-t-elle. "Mais je n'ai pas vraiment progressé sur le fond de l'histoire", note-t-elle. "Je reconnais les faits", avait-elle pourtant indiqué au début de l'audience. Les bébés étaient-ils vivants au moment des faits? Elle hésite. "Je ne peux pas vous répondre" puis, après un silence embarrassé, "Oui, Monsieur le président".

          "C'était pas un bébé, c'était rien"


          Concernant notamment le premier accouchement, elle indique : "C'était pas un bébé, c'était rien, c'est horrible à dire, mais c'était rien. Je ne le sentais pas comme j'ai senti William", son fils de 13 ans. "Lui, je l'ai imaginé, les autres non", a-t-elle ajouté. "C'était un engrenage", répète-t-elle.
          L'association Enfance et partage s'est portée partie civile dans cette affaire. Le père du bébé tué en 2007, Luc Margueritte, 39 ans, s'est également constitué partie civile durant l'audience lundi matin.
          L'ex-compagnon Pascal Catherine avec qui elle a eu son fils et les cinq premiers bébés tués sera, lui, appelé à témoigner mardi après-midi. Il a bénéficié d'un non-lieu, après avoir été mis en examen en 2007 pour "non-dénonciation de crimes et recel de cadavres", ayant eu conscience que son ex-compagne était enceinte.
          Le verdict est attendu le 18 mars. Céline Lesage encourt la perpétuité, avec une période de sûreté de 18 ans.
          المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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          • #20
            Céline Lesage, une mère infanticide "atypique"
            C'est ce qu'affirme un expert psychologue, au deuxième jour de son procès. La femme est jugée pour avoir tué six de ses nouveaux-nés.
            Au deuxième jour de son procès devant la cour d'assises de la Manche, Céline Lesage, jugée pour avoir tué six de ses nouveaux-nés, est apparue, selon un expert psychologue, comme un cas "atypique" de mère infanticide, sans traumatisme pouvant expliquer ses gestes
            Il n'y a pas eu de traumatismes" majeurs dans sa vie avant la naissance "forcée" de son premier enfant, aujourd'hui âgé de 13 ans, eu avec son premier ex-compagnon Pascal Catherine, père des cinq premiers bébés tués entre 2000 et 2006, note le psychologue Jean-Luc Viaux.
            "Il n'y a donc pas eu de bascule de la victimisation d'elle-même vers quelqu'un d'autre", en l'occurence ses nouveaux-nés, a-t-il expliqué. En cela, c'est une mère infanticide "très atypique", a ajouté l'expert.
            Céline Lesage, 38 ans, a été décrite par tous les experts entendus par la cour comme une personnalité "introvertie", "phobique", s'autodévalorisant en permanence, en proie à de fréquentes "ruminations", mais exempte de trouble psychiatriques.


            Violences psychologiques


            Les experts ont en revanche divergé sur l'impact de sa relation et du manque de dialogue avec Pascal Catherine.
            Si le psychologue Loïc Villerbu fait état de "violences psychologiques", de "rabaissement psychologique volontaire" exercés par son ex-compagnon à l'égard de l'accusée, Jean-Luc Viaux estime, lui, que "le père est complètement étranger à cette histoire".
            "C'était un peu "comme si son désir secret était d'être enceinte, mais de ne partager ces grossesses avec personne", explique Jean-Luc Viaux.
            Mais "c'est quand même une histoire de couple. [...] Comment se fait-il que son compagnon n'ait rien vu, rien entendu ?", s'est interrogé le psychologue qui a aussi expertisé Pascal Catherine en 2007. Celui-ci avait été mis en examen pour "non-dénonciation de crime et recel de cadavre", avant de bénéficier d'un non-lieu.
            (Nouvelobs.com)
            المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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            • #21
              entre
              Une femme jugée pour le meurtre de 6 de ses bébés
              et
              Cette femme "d'un assez bon niveau intellectuel",
              il y a un océan de différence !!


              je ne trouve pas les mots pour décrire cette acte de monstruosité !!

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