C'est des mauvais chiffres ou des taux mal lus par Liberté...
27% de chômeurs parmi les Algériens arrivant les cinq dernières années et non parmi tous les Algériens au Canada.
Ceci dit, c'est important comme chiffre et les institutions canadiennes reconnaissent qu'il y a des efforts à déployer.
La plus grosse difficulté vient des différentes corporations professionnelles dont l'OIQ ( l'ordre des ingénieurs du Québec) qui ne veut en aucun cas reconnaitre les acquis de la formation du Maghreb.
Le problème pour les nouveaux arrivants n'est pas de trouver du boulot mais de trouver le bon boulot, celui pour lequel ils prétendent être formés.
Les Algériens non formés au Canada sont discriminés. A tort pour certains, à raison pour d'autres.
27% de chômeurs parmi les Algériens arrivant les cinq dernières années et non parmi tous les Algériens au Canada.
Ceci dit, c'est important comme chiffre et les institutions canadiennes reconnaissent qu'il y a des efforts à déployer.
La plus grosse difficulté vient des différentes corporations professionnelles dont l'OIQ ( l'ordre des ingénieurs du Québec) qui ne veut en aucun cas reconnaitre les acquis de la formation du Maghreb.
Le problème pour les nouveaux arrivants n'est pas de trouver du boulot mais de trouver le bon boulot, celui pour lequel ils prétendent être formés.
Les Algériens non formés au Canada sont discriminés. A tort pour certains, à raison pour d'autres.
Commentaire