Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Votre expérience dans le Service National

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #46
    le barrage vert.

    'A l'hnneur de ceux qui y ont participé et à la mémoire de ceux qui y ont laissé leur vie http://www.yannarthusbertrand.com/ya...gerievueduciel

    moi je suis de la classe 88B, j'ai donné 1 ans et 1/2 à mon pays en enseignant gratuitement; si c'etait à refaire je n'hésiterai pas.

    merci

    Commentaire


    • #47
      Fait chie ils veulent pas me lâcher ces C... ils m’ont encore envoyer un ordre d'appele j’ai un sursis d’un an … l'autre jour a la caserne il y’avait un groupe dispensés du service national qui venaient récupérer leur carte millitaire vous auriez vu leur expression une fois la fameuse carte entre les mains ils avaient le sourire jusqu’aux oreilles tout ça parce qu’ils n’ont pas fait d’études … y’a de quoi regretter d’avoir fait des études dans ce pays ?
      Je n’ai aucune envi d’y aller … perdre un an et demi à ne rien foutre … pourquoi ils ne nous foutent pas la paix une bonne fois pour tout ?
      Dernière modification par Gironimoo, 19 mars 2006, 20h20.

      Commentaire


      • #48
        Mi nou Gironimoo, fais en sorte qu'on t'affecte dans un bataillon stationné dans un endroit pas très recommendé, et tu auras toujours à faire

        Commentaire


        • #49
          on va s'embêter sans ce chef indien.j'espère qu'ils l'enverront pas à sidi ali bounab.non seulement c'est plein de kabyles et en plus des islamistes.T'zaguet.
          si tu as besoin de piston aâmek ferrailleur rahou h'na.

          Commentaire


          • #50
            Rouge et Or

            Moi aussi si c'était à refaire, je le referais.
            J'ai contribué à planter des milliers d'arbres en Algérie.
            J'en tire une immense fierté.

            Commentaire


            • #51
              je te laisse volontier ma place Zoubir8
              on m'a affecter a Sidi Bel abbes pour l'instruction wallah ils vont pas me voire de si tot
              ferrailleur ton intervention ne serait pas de trop Sid Ali Bounab j'espere pas c'est chaud la Bas
              Dernière modification par Gironimoo, 19 mars 2006, 20h21.

              Commentaire


              • #52
                je te laisse volontier ma place Zoubir8
                on m'a affecter a Sidi Bel abbes pour l'instruction wallah ils vont pas me voire de si tot
                ferrailleur ton intervention ne serait pas de trop Sid Ali Bounab j'espere pas c'est chaud la Bas


                J'ai souvent entendu
                .... les veterans de La Legion
                .... raconter leurs souvenirs de Sidi Bel Abbes
                .... meme quand je vais les voir
                .... dans leur maison de retraite a Aubagne
                .... je les entendu l'evoquer avec nostalgie

                Commentaire


                • #53
                  je les entends d'ici chanter :c'est nous les africains...
                  freches va bientot les rejoindre.

                  Commentaire


                  • #54
                    C'est fini
                    ... Les Africains
                    ... on chantait Marie-Dominique

                    Commentaire


                    • #55
                      Ils chantaient : Tiens voilà du boudin, voilà du boudin...
                      Quand le chat n'est pas là, les souris dansent

                      Commentaire


                      • #56
                        C'est vieux
                        .... ca le boudin
                        .... c'est la biffe qui le chantait
                        .... La Legion d'aujourd'hui
                        .... c'est un corps de commandos.

                        Commentaire


                        • #57
                          une autre pour le barrage vert (elwatan.com, 22 mars 2006)

                          En 1969, le gouvernement de Houari Boumediène lance le barrage vert, une immense ceinture de 1200 km de long sur 20 km de large devant protéger la partie Nord de l’Algérie de l’inexorable avancée du désert.
                          Ce chantier pharaonique d’une superficie de 3 millions d’hectares, confié à l’armée, devait mobiliser pas moins de 20 000 jeunes recrues du service national. Pendant une vingtaine d’années, l’armée s’est ainsi attelée à la tâche en mettant les gros moyens. L’ouvrage a commencé à prendre corps en dépit de la rudesse du terrain et ce jusqu’au retrait de l’armée au début des années 1990. S’ensuit une passation de consignes avec l’administration des forêts qui a officiellement repris le chantier en 1994. « En le réceptionnant, le barrage vert était déjà bien cadré. Le tracé était judicieusement étudié. Nous pouvons dire que l’armée a fait de son mieux quand elle était sur les lieux », nous a indiqué le directeur de la mise en valeur des terres à la DGF, M. Khelifa. Aujourd’hui inscrit comme une priorité nationale, le projet du barrage vert est, selon la DGF, en pleine phase de réalisation. « L’ouvrage est scindé en plusieurs grands chantiers, localisés essentiellement à Tébessa, Naâma, Khenchela, M’sila et Djelfa. Nous devons réhabiliter des sites qui ont connue des dégradations avancées et où le taux de réussite n’a pas dépassé les 50%. En somme, la mission principale de la DGF est la consolidation et l’extension du barrage vert, un projet qui rentre dans le cadre d’une instruction gouvernementale signée en 1994 et remise à jour par le programme de relance économique du quinquennat 2005-2009 », ajoute M. Khelifa et de préciser : « Les travaux n’ont jamais été gelés malgré les problèmes d’insécurité qui ont touché le pays et en particulier les régions où devrait passer le barrage vert. Pour la période 1994-2000, la DGF a reboisé pas moins de 70 551 ha, dont 11 000 ha à Tébessa et 10 000 ha respectivement à Djelfa, M’sila et Khenchela. Notons que la superficie consacrée à l’ouvrage, soit 3 millions d’hectares, englobe aussi celles des villes et villages qui s’y frottent. Les parcours steppiques et les espaces agricoles sont à exclure du projet. « Le barrage vert n’est pas seulement une protection écologique, il est aussi un vecteur par excellence au développement local ». Pour ce qui est du financement, la DGF tient à citer les nombreux dispositifs créés par l’Etat à l’exemple du Plans nationaux du développement agricole et rural (PNDA et PNDR), le programme national des Hauts-Plateaux et le programme du Sud. « Le barrage vert reste un exemple à suivre pour les autres pays. Beaucoup de pays, dont la Chine, voudraient bénéficier de cette expérience », affirme la DGF. « Afin de respecter la biodiversité, l’administration des forêts s’attelle à diversifier les espèces. Pour ce qui est des zones steppiques, la plantation pastorale pour améliorer les rendement en unités fourragères figure aussi parmi les priorités. Et la main-d’œuvre ? « Les fonds prévus pour la réalisation du projet prennent évidemment en compte le volet de la main-d’œuvre », assure la DGF.

                          Commentaire


                          • #58
                            gironimoo

                            il faut avoir l'esprit citoyen et ne pas se défiler devant la moindre difficulté

                            Commentaire

                            Chargement...
                            X